vendredi 31 mars 2023

l'onde de choc


 



"Le pêcheur qui, à coup de rames, fait avancer sa barque, a son passé devant lui et son avenir dans le dos."
Sophocle 
 

 

mardi 28 mars 2023

comme d'un pays


 "On parle de droiture 
et jamais de gauchure
On parle de coiffeur
et toujours de coiffure

On dit n'importe quoi
On dit n'importe cure
ça se soigne dit-on
et moi je reste coi

Le peintre aime couleur
et déteste coulure
de l'essoufflé rameur
où en est la ramure
 
Le poète passeur
fait petite passure
et j'aime la pensure
qui fait respirature
 
Des mots je suis joueur
Pitié je vous conjure
pour votre débiteur
qui se prend des bitures
 
Aux murs meurent les mots
et tout n'est que murmure
de ce bon murmureur
 

il arrive que les mots jasent
jasent les uns les autres
Il arrive que les mots jazz-bandent
séparés de l'enfance
à l'âge du mitant des amours
vers une vie d'adulte
si vite advenue
 
Il arrive que les mots jouent
joutent  jutent  jouissent
             puis hissent
le drapeau blanc
du plus rien à dire
 
Qui alors les ramasse
nos ah euh hi oh hue 
et les emporte
au paradis des petits cris mort-nés"
Pef extrait de: "Toujours un mot dans ma poche" Editions Bruno Doucey

 

 
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                                          LE TEST


"L'enfance, ce grand territoire d'où chacun est sorti.D'où suis-je? Je suis de mon enfance.
Je suis de mon enfance comme d'un pays."
Antoine de Saint-Exupéry 
 
 


samedi 25 mars 2023

ego terrorisme

 



"Droit devant moi, je cours les routesEn vagabond de grands cheminsJe fuis l'amour et ma dérouteParfois je verse des pleurs sur mes jours anciens
Ce n'est que de l'eauCe n'est que de l'eau camaradeCe n'est que de l'eauCe n'est que de l'eau camarade
Lorsque l'orage vient, je goûteLa terre qui se change en parfumEt si la pluie pèse ses gouttesJe chante auprès de mon âme, j'en attends la fin
Ce n'est que de l'eauCe n'est que de l'eau camaradeCe n'est que de l'eauCe n'est que de l'eau camarade
Quand un obstacle me dérouteJe le contourne et ce matinC'est l'océan qui bat ma routeTant pis je vais le sauter pour aller plus loin
Ce n'est que de l'eauCe n'est que de l'eau camaradeCe n'est que de l'eauCe n'est que de l'eau camarade"
Pierre Barouh

 

 

                                      Ego terrorisme
  Un responsable départemental de la  FDSEA sur un tas de fumier devant la maison de l'environnement de Toulouse 
Photo V;Chapuis AFP source

Leçon de choses:
A la  FNSEA il y a des agriculteurs mais tous les agriculteurs ne sont pas à la FNSEA.
A la FNSEA il y a des agriculteurs mais des protecteurs de l'environnement, on les cherche encore.
A la FNSEA on casse la gueule aux écologistes et aux paysans non affiliés sans aucune poursuite de la part des représentants de l'Etat...
 

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                                                  Un ego terroriste

 "Qui veut noyer son chien l'accuse de la rage"
Molière extrait des "Femmes savantes"

  le sens de l'Histoire          CHEZ KUB:


 

« C’est la première fois que je me fais cibler et violenter dans une manifestation. » Paul Boyer est journaliste indépendant, il a l’habitude de couvrir les mouvements sociaux en France et à l’étranger. Après la manifestation de l’intersyndicale jeudi 23 mars, au soir, Paul Boyer faisait son travail lorsqu’il a été matraqué par « un policier de la Brav-M », la brigade de répression de l’action violente motorisée. Il finit la soirée aux urgences : sa main gauche est fracturée, son crâne légèrement ouvert et deux semaines d’ITT lui sont prescrites.

Aux alentours de 21 heures, Paul Boyer est sur le boulevard Beaumarchais, entre la place de la Bastille et celle de la Répulique, en train d’interviewer une manifestante. Puis « tout s’est passé très vite », raconte le reporter à « l’Obs » :

 « Une dizaine de motards de la Brav sont arrivés à toute vitesse dans la rue, ils sont descendus des motos et ont commencé à taper dans le tas. J’ai eu le temps de les voir venir, ils étaient à 15 mètres environ. J’ai montré ma carte de presse en criant “Presse”. »

 Malgré cela, l’un des policiers lui assène un coup de matraque derrière le crâne et deux autres sur le visage. « J’ai réussi à me protéger le visage de la main gauche, c’est comme ça qu’elle s’est fracturée », poursuit Paul Boyer, qui précise avoir déposé plainte ce vendredi matin sur le site de l’IGPN.

