mercredi 6 mai 2015

mangez sur l'herbe







NANTES/NAONED  

  PROGRAMMATION

 

 

HARLEIGHBLU [GB] (Soul)
Première partie WESTERN (Post rock)
Concert | Sous les Nefs
Vendredi 8 mai à partir de 20h30 - Gratuit



 
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EXPIRY DATE [BEL]
Archéologie fragmentaire du souvenir
Théâtre | Sous les Nefs
Vendredi 15 et samedi 16 mai à 22h
8€ | 12€ – billetterie sur place

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QUAI DES CHAPS [FR]
Spectacles, entresorts, concerts, bar et petite restauration | Sous les Nefs
Jeudi 21 et vendredi 22 mai de 18h à 00h
Samedi 23 et dimanche 24 mai de 15h à 00h
1€ à 12€ – billetterie sur place sous chapiteaux ou réservation au 06 51 01 34 04

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JO DAHAN [FR] (Pop/rockabilly/country)
Concert | Salle La Déferlante
Vendredi 22 mai à 20h30
8€ | 12€ – billetterie sur place






 
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KOKOMO [FR] (Rock) + AYMERIC MAINI [FR] (Soul/jazz/blues)

Concert | Sous les Nefs
Vendredi 29 mai à partir de 20h30 - Gratuit

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HOBA HOBA SPIRIT [MAROC] (Rock/reggae/rap)
Première partie AUDREY LOPES [FR] (Electric Soul)
Concert | Sous les Nefs
Samedi 6 juin à 20h30 - Gratuit





 
 
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                                              illustration: Ouest-France


70ème anniversaire de la libération de la poche de Saint-Nazaire
Marguerite Cabon-Douvisi
vient à la librairie Gweladenn (BASE SOUS-MARINE SAINT-NAZAIRE) vendredi 8 mai de 15 h à 18 h pour dédicacer 
"Un diamant sous les décombres - le petit Boche"
dans une nouvelle édition enrichie de nombreux documents et photos
ou l'histoire vraie éminemment romanesque de Francis, un enfant de la guerre, fruit des amours interdites d'Anne-Marie, montoirine et fille de poilu, et de Franz, un soldat allemand, étayée des souvenirs d'enfance de l'auteure.
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 lu par ici:

 De quoi parlé-je quand je dis « je » ? Pourquoi, en philosophie, passe-t-on du « je » au « moi », sujet dont l’existence ne fait pas de doute ? Pour répondre à ces questions, dit V. Descombes, il faut une grammaire philosophique, qui explique comment on passe du pronom au substantif.
 "De qui est-ce que je parle lorsque je parle de « moi » ? En un sens, la question est triviale. Je parle de cet individu humain que je suis et que les autres désignent par mon nom. Mais qu’est-ce qui garantit que c’est bien toujours de moi que je parle lorsque je dis « moi » ou « je », tandis que mon corps matériel se modifie, que ma mémoire et mes sens peuvent me tromper ? Qu’est-ce qui demeure le même en dépit de ces contingences ? Comment la conscience que j’ai d’être moi-même, ce que les philosophes nomment parfois « conscience de soi », peut-elle garantir mon identité ? Qui est ce « moi » dont j’ai conscience et dont nous parlent les philosophes depuis Descartes ? Il n’est justement pas identique à l’être humain que je suis et que les autres désignent pas un nom propre. En effet, lorsque Descartes dit « Je suis Descartes », il ne dit pas simplement « Descartes est Descartes ». Il nous informe de ce que lui, qui nous parle, est l’individu humain qu’on nomme Descartes. Mais d’où tirons-nous cette capacité à dire « je » ou « moi » ? En quoi est-elle la marque d’une réflexivité proprement humaine ? Comment rendre compte de cette relation spécifique à soi, ses pensées, ses actions, etc., qui s’exprime à travers notre capacité à dire « je » ?
Dans Le parler de soi, Vincent Descombes revisite sous un angle inédit, celui de la grammaire philosophique héritée du philosophe viennois Ludwig Wittgenstein, certaines questions classiques des philosophies de la subjectivité. Ce livre est le résultat de plus de dix années de réflexions, puisqu’il est composé de textes inédits mais aussi d’articles parus dans diverses publications depuis le début des années 2000. Cependant, l’ouvrage qui en résulte est loin de ressembler à un recueil d’articles ; leur agencement ingénieux forme en réalité un tout très cohérent qui marque la progression et l’unité des réflexions de l’un des plus grands philosophes de notre temps. Il convient donc de le lire d’une traite pour en apprécier les raffinements et suivre pas à pas l’émergence d’une philosophie de la subjectivité qui ne ressemble à aucune autre.
Cette question épineuse de la subjectivité, l’auteur l’aborde sous l’angle de trois questions qui structurent l’ouvrage.../...
-Valérie Aucouturier-
La SUITE de L'ARTICLE

