jeudi 23 décembre 2010

verts? de quelle couleur?



j'ai reçu ceci:

"Oui, tout ce qui est ci-dessous est vrai.
Mais est-ce que le militant de base des Verts/Ecologie correspond à cette description ???
Le militant de base (ou simplement le "sympathisant"), en majorité, il est contre l'industrie nucléaire (société nucléaire = société policière), il n'est PAS pour l'Europe de Maastricht, il est pour la redistribution des richesses à l'intérieur des pays riches ET vers les pays "pauvres", etc... etc...
Le problème, c'est que comme (et même ENCORE PLUS QUE) dans les autres partis politiques, il est très mal représenté... Cupidité, soif de "pouvoir" si petit soit-il, les petits chefs prolifèrent...
Et l'on retrouve le "très vieux" débat qui existait (existe encore ?) dans la mouvance écolo, aux temps archaïques de René Dumont candidat aux présidentielles, et des Amis de la Terre quand Brice Lalonde était encore intelligent (!),
c'est-à-dire: faire passer nos idées (écolos) au moyen d'actions spectaculaires, de fêtes, etc... OU BIEN se lancer dans la politique politicienne, au risque de faire avancer un petit peu les choses, mais surtout d'y perdre "son âme"...
Bon, cela mériterait d'autres développements... Mais ce n'est pas parce que les pseudo-écolos sont "bidons" que les idées elles le sont !!!
(En 1973 j'ai quitté les copains de la section PS de Montmorency (95), parce que pour eux j'étais devenu "l' écolo" de la section... Je voulais simplement développer mes idées écologistes, tout en gardant ma qualité de citoyen de gauche, cela va de soit"
-JP- 
"Au nom de l’écologie,  ils ont approuvés la constitution européenne, et acceptent l’économie de marché. Ils ne veulent pas remettre en cause le système et préfèrent promouvoir un capitalisme repeint en vert afin que rien ne change. C’est vrai que certain d’entre eux ont des accointances très prononcées avec de gros groupes industriels ou financiers.
Hulot est un génie de la communication, il a réussi à faire de l'écologie un dogme ultralibéral ! Quand on voit la liste des multinationales qui le ou qui l'ont financé : E. Leclerc, L’Oréal, Bouygues, TF1 ou Rhône-Poulenc, on peut douter de sa fibre écolo. En faisant de la politique fiction, on pourrait imaginer que sous l'œil bienveillant de Sarkozy, il se présente au premier tour de la prochaine élection présidentielle, pour jeter le trouble et la confusion dans l’électorat de gauche ... .
Bové, après avoir renié son engagement pour le non à la constitution est prêt à toutes les compromissions pour un avenir politique ; Cela lui réussi, il a été élu député européen sur la liste Europe Écologie. Depuis qu'il a retourné sa veste il présente ses contradicteurs comme des extrémistes sectaires. Il est fin prêt pour un secrétariat d'état ou pour tourner une pub pour Mac Do.
Cohn-Bendit, pense que de nombreux services publics comme celui de l'énergie doivent être privatisés. Il est très à l’aise avec les patrons de la finance et autres industriels qui le trouvent gentil garçon. Danny prône une « croissance verte », et une « écologie de marché », normal, dans ses déclarations on apprend qu'il est pour le capitalisme avec tout ce qui va avec, du travail le dimanche aux délocalisations.
Y.A Bertrand en plus de ses sponsors comme les industries du luxe, BNP Paribas et Air France, se dit prêt à travailler avec Total ou Coca Cola : en matière d'écologie, on fait mieux ! Tous ces financement lui interdisent de dénoncer dans ses films que la crise écologique vient d'abord de notre système économique. Le capitalisme ne supporte aucune contrainte, surtout pas d'ordre écologique !
Bové et Cohn-Bendit sont des opportunistes, libéraux, qui veulent se faire une place dans le monde politique, leurs prises de position ne laissent aucun doute sur leur idéologie. Hulot et Y.A.B sont des chefs d'entreprises qui surfent sur la vague écolo, leurs affaires sont florissantes et ils n'ont aucunement l'intention de remettre en cause le système qui les nourrit. La phrase type de ces « écotartuffes » est : « nous sommes tous responsables », comme si le smicard, l'artisan ou le SDF étaient responsables à égalité en matière de pollution avec le PDG de Total, d'Arcelor, ou de messieurs Dassault, ou Lagardère. Ce sont aussi les champions du « nous sommes trop nombreux sur terre », phrase choc qui légitimise les guerres en supprimant non pas la pauvreté mais les pauvres !
Les intérêts d'une multinationale ne seront jamais ceux de la nature et de l'humanité. Lorsqu'ils nous parlent de diminuer notre empreinte écologique il s'agit de diminuer nos revenus. Plutôt que réfléchir à un partage des richesses, ils surfent sur la vague écolo et nous culpabilisent de ne pas trier nos déchets. Pour nous manipuler ils se servent de l'écologie comme d'autre se servent de l'insécurité !!!"
Conscience Citoyenne Responsable

mercredi 22 décembre 2010

NO !!!! L !!!!!



