lundi 29 janvier 2024

comme un souffle de vent tiède

 

 

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Salut, 
"Comprendre le système dans lequel on vit est assez simple au fond. La logique libérale favorise les plus faibles coûts et donc les produit les plus industriels avec le moins possible de contraintes sur les normes et donc sur les conditions de fabrication. Les crises et la guerre favorisent encore plus cette logique (on importe sans contrainte tout ce qui vient d'Ukraine par exemple, on exploite la main-d’œuvre immigrée qui fuit la guerre et la misère). Cette logique favorise les produits étrangers importés à bas prix qui coulent notre agriculture, augmente les inégalités chez les agriculteurs et partout dans la société, dégrade la qualité de ce que mangent les plus pauvres,  les gosses, les vieux et les malades dans les cantines publiques (écoles, hôpitaux, Ehpad... à qui on fourgue de la merde immangeable),  tout en enrichissant les spéculateurs et la grande distribution, quelques grosses entreprises agricoles industrielles qui écrasent tout... en contribuant à détruire les ressources de la planète (le pire étant quand on dévaste une zone à coup de bombes, de missiles et autres saloperies). L'eau, la nourriture et même l'air qu'on respire n'échappent pas à cette logique libérale. Pourtant, il est fort probable qu'on ait jamais atteint ce niveau de conscience de l'opinion sur ces questions fondamentales. On ne manque pas de films sur ces questions. Dernière minute : à la clôture hier soir, la bourse de Paris a battu le record absolu de l'indice CAC 40... Tout va bien !"
 
     

      Jeanne Jonquet dans Paysannes de Gérard Guérin-source: "Les Mutins de Pangée"
 
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 "Ce qui est sacré dans l'homme, c'est l'aptitude à l'impersonnel, la faculté de passage à l'impersonnel.
Toutes les fois qu'il y a atteinte à la personne d'un homme, il y a danger que par contrecoup ce qui en lui est impersonnel ne soit blessé. C'est ce contrecoup qu'il faut éviter.
L'aptitude à l'impersonnel peut aussi être blessée sans aucune atteinte à la personne;
EX: propagande.
C'est là du mal.
C'est le collectif qui étouffe cette aptitude.
Il n'y a pas à persuader la collectivité (qui n'existe pas) qu'elle doit respecter la personne.
Il faut persuader la personne qu'elle ne doit pas se noyer dans le collectif, mais laisser mûrir en elle-même l'impersonnel.
Cette maturation exige du silence, de l'espace.
Mais aussi de la chaleur, car le froid de la détresse contraint à se jeter tête baissée dans le collectif.
Il faut donc une vie collective qui, tout en entourant chaque être humain de chaleur, laisse autour de lui de l'espace et du silence.

La vie moderne est le contraire. EX: usine.
Insister sur la  chaleur
Collectif non susceptible de passer dans l'impersonnel. (Un groupe ne fait pas même une addition..) mais peut recevoir la marque de l'impersonnel.
Répandre sur la vie collective une couleur de vie impersonnelle, c'est à dire de beauté.
Non, la fausse imitation de beauté obtenue par les 2tats totalitaires par l'impression de puissance, de force, de dynamisme.
Mais une beauté stable, en repos, à couleur d'éternité.
.../..." 
Simone Weil- extrait de: "Ecrits de Londres et dernières lettres"Editions Gallimard


"En occident vos gouvernants sont comme des ados, ils ne peuvent pas rester seuls, ils cherchent toujours un regard qui se pose sur eux, on a l'impression que s'ils étaient obligés de passer une journée dans une chambre, sans compagnie, Ils se dissoudraient dans l'air comme un souffle de vent tiède.
Notre Tsar, au contraire, vit dans la solitude et s'en nourrit. C'est dans le recueillement qu'il accumule la force qui surprend tant de vos observateurs. Avec le temps, il est devenu presque un élément, comme le ciel ou le vent.
Vous avez oublié ce que signifie vivre en adulte, planté dans la réalité. Vous croyez qu'un chef est une espèce d"animateur, vous voulez des chefs qui vous ressemblent, qui soient à votre niveau.
La distance préserve l'autorité.
Comme Dieu le Tsar peut être objet d'enthousiasme, mais sans s'enthousiasmer lui-même, sa nature est nécessairement indifférente. Son visage a déjà acquis la pâleur marmoréenne de l'immortalité.
.../. ..
La Russie est la machine à cauchemars de l'Occident. A la   fin du dix-neuvième, vos intellectuels ont rêvé la révolution. Nous l'avons faite. Du communisme, vous n'avez fait que parler. Nous l'avons vécu pendant soixante-dix ans. Puis est arrivé le moment du capitalisme. Et même en cela, nous sommes allés beaucoup plus loin que vous. Dans les années quatre-vingt-dix, personne n'a déréglé, privatisé, laissé de place à l'initiative des entrepreneurs plus que nous. Ici se sont bâties les plus grosses fortunes, parties de rien, sans règles et sans limites. Nous y avons vraiment cru, mais ça n'a pas marché.
A présent, ça recommence. Votre système est en péril parce que vous ne réussissez plus à exercer le pouvoir.
Croyez-moi, après en avoir fait l'expérience directe, je ne nourris plus beaucoup de sympathie pour lui. Grand-père disait que tôt ou tard quelqu'un devrait ramasser toutes les statues équestres éparpillées dans toutes les villes du monde et les expédier au milieu du désert, dans un camp dédié à tous les massacreurs de l'histoire
.../..."
 Giuliano da Empoli extrait de: "Le mage du Kremlin

