Oyez! Oyez! spectateurs réguliers ou occasionnels de ce blog à roulettes.
Permettez-moi, après consultation et diagnostic associé de vous livrer le bulletin de santé de la boutique estuairienne.et quelques explications par la même occasion
Tout d'abord, nos services en blablature les pieds dans l'eau ont dû procéder à quelques recyclages de matériels et ajustements techniques, ce qui pourrait expliquer-pour ceux qui connaissent un peu la crèmerie- que vu la grande maitrise de la bricole informatique et ainsi de suite de votre présentement obligé, il ne faudra guère s'étonner du silence sur les ondes de mon moi de novembre, enfin tout au moins sur ses bases avancées.
Et puis, des choses de la vraie vie- Vous savez celle qui vous collent si bien à la peau, à peine l'écran endormi- ont eu pour conséquences et dégâts (les filles aussi) collatéraux de semer un léger doute d'inter-saison sur la place privettement publique.
Un peu de chlorure de magnésium, deux trois claques symboliques et nous voici -youkaïdi! de retour pour affronter avec sérénité et faute de mieux une certaine désinvolture, les intempéries automnales ou ce qui pourrait leur ressembler.
Ne pas prendre racine quand l'océan se gonfle de suffisance et pousser sa barquette un plus loin vers des contrées hospitalières, ou en tout cas, qui leur ressemblent. Ainsi parlait la belle-soeur de Zarathoustra qui pour des raisons de droit d'auteur avait sa langue dans sa poche, mais ce qui ne l'empêchait pas de l'agiter avant de s'en servir.
Un peu plus loin, notre héros au long bec, légèrement chiffonné par des pensées aussi diverses que contradictoires rencontra sur sa route un camion blanc échappé -peut-être- d'un banc de camping caristes et qui lui délivra dans le dos et en pleine poire un message qui tombait à pic mais sans la noyade.
Alors et à l'heure où la maintenance rongée par les doutes et les mythes envisageait de fermer temporairement...boutique pour inventaire, il aura fallu quelques signes ou du moins interprétés comme tels pour se dire que finalement n'ayant toujours pas -ni les moyens, ni l'envie -de se payer un lacanien impropre sur lui afin de débroussailler les contours de son égo fleuri- il suffisait finalement de saisir le bout lancé à sa poursuite et d'en traduire les indulgences.
Vaste programme qui devrait encore occuper le ptit personnel, pour un -certain- temps.
Parfois, on a tellement de doutes que s'installe la certitude de l'inutilité de tout...Moi je soigne ça en allant dehors et souvent ça marche!!! :-)
RépondreSupprimerMerci beaucoup Sylvie pour le message, tout à fait approprié.
RépondreSupprimer:-)
faut s'aérer la tête un peu, des fois.
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