le thé ou là dans tous ses états
Veuillez, potentiel chaland
laisser infuser la free party.
Aux dernières nouvelles
l'hiver est soldé
et pendant l'accumulation des nimbus
la braderie continue
Un tuyau:
Je consomme donc je fuis.
Pensée profonde, valse des étiquettes à l'envers
en deux trois mouvements et quelques pourcentages.
A chaque jour suffit sa benne
Aujourd'hui,
mon Trésor pudique affiche l'inconscient familial et l'étripage orchestré
Et demain
qu'en sera t-il de la boite à z'idées?
Qui sait,
une reconduite à la frontière,
un mineur de fond sous quelques enfantillages
vite oubliés pour les noms propres
sur eux.
sur eux.
Et un référentiel de campagne, un.
"Je vous dis la vérité
toute la férité
et rien que la vraie ridée "
Levez la main droite
et dites
Candida.
Au fait , chez pluriel ça fait bien candidoses non?
Mais alors,
dans ce gars là
dans ce gars là
le pouvoir serait une maladie insidieuse.
...
Zen beaucoup !
RépondreSupprimer"Je consomme donc je fuis", votre ami est le frère de mon vieil ami Lao, mon ami. Henri Laborit aussi. Ecrivons, fuyons !
RépondreSupprimerJ'abonde : oui, le pouvoir est bien une maladie - insidieuse, pas toujours, il y a des atteintes chroniques, mais pernicieuse, toujours !
RépondreSupprimercandidoses, mycoses .... overdose .... jamais déçu à ta lecture ... merci pour ces sourires que tu nous accroches !
RépondreSupprimerC'est un véritable plaisir de vous lire.
RépondreSupprimerMerci à tout les quatre et belle journée à vous.
:-)