 Paul Boyer n’est pas le seul journaliste à avoir été ciblé par les forces de l’ordre. Depuis le 16 mars, Reporters sans Frontières a enregistré une « recrudescence » des signalements de violences des policiers envers les journalistes. Une première depuis deux ans, selon Pauline Adès-Mével, porte-parole de l’ONG. RSF donne l’exemple du journaliste Raphaël Klesser, pris dans une nasse, le 20 mars dernier, puis placé en garde à vue de manière abusive alors qu’il faisait son travail; ou encore celui de la photojournaliste Angeline Desdevises, plaquée au sol par deux CRS, à Rennes, le 16 mars.

 

Valentin Feuillette, journaliste pigiste, se rend au travail à la rédaction du « Figaro » sur les Grands Boulevards, jeudi 23 mars. Les rues étant complètement bloquées, il s’avance vers quelques CRS et leur montre sa carte de presse, sa carte d’identité et son badge du « Figaro » pour pouvoir passer. « J’ai vu un geste, qu’il portait sa main à sa poche alors je me suis décalé afin de tourner mon visage. Il a sorti la bombe de lacrymo, il m’a dit “barre-toi de là, fils de pute, si tu crois que tu es avec nous” et il a aspergé mon visage. Il y a deux de ses collègues qui ont dit “arrête, fais pas ça” et ils m’ont laissé passer ensuite », raconte-t-il à « l’Obs ».

« On est tout le temps intimidés, c’est méthodique chez les forces de l’ordre », témoigne Ricardo Parreira, journaliste indépendant à Montpellier, qui couvre les mouvements sociaux. Il décrit des menaces et des intimidations permanentes. Dans une vidéo publiée sur les réseaux sociaux, on voit les forces de l’ordre avancer face à lui, alors qu’il recule et scande « C’est la presse, c’est la presse ». Le journaliste et ses confrères sont finalement mis en joue avec un LBD.

« Notre présence est essentielle »

Face à ces attaques à répétition, RSF s’inquiète. Les « mesures abusives et gardes à vue injustifiées sont des attaques contre la démocratie, ce sont des attaques contre la liberté de la presse et c’est extrêmement préoccupant », s’alarme Pauline Adès-Mével. Avant d’ajouter :
 « Aujourd’hui, le climat est inquiétant. »
 
« Si on n’est plus là, il n’y a plus de reportages. Notre présence est essentielle en manifestation pour faire remonter les témoignages des manifestants », rappelle Paul Boyer. Même si le reporter voit que « les forces de l’ordre sont épuisées », il estime que « cela fait partie de leur métier de savoir distinguer les individus dangereux des journalistes et de savoir garder leur sang-froid ».
 De son côté, Reporters Sans Frontières a interpellé le ministre de l’Intérieur sur « cette nouvelle série de violences et de mesures policières abusives ». L’ONG demande que le droit des journalistes soit respecté et qu’ils soient protégés conformément au schéma national du maintien de l’ordre. Elle rappelle également que « l’absence de déclarations préalables des rassemblements de protestation n’excuse en rien toutes les entraves arbitraires aux reporters qui ont couvert ces manifestations et les agressions ». 
Manon Bernard source: L'OBS



  « Les manifestations sont gérées de façon policière et non plus politique. Les forces de l’ordre sont poussées par le ministère de l’Intérieur à ne réfléchir qu’à la pénalisation des manifestants »
 Patrick Bruneteaux, chercheur en sociologie politique au CNRS Source


Comme pour les 3 dernières grandes manifestations anti-bassines, la préfecture des Deux-Sèvres vient d'interdire les manifestations annoncées le 25 mars à Sainte-Soline et/ou Mauzé sur le Mignon.
Nous, organisateurs.trices de cette mobilisation, affirmons que ces manifestations auront bien lieu. Comme lors des
manifestations précédentes, nous invitons la population à ne se laisser aucunement décourager par ces interdictions et ne pas céder sur son droit fondamental à manifester.
Nous ne doutons aucunement que nous parviendrons à nous rassembler, malgré d'éventuels obstacles policiers et
contrôles. Nous sommes confiant•es que cette manoeuvre prévisible de la préfecture pour créer un climat anxiogène
n'atténuera pas la motivation des dizaines de milliers de personnes et des délégations internationales qui s'organisent
déjà pour rejoindre les lieux de manifestations du 25 mars.
Il est aujourd'hui effarant qu'un gouvernement puisse prétendre empêcher un mouvement populaire de se rassembler à
l'appel de plus de 200 organisations syndicales, politiques, paysannes et environnementales.

