\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\
]]]]]]]]]]]]]]]]]]]]]]]]]]]]]]]]]]]]]]]]]]]]]]]]]]]]]]]]]]]]]]
photo: Les Coindrons
Z'et pendant ce temps là, du Pays des Khmers
LES Coindrons nous proposent:
CAMBODGE ENFANCE DEVELOPPEMENT
dimanche 30 mars 2014
vendredi 28 mars 2014
l'abeille et la bête
"Il y a un mot qui m'exalte, un mot que je n'ai jamais entendu sans ressentir un grand frisson, un grand espoir, le plus grand, celui de vaincre les puissances de ruine et de mort qui accablent les hommes, ce mot c'est: fraternisation."
-Paul Eluard-
"Trois allumettes;
allumette brûlée de la mort
allumette brûlant de l'amour
allumette à brûler de la vie.
Trois allumettes:
passé
présent
avenir.
Trois allumettes:
tristesse
joie
espoir.
Trois allumettes:
Entre deux morts,
L'île d'amour,
Ce qu'il faut de patience, En vie."
-Bernard Bretonnière-
Fulup nous envoie ceci:
Madame,
Monsieur,
Le
Parlement européen vient d'adopter en catimini un texte (1) qui demande la
réhabilitation des insecticides néonicotinoides « tueurs
d'abeilles », partiellement interdits en Europe depuis Mai
2013.
Cette
décision totalement inacceptable remet en question le rapport de l'EFSSA,
l'autorité sanitaire européenne, préconisant le retrait pur et simple des
néonicotinoides de tout l'espace européen... Elle tire un trait sur
plus d'une centaine d'études dénonçant la toxicité exceptionnelle de ces
insecticides et leurs effets catastrophiques sur les abeilles,
l'environnement et l'avenir même des cultures qui nous nourrissent
aujourd'hui...
Elle méprise les efforts
acharnés menés par les apiculteurs et des millions de citoyens à travers
l'Europe pendant plus de dix ans pour sauver les pollinisateurs
et les cultures qui en dépendent.
Elle
trahit surtout l'influence grandissante des
lobbys de l'agrochimie auprès des institutions européennes, et le
détournement du processus démocratique au profit d'une petite poignée
d'intérêts particuliers.
Il
est encore temps d’agir : pour contrer l’influence des
lobbys agrochimiques et obtenir une réelle interdiction des pesticides
tueurs d’abeilles,
un moyen de pression exceptionnel se présente à nous - les
élections européennes de Mai 2014.
D’ici
peu, les candidats vont se mettre en campagne pour essayer de glaner nos
voix.
C'est
une occasion unique de leur faire entendre, par une mobilisation
massive et immédiate de millions de citoyens à travers toute
l'Europe :
Nous refusons que les futurs
députés européens censés nous représenter sacrifient l’alimentation et
l’environnement des générations futures pour satisfaire les profits
immédiats de quelques multinationales bien placées... Leur élection
dépend de leur engagement
aujourd'hui !
S’il
vous plaît, signez immédiatement l'Appel aux futurs députés européens pour faire interdire
définitivement les pesticides tueurs d'abeilles en
Europe.
Pollinis
fera suivre cet Appel à tous les candidats de votre circonscription qui se
présentent aux élections européennes - au fur et à mesure que les
signatures nous arriveront.
Et s’il vous plait, faites
passer le message à vos amis et contacts de l’Europe entière, pour mettre
la pression aux candidats de tous les pays de
l’UE ! Nous voulons les noyer sous un
flot de messages exigeant leur engagement ferme à faire interdire
définitivement les néonicotinoides en Europe s'ils veulent être élus (ou
ré-élus).
Nous les
contacterons un par un, et nous ferons connaître à tous leur position,
avant les élections. Les élections sont le seul moment où les députés
ont vraiment besoin de nous rendre des comptes. Ils nous suivrons si nous
sommes suffisamment nombreux à l'exiger.
C'est
difficile à croire, mais la grande majorité des députés
qui ont voté le 11 mars 2014 pour demander que les néonicotinoides soient
à nouveau utilisés sans restriction en Europe, n'est même pas consciente
de l'avoir fait.
Voilà
comment les lobbys s'y sont pris pour manipuler les institutions
européennes :
L'euro-députée Anthea McIntyre,
membre suppléante de la Commission agriculture et connue pour relayer les
intérêts des industriels britanniques au sein du Parlement européen, a
commencé par déposer un texte intitulé « L'Avenir du secteur
horticole en Europe – stratégies pour la
croissance ».
Au
dernier moment, et juste avant que le texte ne soit soumis au vote du
Parlement, une série de propositions directement dictées par les firmes
agrochimiques – les seules a avoir été consultées pour la rédaction de
ce texte – a été ajoutée en catimini, noyées au milieu d'une
cinquantaine de recommandations pour soutenir les entreprises européennes
de la filière horticole.
