mardi 1 septembre 2009

une pandémie de profit

Marius nous fait passer un message concernant la fameuse pandémie dont on nous rabat les oreilles à coups de masse ( et dans le sens de qui au fait?) depuis des mois.

UNE PANDÉMIE DE PROFIT
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Quels sont les intérêts économiques derrière cette grippe porcine ou grippe AHN1 dont on nous rabat les oreilles ?



1 million de personnes par an meurent dans le monde de la MALARIA, qui pourrait être prévenue avec un simple moustiquaire.
Les journaux n’en parlent pas!

2 millions d’enfants par an meurent dans le monde de la DIARRHÉE, alors que l’on pourrait l'éviter avec un banal sérum pour 025 la dose. Les journaux n’en parlent pas!

10 million de personnes par an meurent de la ROUGEOLE, PNEUMONIES et INFIRMITÉS, que l’on pourrait les guérir avec de simples vaccins. Les journaux n’en parlent pas!
Mais il y a de cela 10 ans, quand la fameuse grippe aviaire est apparue... Les journaux mondiaux nous on inondés d’informations à ce sujet... :
Une épidémie, la plus dangereuse de toutes... Une PANDEMIE !
On ne nous parlait que de la terrifiante maladie des volatiles.
Et pourtant, la grippe aviaire a causé la mort de quelques 250 personnes en 10 ans... 25 morts par an.
La grippe commune, tue un demi-million de personnes par an, dans le monde. Un demi-million contre 25 !

Un moment... Un moment s’il vous plaît !

Alors, pourquoi un tel remue-ménage - un scandale- autour de la grippe aviaire?
Parce que derrière les poulets il y avait un “Coq”, un coq à grande crête.

L’entreprise pharmaceutique internationale ROCHE avec son fameux TAMIFLU vendu à des millions de doses aux pays asiatiques.
Bien que l’efficacité du
Tamiflu soit douteuse, le gouvernement britannique en a acheté pour 14 millions de doses pour protéger sa population.
Grâce à la grippe aviaire, ROCHE et RELENZA, les deux des plus grosses entreprises pharmaceutiques qui vendent les antiviraux, ont obtenues des millions de dollars de bénéfices.

Alors, en avant avec les oiseaux et maintenant avec les porcs.
Eh oui! Maintenant commence la psychose avec la grippe porcine. Et tous les médias du monde ne parlent que de çà.
Et je me demande: Si derrière les poulets il y avait un “Coq”... N’y aurait t’il pas derrières les cochons un “Gros Porc”?

L’entreprise nord-américaine Gilead Sciences détient le brevet du Tamiflu. Le principal actionnaire de cette entreprise n’est autre que le sinistre, Donald Rumsfeld, secrétaire d’état à la défense de Georges Bush, l’artisan de la guerre contre l’Iraq...

Les actionnaires des entreprises pharmaceutiques ROCHE et RELENZA doivent se frotter les mains, ils doivent être heureux avec les millions de nouvelles ventes du Tamiflu.

La véritable pandémie est celle de l’argent, les énormes bénéfices de ces mercenaires de la santé.

Je ne nie pas les précautions nécessaires qui sont entrain d’être prises par tous les Pays du globe.
Mais si la grippe porcine est une pandémie aussi terrible que l’annonce les médias.
Si l’OMS se préoccupe tant de cette maladie, pourquoi ne la déclare-t-on pas cette pandémie comme un problème mondial de santé publique.

Pourquoi ne pas autoriser la fabrication de médicaments génériques pour la combattre ?

Se passer momentanément des brevets des entreprises ROCHE et RELENZA et distribuer les médicaments génériques gratuitement à tout les pays, et plus particulièrement aux pays les plus pauvres.



Ne serait-ce pas la meilleure solution. Ou alors c'est une farce et aucune menace réelle ne pèse sur le genre humain !!!

la GRIPPE !!!!!

Agnès Maillard - Blogueuse associée | Lundi 31 Août 2009 à 19:01
Le gouvernement nous prépare à lutter contre le grand fléau en achetant des millions de masques et de vaccins, en diffusant des spots de pub bien flippant sur toutes les ondes et... en dépotant sous le manteau quelques jolies circulaires qui, étrangement, parlent bien peu de santé publique et bien plus de santé économique. Morceaux choisis et commentaire de texte de la circulaire émise le 3 juillet dernier par la Direction générale du Travail :
« L’employeur peut adapter l’organisation de son entreprise et le travail de ses salariés via la négociation avec les institutions représentative du personnel [...] ou, à défaut, par décision unilatérale après avis du comité d’entreprise ou des délégués du personnel.
[...] Changement des conditions de travail : nouvelles conditions d’exécution de la prestation de travail (augmentation du volume horaire par des heures supplémentaires, augmentation des tâches à effectuer sans s’écarter des attributions contractuelles...) par décision unilatérale de l’employeur (le refus de l’employé, sauf s’il est protégé, constitue une faute pouvant justifier le licenciement.
Modification du contrat de travail : cela touche aux éléments essentiels du contrat...
»

Pour faire simple, quand la phase 5B de la pandémie sera décrétée par notre gouvernement (pour mémoire, nous sommes actuellement en phase 5A), subitement, l’employeur va prendre les pleins pouvoirs dans l’entreprise et décider tout seul comme un grand de toutes les mesures nécessaires pour maintenir son activité économique. Vous avez bien lu : ce qui compte, ce n’est pas la santé des salariés, des fournisseurs ou des clients, non, ce qui compte, c’est que le pognon continue à circuler. Et si pour ça, le pauvre patron se retrouve contraint de se torcher avec le Code du travail parce que ses salariés tombent comme des mouches, ben, tant pis, faut savoir ce qu’on veut dans la vie. En gros, tout ce qui est législation sur le temps de travail, en dehors de la seule limite supérieure de 60 heures de travail hebdo, ben le salarié survivant, il va pouvoir se le carrer dans l’œuf bien profond : suspension (temporaire, bien sûr) du repos hebdomadaire, des récupérations obligatoires, des RTT, des congés et tout et tout. Tu parles que la bataille contre le travail du dimanche, c’est de la roupie de sansonnet à côté de cet équarrissage en règle. En plus de ça, le patron peut décider tout seul comme un grand de modifier la nature des contrats de travail de ses salariés, pour l’intérêt supérieur de l’entreprise. Changement de poste, d’attribution, d’affectation, de salaire (héhé !), etc. Et au cas où vous n’auriez pas bien compris où sont les priorités, le droit de retrait des salariés est suspendu. En gros, ceux qui se sentent un peu fragiles et se disent qu’un éternuement de plus pourrait bien être un éternuement de trop, ils ne pourront pas arguer du droit de retrait pour éviter de venir se faire contaminer au boulot.

Bref, c’est avec ce genre de petites choses que l’on mesure très exactement la valeur de la vie humaine dans une société et que l’on peut correctement établir l’échelle des priorités de ceux qui prétendent gouverner pour l’intérêt général.

Bonne rentrée quand même ! l'article original sur marianne.fr
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