Rappelons que ces chantiers d'accaparement de l'eau au profit d'une minorité d'irrigants - que le gouvernement s'entête envers et contre tout à mener - sont toujours payés à 70% par des fonds publics.
Les sécheresses s'étendent désormais sur toute l'année et sont aggravées par le changement climatique. Plusieurs
études scientifiques [1] et décisions de justice [2] récentes remettent en question la possibilité, voire la légalité, de remplir les mégabassines. La nécessité absolue de défendre l'eau et l'urgence à enfin arrêter les chantiers de méga-bassines est aujourd'hui plus forte que toute interdiction préfectorale.
Plutôt que d'interdire, réprimer et s'enfermer dans une posture de surdité féroce qui résonne avec celle adoptée sur la
question des retraites, il faudra bien que ce gouvernement accepte rapidement de reprendre le dialogue sur la question de l'eau. Il peut choisir la voie de l'apaisement en arrêtant le chantier de Sainte-Soline et en instaurant un moratoire sur l'ensemble des projets de méga-bassines.
En attendant, nous en appelons à maintenir une solidarité et une détermination très fortes. Tous les moyens seront mis
en oeuvre pour permettre aux manifestant.es de se rejoindre le 25 mars, pour les informer d'ici là des divers points de rendez-vous et convois et pour assurer leur sécurité.

No Bassaran !

Le Collectif Bassines Non Merci, Les Soulèvements de la Terre et la Confédération paysanne

mercredi 22 mars 2023

patience


 Je me suis souvent demandé
quel sens pouvait bien donner à sa vie celui qui
dans sa fiche de poste
avait vu  écrit noir sur rouge qu'il était  en charge du maintien de l'ordre
et donc devait obéir aux ordres et faire ce pourquoi il avait été embauché et formé.
A savoir:
 utiliser les outils adéquats pour:
-frapper
-bousculer
-tomber sur
-percuter
-matraquer
-gazer
-hurler sur
-punir
-arrêter...
BREF! traduit par ses supérieurs Yeah  rares et chics en: "Faire respecter la loi". 
 
J'ai vu il y a quelques années chez "Penn ar bed" ou "Finistère" suivant de quel côté on se situe...
de jeunes gars costumés et casqués faire face, pendant des heures à des mamies toutes de noir vêtues et finissant par pleurer
comme si ces femmes d'un âge certain leur rappelaient leurs grands-mères
de là-bas si j'y suis... 
qui leur disaient alors:
"Tu va me me frapper gamin, tu pourrais être mon petit fils"
"Non Madame" répondaient certains, apeurés, dévastés..
"Et alors tu va matraquer mon petit-fils qui te ressemble..."
 Ceux-là
étaient régulièrement remplacés, par de la chair fraiche.
 
Je me suis souvent demandé, ce qu'ils racontaient en rentrant du boulot, à leurs femmes, 
maris,compagnons/et pagnes, gosses... sur leur journée, semaine, mois, années de  la-beurre... et argent du...
SANS
les pilules préconisées (et remboursées) par les psys  en  service commandé.
 
Pôv'r bête de somme, en somme,
posée là, par hasard 
 
"Pour tout bagage on a sa gueule"
 
 
TOUT EST RELATIF chez KUB 
 
 
 

