mardi 16 février 2016
brouillon de culture
"Le paradoxe du poète, conspirer en silence contre son propre silence
Arracher à la nuit d'illisibles mots de passe pour franchir les frontières de la nuit
S'aveugler dans l'incertaine espérance de s'aveugler absolument
Même si le silence de l'homme est au fond sans limite, l'homme-des-mots sera toujours l'homme des limites
Laissons s'ouvrir les mots comme des fleurs aux parfums infinis
Seul notre Double-de-silence loue le conseil des muets"
-Michel Camus-
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"Pour sa cinquième édition, le Festival DañsFabrik sera féminin ou ne sera pas ! En effet seules les femmes chorégraphes ont voix au chapitre. Et quand les hommes sont de la fête, ils y sont interprètes. Que nous disent aujourd’hui de l’incessant tumulte du monde, ces femmes artistes, souvent militantes, parfois féministes, parfois révoltées, toujours engagées dans leur art ? Découvrir leur univers, leurs obsessions, leur démarche. Approcher leurs rêves, se laisser porter par leurs œuvres.
Parmi les artistes du festival, Lenio Kaklea, danseuse magnifique, jeune chorégraphe d’origine grecque, nous accompagne par son regard et sa pensée dans la construction d’un focus sur la création chorégraphique hellénique.
Passionnant programme construit à l’aune d’un siècle dont on rêve qu’il soit féminin…"
Edito source festival
en savoir pluche
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Copinage
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LOCAL Héros
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Deizioù 2016- jusqu'au 18 mars en pays de Lorient-une centaine d'évènements en lien avec la culture bretonne
dimanche 14 février 2016
chemin d'à côtier
Le coeur est amphibie
à l'abri des tempêtes
au creux des ouragans
ça prend l'air
ou prend l'eau
et moisit,
d'avoir trop
rien
ou mal
dit.
A tous les coups on gagne puisque le coeur n'a pas de prix
Mais, voyons... faites donc.
D'eux, les partis prient,
et s'en reviennent un matin des magiciens
Aux battements des ailes
je vous reconnais si bien.
Vous m'êtes singulièrement proche
dans le sens du rythme
de l'histoire
d'à côté de la plaque;
que l'on déchiffre
que l'on défriche
avec les doigts
sur le marbre
du temps qui n'arrête pas de panser
les plaies
et leurs déliés.
"A l'antenne aujourd'hui
J'entends que l'on meurt, que l'on vit
Et l'insouciance qui nous fuit
L'insouciance qui n'a pas de prix
Ressentir petit à petit
Plonger sans trouver d'abri
Et l'insouciance qui me fuit
Sentir son coeur qui s'amoindrit
Il est si tard aujourd'hui
Pas envie, pas envie, pas envie
Et l'insouciance qui me fuit
Voila le train qui me conduit
Les images, les images et le bruit
La douleur, la douleur et l'ennui
Et l'insouciance qui me fuit
Voila le vide qui me remplit
Je ne me ressemble plus aujourd'hui
Mais si car c'est moi tous ces plis
Et l'insouciance qui me fuit
L'insouciance qui n'a pas de prix
Qui a dit que c'est long la vie?
Perdre la parole de ses propres nuits
Et l'insouciance qui me fuit
Voila le vide qui me remplit
Ressentir petit à petit
Plonger sans trouver d'abri
Et l'insouciance qui me fuit
Sentir son coeur qui s'amoindrit
Il est si tard aujourd'hui
Pas envie, pas envie, pas envie
Et l'insouciance qui me fuit
Voila le train qui me conduit
J'improviserai encore, c'est promis
Qui a dit que c'est long la vie?
Et l'insouciance qui me fuit
Voila le vide qui me réduit
Ressentir petit à petit
Plonger sans trouver d'abri
Et l'insouciance qui me fuit
Sentir son coeur qui s'amoindrit
Il est si tard aujourd'hui
Pas envie, pas envie, pas envie
Et l'insouciance qui me fuit
Voila le train qui me conduit
Les images, les images et le bruit
La douleur, la douleur et l'ennui
Et l'insouciance qui nous fuit
Voila le vide qui me remplit
A l'antenne aujourd'hui
J'entends que l'on meurt, que l'on -
Et l'insouciance qui nous fuit
L'insouciance qui n'a pas de prix."
J'entends que l'on meurt, que l'on vit
Et l'insouciance qui nous fuit
L'insouciance qui n'a pas de prix
Ressentir petit à petit
Plonger sans trouver d'abri
Et l'insouciance qui me fuit
Sentir son coeur qui s'amoindrit
Il est si tard aujourd'hui
Pas envie, pas envie, pas envie
Et l'insouciance qui me fuit
Voila le train qui me conduit
Les images, les images et le bruit
La douleur, la douleur et l'ennui
Et l'insouciance qui me fuit
Voila le vide qui me remplit
Je ne me ressemble plus aujourd'hui
Mais si car c'est moi tous ces plis
Et l'insouciance qui me fuit
L'insouciance qui n'a pas de prix
Qui a dit que c'est long la vie?
Perdre la parole de ses propres nuits
Et l'insouciance qui me fuit
Voila le vide qui me remplit
Ressentir petit à petit
Plonger sans trouver d'abri
Et l'insouciance qui me fuit
Sentir son coeur qui s'amoindrit
Il est si tard aujourd'hui
Pas envie, pas envie, pas envie
Et l'insouciance qui me fuit
Voila le train qui me conduit
J'improviserai encore, c'est promis
Qui a dit que c'est long la vie?
Et l'insouciance qui me fuit
Voila le vide qui me réduit
Ressentir petit à petit
Plonger sans trouver d'abri
Et l'insouciance qui me fuit
Sentir son coeur qui s'amoindrit
Il est si tard aujourd'hui
Pas envie, pas envie, pas envie
Et l'insouciance qui me fuit
Voila le train qui me conduit
Les images, les images et le bruit
La douleur, la douleur et l'ennui
Et l'insouciance qui nous fuit
Voila le vide qui me remplit
A l'antenne aujourd'hui
J'entends que l'on meurt, que l'on -
Et l'insouciance qui nous fuit
L'insouciance qui n'a pas de prix."
-Louise Attaque- "L'insouciance extrait de l'album "Anomalie"
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