Le texte
a été adopté à la va-vite, le 11 mars 2014, en même temps qu'une trentaine
d'autres textes complexes votés en moins de deux heures ce jour-là... Et
voilà comment, avec le soutien d'un minimum de députés, les lobbies sont
capable d'imposer leur plan anti-abeilles qui devient du jour au lendemain
LA position officielle du Parlement
européen.
Que les
députés l'aient voulu ou non ne change rien à l'affaire : la
Commission européenne est officiellement invitée à revoir l'interdiction
des néonicotinoides en tenant compte du manque à gagner pour les firmes
agrochimiques qui les commercialisent.
C'est
inimaginable si on ne suit pas de près les manœuvres des lobbyistes au
niveau européen !
C'est
pourquoi je vous demande de signer au plus vite l'Appel
aux futurs députés européens pour rendre les institutions
démocratiques européennes aux citoyens qu'elles sont censées
servir.
Pollinis
est en train de créer un véritable « lobby de citoyens » pour
faire valoir nos droits et nos intérêts auprès des institutions
européennes et peser dans la balance face aux lobbys de
l'agrochimie.
Les
forces auxquelles nous nous attaquons sont colossales :
La vente
du seul imidaclopride, l'un des néonicotinoides tueurs d'abeilles
partiellement interdit en Europe, rapporte à lui seul plus de 2,6
milliards de dollards chaque année à la firme Bayer qui le
commercialise - de quoi payer des bataillons de
scientifiques et d'avocats et de juristes pour faire passer les intérêts à
court terme des firmes agrochimiques avant l'intérêt de centaines de
millions de citoyens à travers le monde.
Nous
n'avons pas leurs milliards pour nous défendre, mais nous avons le
nombre suffisant pour contraindre n'importe quel élu à nous écouter,
si nous
réussissons à alerter et rassembler un maximum de citoyens à travers
l'Europe.
Nous ne
pouvons pas baisser les bras, l'enjeu est trop grand. Si ces produits
reviennent sur le marché, c’est la mort assurée de dizaines de millions
d’abeilles supplémentaires !
Rappelez-vous : il y a
quelques mois, un document interdisant trois pesticides notoirement
meurtriers pour les pollinisateurs (la Clothianidine, le Thiamethoxame et
l'Imidaclopride) pour deux ans, le temps de voir si les abeilles se
portent mieux (2).
A
l’époque, tous les défenseurs des pollinisateurs avaient crié victoire :
cela faisait si longtemps que nous nous battions tous pour débarrasser les
champs et les cultures de ces pesticides si nocifs pour les abeilles
qu'ils sont capables de décimer des colonies entières en quelques jours
(3).
Nous
avons vite réalisé que cette interdiction est un
leurre.
Il
s'agit en vérité d'un plan désastreux imaginé par les firmes agrochimiques
– BayerCrop et Syngenta en tête - pour blanchir leurs produits et
sécuriser des centaines de millions d'euros de profits
annuels.
Nous
devons absolument contrer ce plan destructeur dès maintenant, en agissant
sur les futurs députés européens, avant que les conséquences soient
irréversibles pour les pollinisateurs, les cultures et toute
l'alimentation dans les années à venir.
Ce plan,
le voici :
La
régulation de la Commission européenne décrète que les pesticides tueurs
d'abeilles seront interdits seulement quelques mois par an... et largement
utilisés tout le reste de l'année – sur près de 85% des céréales, et sur
une grande partie des cultures de fruits, légumes et herbes aromatiques –
empoisonnant largement les sols et l'eau absorbés ensuite par les cultures
soi-disant « non-traitées ».
De
nombreuses études ont montré que ces substances ultra-toxiques peuvent
rester présentes dans le sol jusqu'à dix-neuf ans après le traitement (4),
et dans de grosses concentrations les premières années. Du coup, les
cultures non-traitées replantées sur le même terrain révèlent des traces
de néonicotinoïdes jusque dans leur pollen... que viennent ensuite butiner
les abeilles ! (5)
A la fin
de la période-test de deux ans, les multinationales pourront prouver que
les abeilles continuent d'être décimées malgré la soi-disant interdiction
de leurs produits, et qu'ils n'y sont pour rien. Ils auront réussi à
blanchir leurs pesticides et à maintenir leurs profits – et pour longtemps
!
Et des
centaines et des centaines de tonnes de néonicotinoïdes continueront
d'être utilisés en pure perte dans l'agriculture, détruisant l'écosystème
et mettant en péril l'alimentation et la survie des générations
futures.