Athées et chrétiens s'affrontent autour du sapin
Aux États-Unis, des groupes s'organisent pour faire la guerre aux symboles de la nativité en période de fêtes.
C'est devenu un rituel comme le sapin ou les cadeaux. Au mois de décembre aux États-Unis, on se bat comme des chiffonniers. Une guerre picrocholine entre les partisans de Noël, pour la plupart des groupes chrétiens, et les anti-Noël, une coalition hétéroclite d'athées et d'adeptes de confessions diverses qui refusent l'affichage public de symboles chrétiens.

La première échauffourée de la "guerre de Noël", comme on l'appelle, a démarré cette année sur le tunnel de Lincoln, à New York. Une organisation athée a affiché un grand panneau publicitaire à l'entrée du tunnel, qui montre une scène de la nativité avec les rois mages et la mention : "Vous savez que c'est un mythe." Et l'affiche d'appeler à célébrer "la raison". La ligue catholique a aussitôt contre-attaqué en plaçant un panneau à la sortie du même tunnel, avec le slogan : "Vous savez que c'est vrai. Cette saison célèbre Jésus !"

Quelque jours plus tard, la bataille s'est déplacée à Philadelphie. À la suite de plaintes de non-chrétiens qui se disaient choqués par l'emploi du terme "Village de Noël" à l'entrée de la foire artisanale, la ville a décidé de rebaptiser le lieu "Village de fêtes". Que n'avait-elle pas fait là ! L'initiative a déclenché une quasi-guerre de religions. L'archidiocèse s'est fendu d'un communiqué soulignant qu''après tout, il n'y aurait pas de village s'il n'y avait pas Noël". Le maire a fini par capituler et le mot Noël a repris sa place sur les deux guirlandes lumineuses à l'entrée de la foire. Mais les anti-Noël ont gagné à Tulsa, dans l'Oklahoma. La "parade des lumières de Noël" a été rebaptisée pour la deuxième année consécutive "Parade des fêtes", toujours au nom du sacro-saint politiquement correct. En signe de contestation, Jim Inhofe, le très conservateur sénateur de l'État, a refusé de défiler.

Moteur économique

Du coup, courageusement, pour éviter toute polémique, on préfère escamoter partout les symboles de Noël. En Floride, la direction des péages des autoroutes a formellement interdit à ses employés de décorer leur cabine, une banque au Texas a enlevé son sapin... Ce qui fait bondir Brenda Verner, qui mène la croisade chrétienne : "Les héritiers chrétiens de cette nation, non seulement ont le droit de riposter, mais ils feraient mieux d'écraser sans cérémonie les offenseurs insolents, avant qu'ils ne réussissent à mettre Noël hors la loi." Elle ajoute, plus prosaïque : "La culture de Noël est non seulement partie intégrante de la vie américaine mais elle joue aussi un rôle essentiel de moteur économique en fin d'année"...

L'Association américaine de la famille est même allée jusqu'à créer sur son site internet une liste des "mauvais" commerces, ceux qui boycottent la mention "Noël" dans leurs pubs et leurs décorations. Parmi les boutiques mises à l'index, Gap et le libraire Barnes & Nobles. Quant au YMCA de New York, il a, lui, carrément limogé le Père Noël et l'a remplacé par Frosty le bonhomme de neige, un autre personnage bien connu des petits Américains. Sauf qu'au lieu de se caler confortablement sur les genoux du gros monsieur en costume rouge pour lui susurrer la liste de leurs cadeaux, les bambins, selon le New York Post, ont dû "supporter les embrassades glacées du bonhomme de neige et de son acolyte, un pingouin anonyme". "Nous avons pensé qu'il était parfois bon de changer, et Frosty est un grand personnage d'hiver qui séduit un plus large public", explique John Rappaport, le directeur du YMCA. Ouf, plus que quelques jours à tenir !
article ici
Serge
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