vendredi 25 septembre 2009

l'appeau d'Ecouille

"un peu de culture ne pouvant pas faire de mal" , c'est lydie qui le dit alors...
voici son sujet:


Pourquoi cette expression: la peau des couilles?

Voilà l'histoire réelle d'une expression connue de tous, mais très souvent mal orthographiée .Par un beau jour d'automne 1820, le duc de Mirnouf, passionné par la chasse mais frustré par le maigre gibier qu'il ramenait de ses pérégrinations forestières, imagina qu'il devait être possible de fabriquer un outil apte à lui faciliter la tâche et rendre plus plaisante sa traque des animaux.
Il convoqua tous les artisans de la contrée pour mettre au concours la concrétisation de cette idée et leur laissa deux mois pour fabriquer le plus inventif et le plus efficace des appareils;
A peine une semaine plus tard, un marchand du nom de Marcel Écouille, se présenta au château clamant à qui voulait l'entendre qu'il possédait ce dont le duc rêvait.
Il obtint sans peine une audience auprès du noble seigneur et s'empressa de lui faire la démonstration de sa merveille.
Devant une assemblée dubitative mais curieuse, il sortit de sa poche un minuscule sifflet (un appeau) et le porta à la bouche pour produire un son strident qui aussitôt imposa le silence parmi les personnes présentes.
A peine quelques secondes plus tard, des dizaines d'oiseaux de toutes sortes s'étaient approchés et virevoltaient autour de lui, comme attirés et charmés par cette étrange mélodie.
Le duc imagina sans peine le profit qu'il pouvait tirer d'un tel accessoire lors des ses futures chasses.
Il s'éclaircit la gorge et ne prononça qu'une seule phrase :
- Combien cela va-t-il me coûter?
Marcel Écouille, sûr de lui, répondit qu'il accepterait de se séparer de son objet en échange de la moitié de la fortune de son interlocuteur.
Cette requête fit sourire l'assemblée mais le duc garda tout son sérieux et accepta la transaction.
La nouvelle fit grand bruit et se répandit vite bien au delà des limites du duché.
Un marchand avait vendu un sifflet pour une somme astronomique au Duc qui en paya le coût sans broncher.
Ainsi, cette anecdote a subsisté dans la langue française pour qualifier les objets hors de prix :
« ça coûte l'appeau d'Écouille ».

ET NON PAS LA PEAU DES COUILLES....


Et pour quasiment continuer sur le sujet et rester dans l'ambiance légère et délicate de la fin de semaine, Yves nous propose ceci:

au train où vont les choses


la jeunesse bretonne qui se bouge nous envoie ceci:

Bonjour / Demat,
Les Jeunes de 44=Breizh s'invitent à la Gare de Saint Nazaire !

Le collectif 44=Breizh revendique une nouvelle action, ce samedi 19 septembre 2009 en gare de Saint Nazaire. Les militants de 44=Breizh ont collé des affiches sur les trains contre la propagande de la région des Pays de la Loire, ainsi que distribué des tracts aux voyageurs afin de les informer des discriminations faites aux habitants de la Loire Atlantique du fait de la partition administrative de la Bretagne.

Trains régionaux, 44=Breizh dénonce l'hypocrisie de la région Pays de la Loire Cela fait des années que les associations d'usagers et les organisations bretonnes dénoncent la rupture ferroviaire existant entre le pays nantais et le reste de la Bretagne. Aujourd'hui, quelques mois avant les élections régionales, la majorité régionale des PdL nous annonce dans la presse qu'il n'y aurait en réalité pas vraiment de problème dans les liaisons entre la Loire-Atlantique et les autres départements Bretons, et rappelle que ses trains régionaux ont été modernisé de puis 2004 et qu'il y plus de train entre Nantes et Rennes et Nantes et Quimper.

Certes, mais les faits sont là, jusqu'à trois heures via Redon pour rallier Nantes et Rennes, de trois à cinq heures pour entre la presqu'ile guérandaise et Vannes, et des tarifs qui restent peu attractifs. Les problèmes que connaissent les usagers de Bretagne méridionale dans leur liaison avec la région administrative sont bien dû à un développement du réseau interne freiné par la partition de la Bretagne, que seul la réunification résoudra. En investissant énormément sur la ligne LGV, pour en somme gagner seulement quelques minutes vers Paris pourtant bien desservie, la région a négligée depuis 2004 le développement de nouvelles lignes intérieures entre Nantes et Rennes et la presqu'île et Vannes. Les 17 nouveaux trains entre Nantes et Rennes ont diminués la difficulté de lier les deux villes, mais n'ont certainement pas réglé le problème.

Nous rappelons aussi que les tarifs TER spéciaux pour festivals existent depuis plus de deux ans et que les festivaliers du pays nantais ne peuvent toujours pas se rendre sur les mêmes festivals (près d'une dizaine) avec des tarifs équivalents aux autres Bretons. Nous le rappelons c'est un effet direct de la partition de la Bretagne.

Enfin nous rappelons qu'une importante quantité d'argent public est investit pas les Pays de la Loire dans une propagande visant à créer une identité « ligérienne », selon leurs termes. Le réseau TER et les gares font partis des supports de cette propagande. Dernièrement nous avons vu la région distribuer des maquettes miniatures en carton destinées aux enfant représentant un des trains Pays de la Loire, où le logo de la région est répété douze fois. Le collectif 44=Breizh


http://www.44breizh.com
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