Je dis
bien en pure perte, car ici encore bon nombre d'études et
d'analyses ont montré que les pesticides néonicotinoïdes sont loin d'être
indispensables à l'agriculture, comme voudraient le faire croire les
firmes agrochimiques :
- ils
sont beaucoup trop puissants par rapport aux insectes qu'ils sont censés
combattre (on a multiplié par 900 la toxicité des pesticides en quelques
années, c’est totalement démesuré !) ;
- ils
sont utilisés de façon systématique, en dépit du bon sens, peu importe si
les cultures risquent d'être attaquées par des pestes ou non
;
- ils
coûtent cher, car issus d'une technologie coûteuse (celle de l'enrobage de
la graine, spécialité de Monsanto)
Une
étude montre noir sur blanc qu'en termes de rendement pour l'agriculteur,
l'utilisation de ces pesticides de façon systématique ou non ne fait
aucune différence. Mais vu leur coût élevé, l'agriculteur ferait plus de
profits s'il ne les utilisait pas (6).
Vous
l'avez bien compris, à part les grosses entreprises
agrochimiques, PERSONNE n'a à gagner à laisser ces produits toxiques sur
le marché : la nature en meurt, l'humanité est menacée, et
seule une mobilisation massive des citoyens à travers toute l'Europe
pourra stopper ce plan destructeur des
agrochimistes.
Avec les élections européennes
qui approchent, nous avons une occasion unique d’obliger les futurs
députés européens à prendre des engagements fermes et précis sur les
pesticides tueurs d’abeilles. C’est maintenant qu’il faut
agir :
D’ici
peu ils entreront en campagne : nous devons les obliger à intégrer
dans leur programme l’interdiction des néonicotinoïdes, si importante pour
l’avenir des abeilles, de notre alimentation et de la
Nature.
Une fois
élus, ils n’auront pas d’autre choix que d'annuler le texte qui vient
d’être voté en faveur des agrochimistes, et de promulguer au contraire une
interdiction REELLE des pesticides néonicotinoïdes tueurs
d'abeilles.
Pour aider Pollinis à mettre une
pression maximale sur les eurodéputés de toute l’Europe, merci
de :
2/ Transférer cet email le plus
largement possible autour de vous, surtout si vous avez des amis ou des
contacts dans d’autres pays de l’Union Européenne. Pour que notre campagne
sur les futurs députés soit un succès, nous devons mettre une pression sur
les candidats de l’Europe entière !
Merci
d’avance de votre action pour défendre les pollinisateurs et protéger
l’environnement et l’alimentation des générations
futures.
Nicolas
Laarman
Délégué
général
POLLINIS
| ||||||||
| ||||||||
Références :
(1) Résolution du Parlement européen du 11 mars 2014 sur l'avenir du secteur horticole en Europe: stratégies pour la croissance (2013/2100(INI)) |
Association Loi 1901 Conservatoire
des Fermes et de la Nature
143 avenue Parmentier – 75010 Paris www.pollinis.org
143 avenue Parmentier – 75010 Paris www.pollinis.org
\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\
Dans le cadre de "Voix bretonnes" OKTOPUS KAFE" se produira ce week-end au château des Ducs de Bretagne.
Plus d'infos
mercredi 26 mars 2014
Fest Noz Diwan Sant-Nazer
Le comité de soutien de l'école Diwan de SaintNazaire/Sant-Nazer organise samedi 29 Mars à à la salle Jacques Brel son Fest-noz annuel.
Les enfants de l'école "ouvriront le bal" dès 20h avec des chansons en breton
et ensuite se produiront (en autre) :
AtHôJizZ
Cantaud-Hellou
Trio Gwan
Trio Alcon
]]]]]]]]]]]]]]]]]]]]]]]]]]]]]]]]]]
Pour Damien, Grand petit Homme à l'immense sourire:
".../...On vit on mange et puis on meurt
Vous ne trouvez pas que c'est charmant
Et qu'ça suffit à notre bonheur
Et à tous nos emmerdements.../..."
-Léo Ferré-
" Les pommiers fleuris du printemps
Et la grêle de temps en temps
Sur les talus la blanche épine
La tige fine qui s´incline
Les ajoncs de La Roche-Bernard
Beauté prise dans un regard
Par chance et aussi par vouloir
Je dors en Bretagne ce soir
L´abeille sur le liseron blanc
Et en surface d´océan
L´évanouissement des vagues
L´ombre d´un chemin qui zigzague
La graine des genêts craquant
En plein midi au bord des champs
Par chance et aussi par vouloir
Je dors en Bretagne ce soir
Les bruines de l´arrière-saison
Voilant des ports sans horizon
Une sirène qui résonne
Portant mélancolie d´automne
Le galop fou du vent salé
Sur l´infini des monts d´Arrée
Par chance et aussi par vouloir
Je dors en Bretagne ce soir
L´onglée du pêcheur étripant
Le poisson sur le pont glissant
L´alignement mégalithique
Que fait reluire la pluie oblique
Et un peu de neige parfois
Qui blanchit l´ardoise des toits
Par chance et aussi par vouloir
Je dors en Bretagne ce soir
Dans la beauté"
- Gilles Servat-
mardi 25 mars 2014
les petites leçons de choses
LES PRECURSEURS
"Croyez-vous que nous serions là, à parler,
si jamais un poisson
n'avait été assez fou
pour apprendre à marcher?
