dimanche 26 février 2012

au jour du soigneur





illustration, source: toile



Samedi, au jour du point,  en dégustant tranquillement un thé vert (toi aussi t'es vert? ah! ah! ah!) je repense à la soirée de la veille sur une ile briéronne où autour d'un magnifique rougail de saucisses confectionné de main de maitresse par notre chaleureuse hôtesse Ziquette, nous avons modelé comme il se doigts le monde à nos envies, nos colères, nos frustrations et  espérances parce que, nom d'un pimpeneau tout penaud mais frétillant de chez Sargasses-tique  il était hors de question de se laisser envahir par la morosité suintante, sans pour autant se faire prendre dans les filets rapiécés  de bonimenteurs professionnels  qui en couches successives couvraient les médias  de leur confondante insipidité et indigestibilité et  raies-unies pour le pire à notre égard  et le meilleur au leurre , en attendant d'afficher prochainement leur tronche satisfaite et re-pue sur les murs des bourgs z'et cantons de notre octogone (ben oui tout augmente).

Dimanche, entre brumes et merlette venant s'approvisionner en miettes de nos -beaux?- restes sur le perron de la cuisine, je me mire au fond du thé tard en songeant à la soirée de la veille autour des sublimes lasagnes de nos  -si- accueillants hospitaliers des bordures estuairiennes. 
Tout en rivalisant de calembours et plaisanteries à l'épreuve des balles de ping-pong et aussi  légers qu'un balluchon de cuivres s'essayant  au  Mozart-rrella....
nous avons pétri à la force des pâtes gratinées nos expirations inspirées sur l'ère du temps à la surface des choses. Pas envie pour otan  Bélénos, Epona  et par pitié de se laisser embobiner par des tricoteurs en économie pour les nuls qui maille après maille à partir nous mettent la moutarde au nez et boursicotent sur nos bonnes et mauvaises intentions à leur hagard printanier.
"J'ai mis ma culotte qui me porte bonheur" rendait à Césars en son cru, une  autre comédienne superstitieuse et le nez dans le guidon du  micro. Qu'en serait-il donc de nos camelots de la république, le jour venu, alors qu'un outsider n'en portant  déjà plus (pour dézipper plus vite que son ombre?) avait dû déclarer forfait pour cause de panne de machine à linge sale en famille.
 Personne ne semblait -à l'heure ou s'imprime la campagne- en mesure de répondre, faute peut-être  d'avoir posé la question alors que les gros niqueurs de la presse asser-mentée préféraient rivaliser d'acuité pour questionner les nommés-nominés sur leurs goûts en matière de cinéma, de fromage ou  heu! de tire-fesse (ben tu vois, quand on veut ...).



source: Les indignés-réseau social-

2 commentaires:

  1. Bon dimanche, J.J., je vois que t'es en pleine forme ! :)

    RépondreSupprimer
  2. bon j'arrive encore ou presque après la bataille
    merci beaucoup Anne et puisqu'on y est pas loin, belle semaine à toi
    :-)

    RépondreSupprimer

Related Posts Plugin for WordPress, Blogger...