 


 

 


 


 


 "Je crois à la perfusion de la géographie dans nos âmes.
 "Nous sommes les enfants de notre paysage " disait Lawrence Durrel."
Sylvain Tesson


 

 


 

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vendredi 26 janvier 2024

revisité

 

" Dans la vie il n'y pas de circonstances, iI y a du temps
Si vous êtes en retard
certains jours
C'est parce que vous vous appuyez
sur l'atmosphère
 avec plus de lenteur"
Laura Vazquez


La jungle a ses forêts intérieures;
des vaisseaux par où la vie
s'exaspère, s'allume, s'affole et se délite
en voyages d'absences, en amorce de rêve


 

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Murmure
à la saison des murs
L'oreille collée 
à la pierre de taille
au dessus de toi
 
 

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 "S'il y a quelqu'un qui doit tout à Bach c'est bien Dieu"
           Emil Michel Cioran
 
 


lundi 22 janvier 2024

et sans doute bien davantage


 "La première chose à dire, c'est que la poésie n'est pas le discours, en vers ou en prose, qu'on tient sur elle.
Ce qui ne signifie pas qu'il faille renoncer à toute ambition théorique la concernant. Mais il faut arrêter de se payer de mots. On nous a rabattu mille fois les oreilles de ces croque-mitaines; les poètes. Le poète à houppette, le regard perdu dans le lointain, fragile gardien de l'authenticité des hommes: s'il faut "habiter" le monde avec lui, je passe mon tour. Et ses collègues, celui qui assomme de grandes phrases creuses, celui dont la bouche fait s'effondrer les nations, celui qui théorise la poésie de la théorie, celui qui doute des mots et qui tient à nous le dire, l'esthète exténué, l'interprète officiel de la bouche d'ombre et...celui qui dézingue ses confrères par habitude protocolaire, tous ceux-là sont du même acabit. Dès lors qu'ils parlent de poésie, celle-ci s'en va sur la pointe des pieds. On la perd dans l'embrouillamini des mots. Quand nous en parlons, la poésie n'est pas là; mais quand la poésie est là, nous n'en parlons pas.
Perpétuel chassé-croisé. Exactement comme la mort, telle que la définit Epicure ("quand nous sommes, la mort n'est pas là; quand la mort est là, c'est nous qui ne sommes pas"). De sorte que la poésie et la mort sont vraiment des choses très similaires, si on me permet ce raccourci. Si on les prend dans l'absolu, elles sont inconnaissables.
Mais ce que n'avait pas vu Epicure, c'est que la mort -et la poésie- on vit avec. Elles sont des pratiques, avec leurs codes, leurs rites, leur histoire, leur utilité et par conséquent, leur efficacité. Ce sont des pratiques sociales. Et c'est là que la théorie peut nourrir l'espoir de l'approcher, si elle consent à courber l'échine devant la matérialité des hommes et des rapports humains. On vit la poésie d'un poème comme on vit la mort de l'autre; c'est à nous qu'elle arrive, c'est à nous qu'elle est donnée. La poésie est donc sociale, au sens large du mot, comme au ses politique. Elle exprime, elle traduit un rapport à autrui, de soi au monde et au monde à soi. Ce faisant, elle peut blesser les hommes, car elle s'attaque à la matérialité même de la langue, base de toute communication. Avec ce "matériel bon marché" que sont les mots fournis par le langage, elle sape l'ordre de ce langage ( et donc, en partie, l'idéologie dont il est issu) : elle en change la valeur, les usages, les règles, elle le raffine, même, et le dépasse. Elle le tue. C'est pourquoi toute révolution poétique est, au moins sur le plan symbolique, un avant-goût de la révolution politique. Les émotions procurées, tant par la culture et l'expérience personnelle que les effets stylistiques et et sonores du poème, si tenues soient-elles, peuvent engendrer des convictions inébranlables. Et dans le face à face déprimant de l'homme avec soi-même, la poésie rajoute sans cesse une nouvelle (remise en) question sur le monde, ses congénères, les autres.
Tant qu'il y a une question, les hommes avancent et vivent encore un peu. Le devoir du poète est d'étendre les moyens de la poésie qu'il reçoit en héritage. Inventer de nouvelles formes (car le monde change et les questions à poser aussi), rajouter des cordes à la lyre en perfectionnant les anciennes. Ce qui fait qu'on arrive à ce paradoxe: la poésie est similaire de la mort mais la travailler, c'est étendre le domaine de la vie."
Victor Blan