-Francis Combes-
créations et photos Monique A.
RECONSTITUTION
"Peut-être après demain un savant
participant à des fouilles archéologiques
tentera t-il de reconstituer notre civilisation,
son organisation sociale,
ses valeurs morales,
à partir de la découverte seulement
d'un jeton de présence...
On imagine son embarras."
-Francis Combes-
EVIDENCE
"La bonne santé d'une entreprise se juge à ses profits.
C'est évident.
Comme est évidente cette constatation:
La terre est plate."
-Francis Combes-
IDENTITE 2
"Avoir des racines
mais alors pour en faire ce qu'en font les arbres
pour grandir,
pour pousser plus haut,
pour monter vers la lumière,
pour étendre plus loin ses branches,
pour accueillir dans son feuillage
les vents qui passent
et les chants d'oiseaux."
-Francis Combes-
"Les petites leçons de choses" Editions "La revue Commune"
lundi 24 mars 2014
mots à maux
photo: Marc Racineux
Un
lendemain
défaite
où après l'effervescence et le bruit,
il me vient comme une envie de m'allonger dans "l'herbe tendre"
sous l'oeil goguenard sans doute, mais bienveillant, d'un rocher qui en a tellement vu d'autres
de désillusions en tempêtes...
Doux rêveur peut-être
Utopiste?
Et alors!
Je ne suis pas peu fier de le revendiquer.
Croire que l'on peut essayer de faire bouger des bastions apparemment imprenables,
qu'en tant que citoyen, là où l'on se trouve avec des ptits bras fragiles, on s'imaginerait
gérer une commune avec un peu plus d'écoute et de respect de l'autre, de remise en cause d'un pouvoir orgueilleux et tellement éloigné des préoccupation du quotidien de la majorité d'entre-nous...
Mais qui l'eut cru?
Et bien moi peut-être, amateur en politique avec quelques autres,
afin de ne pas toujours rester dans la marge d'un cahier de doléances à mettre si facilement ( à l'arrière du front) des mauvaises notes à tous et chacun au stylo noir ou rouge,
à s'accommoder bon an mal an
d' un: J'y suis pour rien,
ça me fatigue,
j'ai rien demandé,
ce n'est pas de ma faute,
font tous chier et
d'ailleurs je l'avais bien dit...
etc etc..etc
M'enfin, quand même je me débrouille
avec la bénédiction accordée aux contemplatifs
dans les ersatz de démocratie,
"Changeons la ville"
est une jeune et belle pousse
-d'ici et maintenant- qui ne demande qu'à grandir
et qui sait?
avec vous peut-être?
Il y a toujours plein d'idées folles, drôles, généreuses et collectives, dans le sac à malices des empêcheurs de vivre en rond
ron.
Vous avez certainement les vôtres.
Alors...si vous êtes d'accord,
on s'en reparle très bientôt
citation d'un lundi de circonstance proposée par Patrick:
"Nous ne sommes en rien des objets soumis à quelque destin, mais des passagers conscients et mortels, agissant sur cette planète. Nous sommes des dépositaires et passeurs d'expériences, de savoirs, échangeant en projections leurs questionnements, leurs ambitions, leurs idées, rêves et idéaux, leurs luttes et combats pour avancer en résonances, par nos unicités partagées"
-Albert Jacquard-
A suivre ce qu'on pouvait lire le 21 mars dernier dans le magazine Global
MUNICIPALES LE REVE 2034
- photo: Marc Racineux-
TRIPATOUILLAGE BERCYLIEN
Comme un certain nombre d'entre-vous , je paie ma facture d'eau par prélèvement mensuel 10 mois dans l'année et le onzième en fonction de la consommation, taxes et autres joyeusetés, en même temps que le nouvel échéancier, on remet les pendules à l'heure ( enfin le service concerné) et ainsi, soit je règle mon dû , soit si j'ai trop payé- ouf! et youpi! j'ai droit à un avoir.
Enfin!, ç'était comme cela, jusqu'à ce que, quelque machiavélique Hôhôhô! commis(que) de l'Etat, imagine une autre façon de faire; à savoir empêcher les services des eaux (ben pourquoi donc ? ) de gérer l'affaire et sous couvert d'un nouveau règlement surréaliste (ça m'embête de causer ainsi parce que le Surréalisme c'est quand même autre chose qu'une pensée perverse et tordue sortie tout droit de la machine à fabriquer des enfoirés ...) qui stipule que l'on ne peut faire plus d'une fois une soustraction sur une facture d'eau (???) et donc, super pirouette cacahuète...effectivement vous avez réglé sur 10 mois mais le service de l'eau n'en prend en compte que sept et ainsi au final même si vous avez trop versé vous leur devez quand même des sous. Trop fort non? Alors bien sur, attention, l'Etat comme chacun sait est une officine "foncièrement" honnête (on ne rit pas dans les rangs merci) et dorénavant c'est le Trésor pudique qui remboursera le trop perçu avant que (logiquement) le service de l'eau ne vous facture les trois mois payés mais pas pris en compte.