 
"Petits arrangements entre populistes 
 
"Deux hommes et une obsession: continuer à exister. Eric Zemmour et Jean-Luc Mélenchon
savent que la scène politique reste un théâtre où les rôles incarnés en public peuvent varier en coulisse.
C'est ce que révèle le dernier essai du candidat malheureux de Reconquête!
"je n'ai pas dit mon dernier mot.", auto-édité dans sa maison, Rubempré. Zemmour s'accroche, persuadé comme Mélenchon d'incarner le peuple. "Nous étions bons amis", écrit-il. Ces deux maîtres en hypocrisie se sont parlé durant la campagne. De mèche, ils étaient convenus d'un débat qui devait leur profiter mutuellement entre répliques cinglantes et insultes calibrées. "Un des rares moments vraiment politiques de la campagne présidentielle", ose Zemmour. Le leader insoumis lui aurait donné des conseils:"C'est très important, Eric, les sondages.""Les électeurs seront attirés par toi si tu es le plus radical." révélant qu'il pensait avoir séduit les électeurs de Benoît Hamon ainsi. Zemmour ne donne pas cher de la peau de son complice qui réalise, selon lui, son dernier tour de piste: "La révolution mange toujours ses enfants." Les personnages secondaires poussent derrière. D'après Zemmour, les féministes radicales" à qui Mélenchon a fait la courte échelle, "Sandrine Rousseau en tête, prendront sa place.":
"Elle diront qu'il est vieux, dépassé [...], elles décrèteront que Jean-Luc Mélenchon est de droite." Une prédiction facile."
Yann Barte dans "Franc Tireur" n°71 

mardi 21 mars 2023

si le coeur vous endive

 

 "J'ai pris des routes secondaires. Enfilade de champs, de boqueteaux et de bourgs avec leur bar-tabac, leur église, leur petite mairie à drapeau défraîchi. Des coins à chasseurs, à moitié d'équipe de foot et à gare fermée. Des coins à lotissements futurs. Des coins à courants d'air, à mornes plaines, à vieilles affiches sur leurs panneaux, le festival de la viande à l'hyper du chef-lieu, les soirées sosies de Johnny ou Cloclo.
Ils auraient leurs ronds-points eux aussi et, dessus, leurs gilets jaunes qui auraient tant à dire qu'ils n'y parviendraient pas."
Patrick Pécherot extrait de: "Pour tout bagage"

 

 


 

 


 

 



 Quand on a le sens du théâtre -bien peigné-
les jours d'orages,
un otage sous le coude
   c'est juste
comment dire:
 feel- good.
(Frère Emmanuel)

 


 

 
 

 

lundi 20 mars 2023

une cohorte de tritons


 En cas de risque de débordement
         toujours aller au bout du rouleau
Ainsi parlait un mathurin dans tous ses états de service
depuis un vieux bouge à la toile cireuse.
Cela causait parfois quelques remous côtiers,
quelques troubles iodés et fort alcoolisés
mais il avait plus d'un tour dans son ressac
le batelier de la vodka
et le mouvement ne lui faisait pas peur.
Il suivait son fil de l'eau, tout seul dans son équipage incertain;
tirant des bords de Loire
jusqu'à voir surgir des flots
une cohorte de tritons.





 
 

 Vitrine du passeur de livres
 
"L'écrivain est un "menteur", un artisan de l'adaptation ou de l'exagération."
Alain Mabanckou 



Une ruine peut en cacher une autre:
 Après Pink-Floyd à Pompéï
, Poutine à Marioupol.
 

 "Créer pour vivre ou vivre pour créer: toute la différence entre l'artiste et l'artisan."
Michel Polac

samedi 18 mars 2023

il fait un temps de poème

 

 La poésie comme résistance
 
"Appelons poésie cette entreprise qui n'est pas identique à celle d'écrire, par laquelle un individu cherche à "rendre à sa vie sa hauteur inévaluable";
Ce nom de poésie convient ici: son sens grec de faire y trouve sa teneur, pour autant que ce faire-là n'est pas une écriture supplémentaire dans un monde d'écritures, mais l'acte éthique par excellence-le travail-,
ce faire identique à la vie, à cette vie de cet individu réel, qui rend à elle-même sa vie, la rend à son essence au delà de toute mesure, au delà de tout concept [...],
à cette "hauteur"  sans mesure d'après laquelle toute mesure est mesurable, à cette essence particulière et si démesurée qu'elle mérite le nom d'absolu.
La poésie n'est pas la littérature en ce qu'elle est d'abord non pas une écriture, mais ce travail: un ressaisissement de la vie par elle-même, une reprise par la vie de son propre absolu.
[...] la poésie donc, est la recherche de l'absolu, et cela veut dire: elle est le travail que la vie entreprend avec elle-même, la recherche qu'elle fait de soi, quand, renonçant à écrire, sachant ne pas écrire, elle se soustrait aux prestiges du monde où les accidents ont lieu, au monde comme "jour".
La recherche de l'absolu-la poésie- est le désencombrement de l'esprit. Une éthique, donc[...]
 