"Où naît la racine du feu et des oiseaux.
            Où chaque étoile plonge son poignard particulier
                        dans ma poitrine,
            Où la mousse pousse auprès de nos pas pour la vie,
            Où une poignée de terre entre mes mains
            Rêve
            Hommes, arbres, rivières :
            Où la mort —fumée de fleur et de nuit— lance
            Ses mouettes sur mon front,
            Où j’appris la saveur du mot « jamais ».
            Là, dans les ultimes lunes de l’âme
            —Un pin sous la pluie—
           Ta présence."
     Serafina Nùnez



VIEUX CON
 
"Si j'avais la foi
et si j'en avais l'envie
je te raconterais ma vie
dans des poèmes où je t'apprendrais
qu'avant la saison du muguet, en mai
il y a celle du lilas, pour que l'odorat
apprenne la joie
et qu'après celle du muguet
il y a Roland-Garros et puis le Tour de France
afin que l'oeil reste occupé
Si j'avais la foi
je te dirais tout cela
qu'un bateau même
démâté même coulé
reste un bateau même sans batelier
que la vie même est un poème
qui ne requiert sans doute pas
qu'une légion de poètes la dise
Je te raconterai tout ça
et sans doute bien davantage
si je n'avais pas 
passé l'âge."
Alexis Bernaut








dimanche 21 janvier 2024

tiens ta bougie droite

 Des intelligents plein de connerie
font affaire avec
des  couillons de benêts
C'est le principe premier et vital du pouvoir
des Huns sur les autres.
De toutes les manières:
Réussir à faire croire.

                                       ____________________________((((                    

La règle du jeu

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Tomber dans le panneau d'emmaillotage
au jardin des souvenirs partagés





 

 
 
 "Au-dessus de mon front il y a un soleil
Un soleil aussi sec qu’un hareng saur
Il y a des fontaines taries
Toutes les fontaines sont taries
Tous les mondes sont perdus en mer
et toutes les étoiles sont inimitables

Monde vaillant
réveille-toi dans tes os
Dans les prairies si hautes la mort est pareille à la vie
et la vie doit t’appartenir
Monde vivant Monde extrême
isolé dans la nature comme une route inconnue des états sous-marins
Une seule goutte d’eau née derrière tant de paupières
faisant germer des hommes au cœur étincelant

dans le monde vivant
et dans le monde à venir
une seule goutte de rêve fait venir la tempête
Balayeurs aux beaux yeux dispersez les nuages"
Jacques Baron




jeudi 18 janvier 2024

il faudrait

 

 "Ce jour là Poutine est devenu  tsar à part entière. Et, quand à moi, je me suis rappelé une leçon de grand-père. "Sais-tu quel est le problème? m'avait-il demandé un jour alors que nous nous baladions dans les bois de sa campagne. L'oeil humain est fait pour survivre dans la forêt. C'est pour cette raison qu'il est sensible au mouvement. N'importe quelle chose qui bouge, même à la périphérie la plus extrême de notre regard, l'oeil la capte et transporte l'information au cerveau.
En revanche, tu sais ce que l'oeil ne voit pas?"J'avais secoué la tête"."Ce qui reste immobile, Vadia. Au milieu de tous les changements, nous ne sommes pas entraînés à distinguer les choses qui restent les mêmes. Et c'est un grand problème parce que, quand on y pense, les choses qui ne changent pas sont presque toujours les plus importantes."
Giuliano da Empoli- extrait de: "Le mage du Kremlin"-Folio/Gallimard 
 

 La preuve par l'oeuf
 tout gelé,
dans son anthropocène.
La salorge étant quand à elle un entrepôt à sel.
Ce qui n'a aucun rapport
à priori- 
puisque l'on dit toujours "aucun rapport, à priori."
Enfin, dans certains films,
et chez les gens qui regardent les films incertains,
à priori.
 