Vous me suivez là?
Ben vous avez de la chance, parce que moi...
C'est une gentille dame (et je lui souhaite sincèrement bien du courage) postée aux avants-postes d'un service consommateur qui a tenté de m'expliquer ce tripatouillage dont elle même avait bien du mal à comprendre les raisons, si ce n'est de se dire "pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué" et de se prendre dans la tronche les appels à répétition de clients pour le moins courroucés...
Personnellement, je ne pense pas -comme beaucoup d'autres choses du genre administratif- que ce soit l'oeuvre du grand Z'Hazard. II existe certainement en amont,en aval ou en arrière toute... une belle magouille de tripatouillage (légal bien sur.) des comptes, style jeu de bonneteau -tu l'as vu il est là il est plus là, désolé! perdu- dont la subtilité n'est pas apparente pour le commun des mortels mais qui très certainement (ayons confiance dans l'imagination..) doit permettre une arnaque qui multipliée aux nombre de gogos dans mon genre peut rapporter gros.
Un
lendemain
défaite
où après l'effervescence et le bruit,
il me vient comme une envie de m'allonger dans "l'herbe tendre"
sous l'oeil goguenard sans doute, mais bienveillant, d'un rocher qui en a tellement vu d'autres
de désillusions en tempêtes...
Doux rêveur peut-être
Utopiste?
Et alors!
Je ne suis pas peu fier de le revendiquer.
Croire que l'on peut essayer de faire bouger des bastions apparemment imprenables,
qu'en tant que citoyen, là où l'on se trouve avec des ptits bras fragiles, on s'imaginerait
gérer une commune avec un peu plus d'écoute et de respect de l'autre, de remise en cause d'un pouvoir orgueilleux et tellement éloigné des préoccupation du quotidien de la majorité d'entre-nous...
Mais qui l'eut cru?
Et bien moi peut-être, amateur en politique avec quelques autres,
afin de ne pas toujours rester dans la marge d'un cahier de doléances à mettre si facilement ( à l'arrière du front) des mauvaises notes à tous et chacun au stylo noir ou rouge,
à s'accommoder bon an mal an
d' un: J'y suis pour rien,
ça me fatigue,
j'ai rien demandé,
ce n'est pas de ma faute,
font tous chier et
d'ailleurs je l'avais bien dit...
etc etc..etc
M'enfin, quand même je me débrouille
avec la bénédiction accordée aux contemplatifs
dans les ersatz de démocratie,
"Changeons la ville"
est une jeune et belle pousse
-d'ici et maintenant- qui ne demande qu'à grandir
et qui sait?
avec vous peut-être?
Il y a toujours plein d'idées folles, drôles, généreuses et collectives, dans le sac à malices des empêcheurs de vivre en rond
ron.
Vous avez certainement les vôtres.
Alors...si vous êtes d'accord,
on s'en reparle très bientôt
citation d'un lundi de circonstance proposée par Patrick:
"Nous ne sommes en rien des objets soumis à quelque destin, mais des passagers conscients et mortels, agissant sur cette planète. Nous sommes des dépositaires et passeurs d'expériences, de savoirs, échangeant en projections leurs questionnements, leurs ambitions, leurs idées, rêves et idéaux, leurs luttes et combats pour avancer en résonances, par nos unicités partagées"
-Albert Jacquard-
A suivre ce qu'on pouvait lire le 21 mars dernier dans le magazine Global
MUNICIPALES LE REVE 2034
Municipales le rêve 2034
Gilles
Denigot, 65 ans, docker en retraite, est candidat à la mairie Saint-Nazaire à
la tête d'une liste « Changeons la Ville » qui se veut « Citoyenne et
Écologiste » et qui revendique sa situation "en dehors des partis
politiques". Le gaillard est connu pour son passé de syndicaliste radical,
libertaire et pragmatique. A la tête du syndicat CGT des dockers de Saint
Nazaire, il a tenu la dragée haute autant aux patrons du port de Nantes-Saint
Nazaire qu'aux émissaires communistes de la centrale syndicale. Il doit être le
seul, ou le rare, délégué CGT à avoir organisé le soutien actif au mouvement
polonais Solidarnosc en 1981. Ancien conseiller municipal (Vert, sur
liste commune avec le PS) à Saint Nazaire (2001), il a acquis de ce mandat
municipal et d'un autre comme conseiller général (2008, EELV), la conviction de
ne pas pouvoir travailler avec le parti socialiste, à la tête de la municipalité
depuis 1920. En délicatesse avec l'état major national d'EELV qui exigeait de
lui d'être sur la liste commune PS-PCF-PRG-EELV emmenée par le socialiste David
Samzum, Gilles Denigot a rassemblé écologistes, militants bretons et
citoyens de gauche sur un programme d'écologie politique structuré sur
l'approfondissement de la démocratie et la cohérence entre la pensée et
l'action.