Pour le dire dans le vocabulaire de Bergson et de Proust: le poète oppose un "moi profond" à son moi social". [...] 
Jérôme Thélot extrait de: "La création des présences réelles en lesquelles le monde paraît."
 



vendredi 17 mars 2023

dans les bras du fauteuil



Deux-puits  nos téléscripteurs
Selon l'O.C.D.E. (Organisation  Consumériste des Copains d'Enfance)   (14H12 GMT-:
"Emmanuel a raison"

Commentaire FlipAdvisor: " Cuisine  bien en dessous de sa réputation"

mercredi 15 mars 2023

différence

 

 Transat en solitaire
 
 Attention!
La  yourte au café
                             vous file parfois le coup de bambou.
 

                         
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 Mercredi en cuisine:
 
 
"Le monde change. Ce n’est pas nouveau, il en a toujours été ainsi. La question est plutôt de savoir dans quelles directions vont les choses : qu’est-ce qui progresse ? Ce qui régresse ? Qu’est-ce qui se métamorphose ?" source: "Sciences humaines"
 
 

 


Perplexité devant un clair obscur...
 

 Emma Goldman ou Emma Dalton?
 
M'enfin, je ne fais que passer, jeune fâché avec l'orthographe.
 😛


Pour  comprendre les écritures hiéroglyphiques découvertes lors du parcours de la procession syndicale du jour
Le FHAR: Front Homosexuel d'Action Révolutionnaire a été créé en 1971.
Ben oui, ça nous rajeunit pas...
 Amusant de le voir
s'échapper du grenier de l'histoire  des hu!hu!hu! comment dit-on déjà (en adulescent) :
"OK Boomer" 
 
Dame! La parole est aux nouveaux philosophes...
😆

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   photo source: Reporterre

 

"Marjolaine, Élodie, Laurianne, Guillemette, Réjane, Mélanie. Elles sont toutes engagées dans une agriculture biologique et en vente directe. Ces six agricultrices de Loire-Atlantique font partie des 26 % de femmes agricultrices. En 2020, seules 16,9 % des exploitations et entreprises agricoles étaient dirigées par des femmes exclusivement. Dans les années 1970, elles étaient à peine 8 %.

Si elles restent moins nombreuses que les hommes, ces agricultrices sont néanmoins plus engagées qu’eux dans des productions en agriculture biologique et en vente directe aux consommateurs. Ces femmes pratiquent un retour à la paysannerie, en lien direct avec les habitants de leur région. Selon ce sondage de 2022, elles sont heureuses de leur métier, mais inquiètes pour leur avenir.

C’est aussi ce qui ressort de nos rencontres avec ces six agricultrices de Loire-Atlantique. Au fil des saisons d’une année 2022 marquée par la sécheresse, la crise énergétique, l’inflation galopante et la crise de la bio, Reporterre a suivi leur quotidien pour comprendre comment elles envisagent le futur..../..." Maylis Rolland

                   photo source Reporterre




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                                                                et inversement

 


        "L'humour renforce notre instinct de survie et sauvegarde notre santé d'esprit."
                  Charlie Chaplin 
 
 
                       
"T'as pas les mêmes couleursT'as pas la même voixT'as pas les mêmes heuresT'a pas les mêmes doigtsC'est pas la même vieC'est pas la même histoirePas les mêmes jeudisPas les mêmes devoirs
DifférenceDifférence
Tu as pas les mêmes yeuxT'as pas les mêmes motsTa vie en couvre feuTu la vis en soloT'as pas le même cœurPas le même sourireDessine-moi j'ai peurUn bateau pour partir
DifférenceDifférence
T'as pas les mêmes regardsPas les mêmes silencesPas les mêmes départsDe mon port de plaisanceTu as pas les mêmes parfumsPas les mêmes essencesLa voiture ou le trainSont de longues distances
DifférenceDifférence
T'as pas les mêmes couleurs (Tu as pas les mêmes couleurs)Tu as pas la même voix (Tu as pas la même voix)T'as pas les mêmes heures (T'as pas les mêmes heures)T'a pas les mêmes doigts (T'a pas les mêmes doigts)C'est pas la même vie (C'est pas la même vie)C'est pas la même histoire (C'est pas la même histoire)Pas les mêmes jeudis (Pas les mêmes jeudis)Pas les mêmes devoirs (Pas les mêmes devoirs)
DifférenceDifférenceDifférenceDifférence"   Isabelle Mayereau
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