 "Nathan, tu le sais à présent: ce sont les livres qui lisent à l'intérieur des hommes. Leur but n'est pas d'exprimer ce que l'auteur veut dire mais de t'examiner. Tandis que tu t'échines à étudier leur sens, ils analysent ton âme. Ils ont ce singulier pouvoir, alors que tu te crois maître de leur exploration, de palper tes secrets. Ils creusent dans ton coeur, ils sondent tes mystères. En visiteurs des songes, ils auscultent ce que ta conscience n'a jamais su nommer. A mesure que tu les traverses, ils exhument tes failles, ils réveillent tes ombres. Silencieux malgré le grand bruit de leur verbe, ils opèrent leur guerre de vérité. Leurs phrases sont des miroirs et leurs pages des yeux: ils deviennent, tout rédigés qu'ils soient, les lecteurs de leurs propres lecteurs. Ce n'est qu'une fois leur travail achevé qu'ils ne déroulent rien d'autre qu'un commentaire de toi. Et j'ai vu dans ton être sitôt que tu m'ouvris."
Nathan Devers extrait de: "Penser contre soi-même"/Albin Michel


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    Illustrations Alexandre Simon
 

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"Il faudrait prendre un air entendu
pour exprimer les choses des sentiments.
Il faudrait prendre un air complice
devant les évidences.
Il faudrait.
 

jeudi 11 janvier 2024

ce qu'elle a d'osé et d'étrange

 


 "C'est fou de voir comment les gens sont jugés quand ils sont vrais et comment les gens sont aimés quand ils sont faux."
Tupac Shakur 
 

"Nous voyageons pour chercher d'autres états, d'autres vies, d'autres âmes."
Anaïs Nin

" D'être seul et de se taire, on voit les choses autrement qu'en société ; en même temps qu'elles gardent plus de flou elles frappent davantage l'esprit ; les pensées en deviennent plus graves, elles tendent à se déformer et toujours se teintent de mélancolie. Ce que vous voyez, ce que vous percevez, ce dont en société vous vous seriez débarrassé en échangeant un regard, un rire, un jugement, vous occupe plus qu'il ne convient, et par le silence s'approfondit, prend de la signification, devient événement, aventure, émotion. De la solitude naît l'originalité, la beauté en ce qu'elle a d'osé, et d'étrange, le poème."
Thomas Mann

 


 
 
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                  photo: source
 
 
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Papa avait une Ranch Simca,
un gros machin qui servait à tout
même à supporter la vaisselle 
du pique-nique (faite par mon père...) :
 

 L'été, l'engin se transformait en  bien douillet wagon-lit et 
accouplé à remorque et galerie
il nous transportait vers un sud exotique
où nous passions une quinzaine de campeurs
souvent près d'une rivière .
L'aventure.
 

 Mon grand-père, lui il avait une aronde. 
il en a eu plusieurs d'ailleurs et avec la dernière
il venait parfois me chercher à la sortie de l'école ,primaire,
j'étais super fier...
 
Les Simca  de la maison provenaient toutes du garage Pineau, une institution nazairienne
 
 

 
    
Photos source: expo



"Il y a plus de rébellion contre l'ordre social dans le fait d'observer un insecte que dans l'idiot utile qui va brûler un rond-point ou tenir une pancarte."
 Sylvain Tesson
 

Lectures en partage

Un rendez-vous proposé par l’association L’Écrit parle

au Théâtre

samedi 13 janvier

de 10h à 20h lectures partagées
de 20h à 21h lecture par un comédien ou une comédienne

“Que la littérature soit occasion de  rencontres et de partage, nous n’en  doutons pas. Auteurs, lecteurs dans la ville le met en œuvre depuis longtemps en  recevant des auteurs et des autrices à Saint-Nazaire. Vous avez été nombreuses et nombreux à soutenir notre initiative,  à assister à ces rencontres et nous en sommes à la fois fiers et heureux. Il s’agit d’offrir à qui le souhaite un temps de lecture en public, durant lequel chacune et chacun viendra lire quelques pages du livre de son choix. 

 Chaque lecteur/lectrice dispose de cinq minutes maximum pour lire en public un extrait d’une œuvre littéraire qu’il ou elle aura choisi (roman, théâtre, poésie). Il s’agit de lire, les commentaires sont facultatifs et sont compris dans les cinq minutes allouées. On entre et on sort quand on veut. On vient lire, bien sûr, mais aussi seulement écouter. Il faut un public à tous ces lecteurs.“  L’Écrit parle 

La journée se clôturera par une lecture proposée par une comédienne ou  un comédien, de 20h à 21h.

inscriptions : lecturesenpartage@gmail.com ou par téléphone au 02 40 66 63 20 jusqu’au 20 décembre 2023

En partenariat avec la librairie-bouquinerie Les idées larges.







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