Gilles Denigot, 65 ans, docker en retraite, est candidat à la mairie Saint-Nazaire à la tête d'une liste « Changeons la Ville
» qui se veut « Citoyenne et Écologiste » et qui revendique sa
situation "en dehors des partis politiques". Le gaillard est connu pour
son passé de syndicaliste radical, libertaire et pragmatique. A la tête
du syndicat CGT des dockers de Saint Nazaire, il a tenu la dragée haute
autant aux patrons du port de Nantes-Saint Nazaire qu'aux émissaires
communistes de la centrale syndicale. Il doit être le seul, ou le rare,
délégué CGT à avoir organisé le soutien actif au mouvement polonais
Solidarnosc en 1981. Ancien conseiller municipal (Vert, sur liste
commune avec le PS) à Saint Nazaire (2001), il a acquis de ce mandat
municipal et d'un autre comme conseiller général (2008, EELV), la
conviction de ne pas pouvoir travailler avec le parti socialiste, à la
tête de la municipalité depuis 1920. En délicatesse avec l'état major
national d'EELV qui exigeait de lui d'être sur la liste commune
PS-PCF-PRG-EELV emmenée par le socialiste David Samzum, Gilles Denigot a
rassemblé écologistes, militants bretons et citoyens de gauche sur un
programme d'écologie politique structuré sur l'approfondissement de la
démocratie et la cohérence entre la pensée et l'action.
Gilles Denigot, 65 ans, docker en retraite, est candidat à la mairie Saint-Nazaire à la tête d'une liste « Changeons la Ville
» qui se veut « Citoyenne et Écologiste » et qui revendique sa
situation "en dehors des partis politiques". Le gaillard est connu pour
son passé de syndicaliste radical, libertaire et pragmatique. A la tête
du syndicat CGT des dockers de Saint Nazaire, il a tenu la dragée haute
autant aux patrons du port de Nantes-Saint Nazaire qu'aux émissaires
communistes de la centrale syndicale. Il doit être le seul, ou le rare,
délégué CGT à avoir organisé le soutien actif au mouvement polonais
Solidarnosc en 1981. Ancien conseiller municipal (Vert, sur liste
commune avec le PS) à Saint Nazaire (2001), il a acquis de ce mandat
municipal et d'un autre comme conseiller général (2008, EELV), la
conviction de ne pas pouvoir travailler avec le parti socialiste, à la
tête de la municipalité depuis 1920. En délicatesse avec l'état major
national d'EELV qui exigeait de lui d'être sur la liste commune
PS-PCF-PRG-EELV emmenée par le socialiste David Samzum, Gilles Denigot a
rassemblé écologistes, militants bretons et citoyens de gauche sur un
programme d'écologie politique structuré sur l'approfondissement de la
démocratie et la cohérence entre la pensée et l'action.
Gilles Denigot, 65 ans, docker en retraite, est candidat à la mairie Saint-Nazaire à la tête d'une liste « Changeons la Ville
» qui se veut « Citoyenne et Écologiste » et qui revendique sa
situation "en dehors des partis politiques". Le gaillard est connu pour
son passé de syndicaliste radical, libertaire et pragmatique. A la tête
du syndicat CGT des dockers de Saint Nazaire, il a tenu la dragée haute
autant aux patrons du port de Nantes-Saint Nazaire qu'aux émissaires
communistes de la centrale syndicale. Il doit être le seul, ou le rare,
délégué CGT à avoir organisé le soutien actif au mouvement polonais
Solidarnosc en 1981. Ancien conseiller municipal (Vert, sur liste
commune avec le PS) à Saint Nazaire (2001), il a acquis de ce mandat
municipal et d'un autre comme conseiller général (2008, EELV), la
conviction de ne pas pouvoir travailler avec le parti socialiste, à la
tête de la municipalité depuis 1920. En délicatesse avec l'état major
national d'EELV qui exigeait de lui d'être sur la liste commune
PS-PCF-PRG-EELV emmenée par le socialiste David Samzum, Gilles Denigot a
rassemblé écologistes, militants bretons et citoyens de gauche sur un
programme d'écologie politique structuré sur l'approfondissement de la
démocratie et la cohérence entre la pensée et l'action.
Voici son
rêve:
"Alors que
sera Saint-Nazaire, ville aujourd'hui portuaire et industrielle, en 2034 ?
