A tâches
A force
lâcher le bout.
En train
c'est bien.
C'est même mieux
pour la rime
et
le tchouk-tchouk
qui m'en balance.
Mais!
Faute de train
sous
pirail-je
et
pour des questions de logistique
aussi
L'on s'en tiendra
cette fois
au volant
du mieux possible,
Formule de bien entendu.
En résumé,
je vous dirais presque
à l'heure qu'il était
et entre-nous:
A l'année prochaine.
"Couleurs d'aencre" va se faner quelques semaines.
cabotinage
(en douce)
Au grand plaisir de vous retrouver.
mercredi 18 décembre 2013
mardi 17 décembre 2013
l'homme qui marche
Sable
émouvant
au soir de l'effet mer
revient sur ses pas
mais ne les reconnait plus
alors
il se cherche encore
et encore
-au pied levé-
dans le sens d'un marche pied.
Seulement,
dans les traces de l'autre
sur une plage
endimanchée,
comment
trouver chaussure à son pied ?
Et puis,
pourquoi faudrait-il donc prendre les choses au pied de la lettre?
alors
que tout s'efface
inexorablement
pour mieux se réinventer
à la marée suivante!
Quel est donc ce besoin impérieux d'exister
alors que vivre c'est déjà pas si mal
et
si compliqué
pour mettre
par exemple
le pied à l'étrier.
Alors,
contre-pied
à la morosité d'un jour finissant de ramer
il rigole,
tout seul
dans sa barbe de soirée
comme pour se faire un pied de nez,
en se mettant les pieds dans le plat
à se couper l'herbe sous le pied .
L'homme qui marche,
n'a pas toujours pied
marin
mais il peut toujours essayer
et en musique tant qu'à faire.
Et qu'importe, s'il joue
comme un pied.
L'important à l'instant
c'est quand même de prendre son pied.
Non?
dans le poste:
"Le tissu social ne sert à rien si on n'en fait pas de vêtements."
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