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ciné-conférence
 
Jeudi 21 mai à 18 heures à la Maison de Quartier de la Chesnaie – 1 bis rue des Ajoncs – 44600 St Nazaire
 
8 ans autour du monde   par Bruno  et Maryvonne Robineau
 
Tout le monde rêve de faire le tour du monde ; les rêves ne sont-ils pas faits pour être vécus ?
 
Pendant huit ans, Bruno et Maryvonne ont parcouru la planète, échangeant leur travail contre gîte et couvert, s’associant au labeur des villageois, se fondant dans l’intimité de leurs familles, nouant partout des liens d’amitié.
La langue internationale Espéranto leur a ouvert des portes insoupçonnées avec son réseau d’hôtes présent dans 120 pays.
 
Un magnifique voyage plein d’humanité pour nous laisser interpeller, bousculer
 
Au travers de cette expérience de voyage, Bruno transmet ce qui l’anime, être un passeur de culture, d’amitié et de paix.
Voir la documentation  site www.voyage-tourdumonde.com
et
www.voyage-tourdumonde.com/generalite/presentation.html (Vidéo de présentation de 2,30mn)
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Souffle c'est du KLEG
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" Dépêchez-vous!
mangez sur l'herbe,
un jour ou l'autre l'herbe mangera sur vous." 
-Jacques Prévert-

mardi 5 mai 2015

dazibao

photo Pascal M.

"Je ne suis rien.
Je ne serai jamais rien.
Je ne peux vouloir être rien.
A part çà, je porte en moi tous les rêves du monde.
Fenêtres de ma chambre, 
Ma chambre où vit l’un des millions d’êtres au monde
     dont personne ne sait qui il est
(Et si on le savait, que saurait-on ?),
Vous donnez sur le mystère d’une rue au va-et-vient
     continuel,
Une rue inaccessible à toutes pensées,
Réelle au-delà du possible, certaine au-delà du secret,
Avec le mystère des choses par-dessous les pierres
     et les êtres,
Avec la mort qui moisit les murs et blanchit les
     cheveux des hommes,
Avec le Destin qui mène la carriole de tout par la
     route de rien.
Aujourd’hui je suis vaincu comme si je savais
     la vérité.
Aujourd’hui je suis lucide comme si j’allais mourir
Et n’avais d’autre intimité avec les choses
Que celle d’un adieu, cette maison et ce côté de la
     rue devenant
Un convoi de chemin de fer, un coup de sifflet
A l’intérieur de ma tête,
Une secousse de mes nerfs, un grincement de mes
     os à l’instant du départ.
Aujourd’hui je suis perplexe, comme celui qui a
     pensé, trouvé, puis oublié.
Aujourd’hui je suis divisé entre la loyauté que je dois
Au Tabac d’en face, chose réelle au-dehors,
Et la sensation que tout est rêve, chose réelle
     au-dedans. 

.../..." 
Fernando Pessoa- extrait de "Bureau de tabac"-





 photo: Pascal M.









"On ne dit plus Lawrence d'Arabie
on dit François Hollande."
(sortie du poste) 







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