jeudi 11 août 2011

pré en bulles


Voyons que je calculasse...plus que trois jours enfin quoi... nuits de boulot soit... allez à la louche pour la pâte à galettes: une trentaine d'heures
avant
d'aller luia
en vacances.
En ce moment je vois tout le monde ou presque revenir de congés  et entre-nous... (mais vous ne  le répéterez pas, je compte sur vous...) c'est plutôt jouissif de se dire que très bientôt
on va mettre les voiles...
. Allez! faîtes pas la gueule,vous en avez profité aussi, enfin j'espère.

 Et puisque l'on est dans la partie intendance de l'affaire, les habitués de la boutique auront bien sur remarqué que depuis quelques temps il y a comme un certain laissez aller sur sur ce blogounet.
. Vi! vous qui aviez été habitués à des articles quasi quotidiens,  on fait maintenant dans l'aléatoire et chers lectrices z'et lecteurs cela mérite des explications.
Tout d'abord j'ai changé  récemment de matériel de connexion internet  pour le dernier modèle de la box en question. Ah dame, en ce qui concerne le design, c'est parfait. Par contre, comme cette petite chose (fragile) est très sensible à la qualité du réseau électrique , cela signifie que dans la partie de la crèmerie récemment refaite tout va bien, par contre pour les locaux dont l'installation électrique date des anciens Francs,  voir même des Vénètes...Comme disent les anglais sous tension: "C'est une autre paire de Manche"
Et résultat des courses, plus de connexion internet... Alors bien entendu comme chez les banquiers en banqueroute , il a fallu dare-dare activer le plan B comme (Eh) Banane; ce dernier consistant à installer un réseau wifi sans fil, ce qui semblait un jeu d'enfant à priori sauf que...là aussi,  quand ça veut pas, ben ça veut pas...
Bon  là-dessus comme précisé quelques lignes plus haut - Heureusement qu'il y en a qui suivent...les congés z'annuels semblant à quelques encablures de votre serviteur; après réunion du collectif de maintenance il a été décidé de  profiter de la marée et de la sortie de secours,  pour prendre du large; cela n'était point arrivé ici-même depuis fort  longtemps...Et donc présentement et dans les semaines qui suivent, il est possible que justement le champ des possibles s'apparente quelque-peu à une friche, pas vraiment industrielle mais friche quand-même.

Pour sur,  vous allez me manquer , mais vous vous en remettrez j'en suis sur. Ceci dit,  il est possible qu'à l'occasion, je revienne dans le coin(g) vous faire un ptit coucou..

Portez-vous le mieux possible, bon courage aux travailleuses et lleurs. Bon repos aux rentiers , vacanciers et décédés
Et
au plaisir de vous revoir..

D'ici là, soyez pas trop sages
.




lundi 8 août 2011

chronique en escales


Vendredi soir, nous partîmes en demi-douzaine mais attirés par les flonflons de la fête  nous nous vîmes  quelques dizaines de milliers  en arrivant au port.
"Les Escales" allaient une fois de plus tenir leur promesse d'un festival pas tout à fait comme les autres, dans son  environnement résolument maritime, mais, plus encore par une programmation  où les "locomotives" de la sono mondiale croisent la route de magnifiques découvertes appelées souvent  à faire du bruit par la suite.



Pour cette vingtième édition et  en ce qui me concerne pour des raisons professionnelles- une seule soirée seulement - le  premier coup de coeur  fut pour Niqolah Seeva, artiste, musicien, poète, chanteur, dégagé, décalé ...sachant mélanger avec brio et  délicatesse  les  instruments traditionnels  tel le luth avec les outils contemporains de la techno..
Accompagné par un groupe de grande qualité; entre deux ballades arabo- indo,tutto quanto...il nous offrira en milieu de récital  sa version  surprenante et drôle du grand classique de Jeff Buckley "Hallelujah"  transformé pour l'occasion en "abdullah""








Autre grand moment, la rencontre entre le Bagad de Saint-Nazaire et le groupe"Agadir Gwanas" dans une création spécialement concoctée pour le vingtième anniversaire du festival..
Puissance et légèreté furent au rendez-vous entre cornemuses, bombardes et haute-voltige des danseurs/chanteurs/conteurs de la côte atlantique marocaine.
Du grand art.





Toujours dans la série des  rencontres détonantes, sous l'appellation "Band of Gypsies", les tsiganes du   Taraf de Haïdouks héros de "Latcho Drom" de Tony Gatlif  associés pour l'occasion à la trépidante  fanfare macédonienne "Kocani Orkestar".
Pour oublier une météo quelque peu  capricieuse dans le genre "ça pulse sur l'estuaire et ses degrés retrouvés"...



Il aurait  fallu aussi sans doute parler du Mexican Institure of Sound ou de Yael Naim ou encore de l'Orchestre National de Barbès...
mais comme  pour des raisons d'intendance je ne les ai pas vu ,à moins de broder sur le sujet ce qui n'est pas trop (espérons-le) le genre de la maison , nous vous demanderons pour de plus amples informations de vous référer à vos propres souvenirs ou à la prose de quelques journaleux en verve (et contre tout?)



A ce propos - petite anecdote de la soirée : Pendant que nous regardions Niqolah Seeva ,  sur un côté en devant de scène  une jeune journaliste aux poses  particulièrement inspirées et aussi discrète qu'un abat- jour de lampe allogène écrivait sur son  calepin posé sur  le rebord de l'estrade ses pensées profondes- j'imagine- en direct-live .
Un grand  moment de: "je me la pète en public".
A chacun -selon ses moyens-  le droit au  spectacle.
.N'est-il pas?...


Quand à nous autres: les petits pieds , le temps de saluer à la sortie  des vendeurs de Kebab nous reprîmes dans une ambiance automnale le chemin de l'Home Sweet Home" 
Pour le réchauffement climatique attendons  l'année prochaine...


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