Cette question me taraude, car je suis obligé d'y donner deux réponses en
quelques actes :
Acte 1
La nuit, je
l'imagine en rêve et je la vois joyeuse, partageuse, prête à innover et à
libérer toutes les énergies citoyennes et créatives. Elle devient un espace de
démocratie vivante non muselée, non contrôlée comme je l'avais connue et
combattue. Quel bonheur de voir mon fils qui a désormais 28 ans se mouvoir dans
cet espace de joie, de démocratie, de liberté.
Mais le
jour, je me réveille et je suis
confronté aux « chocs successifs des complications » une bureaucratie qui
bloque toutes les démarches citoyennes, des associations nombreuses dans la
ville mais sous contrôles et soucieuses d'être dans le tempo municipal pour les
sacro-saintes subventions.
Des débats «
organisés et contrôlés » dans les comités de quartiers fermés aux seuls membres
et ou les citoyens corrigent à la marge les volontés municipales. C'est une
mauvais journée de cette « démocratie représentative » en fin de cycle et
profondément incompatible avec cette économie qui produit de plus en plus avec
de moins en moins de monde au travail. Cette économie en mutation qui annonce
les changements qui correspondent à sa représentation politique.
Acte 2
Je me couche
à nouveau et je rêve d'un combat que nous allons gagner contre les
productivistes - du PS à l'UMP - associés avec les multinationales du
BTP.
Nous avons
brillamment fait fonctionner nos trois piliers de la lutte contre le projet
aberrant d'un nouvel aéroport à Notre Dame des Landes aux portes de Nantes et
de Saint-Nazaire. Mobilisation paysanne et citoyenne, mobilisation des élus
opposés et mobilisation juridique.
Je vois les
paysans continuer à travailler leur terre, celle qu'ils transmettent aux
générations futures; ils se convertissent à l'agriculture biologique; je
vois ces nouveaux paysans, maraîchers, éleveurs qui étaient appelés « Zadistes
» car ils étaient aux côtés des paysans historiques et occupants illégaux de
cette "Zone à Défendre ".
Ils sont installés
pour certains dans des formes nouvelles de productions et d’échanges. Une
monnaie locale circule, des ACAPE et AMAP ont fait de NDDL un marché nomade que
les Nantais et habitants de la périphérie considèrent comme leur nouvelle vie
plus sociale, plus écologique plus humaine, moins « marchande .
Un «
forum-musée citoyen » est installé sur l'ex-ZAD, avec des visiteurs qui
viennent découvrir ce qu'était cette grande lutte citoyenne. Mon fils Valentin
qui est né dans ce combat, s'y promène avec beaucoup de bonheur et de souvenirs
d'enfance.
Puis je me
lève et c'est différent. Les bétonneurs et leurs complices politiques ont mis à terre les
directives sur l'eau et les milieux humides. La pression des pouvoirs
économiques et politiques a eu raison de l'écologie. Les bulldozers sont à
l’œuvre, les fermes rasées les habitants expulsés. Comble du cynisme, cet
aéroport inutile est en mode HQE avec propagande "écologique"
assortie. Le nombre de vols ne croît pas, c'est donc un copié-collé de l'aéroport
prétendûment obsolète, un Nantes-Atlantique bis; mais il permet aux promoteurs
de réaliser leur projet immobilier au sud Loire.
Néanmoins,
les ennuis commencent: en bétonnant ces terres humides, en niant les
fonctionnalités des trames bleues capteuses d'eau, en détruisant les 90
kilomètres de haies de Notre-Dame des Landes, les précipitations ruissellent au
sol et rendent impraticables la circulation routière aux portes de Nantes. Il
faut bien que l'eau sorte quelque part... Et la population subit les hausses
fiscales liées aux reconnaissances de « catastrophes naturelles » en cascade,
provoquées par les inondations à répétition. Nous sommes face à un monde
politique irresponsable et qui surtout ne veut ou ne peut reconnaître ses
responsabilités.
Acte 3
Je me couche
et vois comment les associations, les syndicats, les citoyens ont mis un terme
au non-sens économique et social. Enfin, nous avons vu collectivement que les
crises n'étaient que des crises de surproduction chroniques où le travail
humain devenait rare mais les productions étaient réalisées grâce à une
mutation technologique et informationnelle. Les salariés se sont organisés, ont
revendiqués leur part des fruits du progrès et de l'intelligence humaine. Cette
relève du travail humain par les machines permet d'assurer à tous un revenu
social dissocié du travail salarié du siècle passé. La jeunesse de 2034 a du
mal à comprendre pourquoi nous avions 5 millions de chômeurs et que nous étions
incapables de partager le travail résiduel. Désormais, le « travail-salarié »
se distribue par rotation-formation-désirs. Le temps libéré et payé par le
revenu social a ouvert les créativités individuelles et collectives. Les
communes jouissent de ces richesses.
L'éco-partage devient un mode de pensée et la
culture dominante; les monnaies locales re-localisent les emplois. Les
politiques de l’habitat sont pensées autrement,
logements modulables,
liens intergénérationnels. Les espaces publics sont... publics et deviennent
des jardins partagés dans la ville, sous la houlette de ces « incroyables comestibles
» qui en avaient lancé l'idée. Les arbres fruitiers poussent sur les espaces
publics, ainsi que de nombreux potagers; les liens sociaux sont
considérablement installés dans la culture.
Mais à
l'aube c’est le crépuscule. Saint-Nazaire malgré l'alternance de courte durée a continué à
bétonner et à pratiquer les extensions urbaines. Les zones d'activités ont
proliféré en se faisant une concurrence violente, les faillites sont désormais
dans ces zones d'activités et de commerces qui ont tué le centre-ville pour
faire une cité dortoir.
La Brière et
la Loire subissent à leur tour les conséquences des erreurs humaines -
écologiques, financières - du bétonnage de la Vasière de Méan pour en faire un
inutile parking automobile import-export. En conséquence, les crues inondent le
marais briéron et ses habitants, le bouchon vaseux devient de plus en plus
violent contre l'écosystème en Loire. Et ce site remarquable pour la faune, la
flore mais aussi pour la régulation générale des eaux est détruit. De
Saint-Nazaire à Pornichet, ils ont bétonné, même chose jusqu'à St André des
Eaux. Les corridors écologiques,les trames vertes, ont disparu; les élus
prônent l'adaptation aux réalités ... qui ne sont que celles dictées par le
profit à court terme. Les grandes surfaces et les zones d'activités de
périphérie embauchent mais ce ne sont désormais que des vigiles ... pour éviter
les interventions des habitants condamnés au chômage intergénérationnel sans
revenu. Les révoltes régulières des exclus du marché de l'abondance non
distribuée et de la consommation réservée aux nantis provisoires, entretiennent
des situations de tension et des convoitises d'où le développement des secteurs
sous gardiennage.
Acte 4
J'arrête,
car je préfère aller dormir que de voir et accepter nos échecs militants et
politiques, nos mauvais choix politiques d'il y a vingt ans et plus. Et rêver
nos chemins d'avenir."
Gilles
Denigot
- photo: Marc Racineux-
TRIPATOUILLAGE BERCYLIEN
Comme un certain nombre d'entre-vous , je paie ma facture d'eau par prélèvement mensuel 10 mois dans l'année et le onzième en fonction de la consommation, taxes et autres joyeusetés, en même temps que le nouvel échéancier, on remet les pendules à l'heure ( enfin le service concerné) et ainsi, soit je règle mon dû , soit si j'ai trop payé- ouf! et youpi! j'ai droit à un avoir.
Enfin!, ç'était comme cela, jusqu'à ce que, quelque machiavélique Hôhôhô! commis(que) de l'Etat, imagine une autre façon de faire; à savoir empêcher les services des eaux (ben pourquoi donc ? ) de gérer l'affaire et sous couvert d'un nouveau règlement surréaliste (ça m'embête de causer ainsi parce que le Surréalisme c'est quand même autre chose qu'une pensée perverse et tordue sortie tout droit de la machine à fabriquer des enfoirés ...) qui stipule que l'on ne peut faire plus d'une fois une soustraction sur une facture d'eau (???) et donc, super pirouette cacahuète...effectivement vous avez réglé sur 10 mois mais le service de l'eau n'en prend en compte que sept et ainsi au final même si vous avez trop versé vous leur devez quand même des sous. Trop fort non? Alors bien sur, attention, l'Etat comme chacun sait est une officine "foncièrement" honnête (on ne rit pas dans les rangs merci) et dorénavant c'est le Trésor pudique qui remboursera le trop perçu avant que (logiquement) le service de l'eau ne vous facture les trois mois payés mais pas pris en compte.
Vous me suivez là?
Ben vous avez de la chance, parce que moi...
C'est une gentille dame (et je lui souhaite sincèrement bien du courage) postée aux avants-postes d'un service consommateur qui a tenté de m'expliquer ce tripatouillage dont elle même avait bien du mal à comprendre les raisons, si ce n'est de se dire "pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué" et de se prendre dans la tronche les appels à répétition de clients pour le moins courroucés...
Personnellement, je ne pense pas -comme beaucoup d'autres choses du genre administratif- que ce soit l'oeuvre du grand Z'Hazard. II existe certainement en amont,en aval ou en arrière toute... une belle magouille de tripatouillage (légal bien sur.) des comptes, style jeu de bonneteau -tu l'as vu il est là il est plus là, désolé! perdu- dont la subtilité n'est pas apparente pour le commun des mortels mais qui très certainement (ayons confiance dans l'imagination..) doit permettre une arnaque qui multipliée aux nombre de gogos dans mon genre peut rapporter gros.
Inscription à :
Articles (Atom)