Dans la dernière livraison de la rubrique nazairienne "farces et balises" de Ouest-France du samedi
(dont on ne peut que féliciter l'impertinence si rare en général dans la presse régionale..) nous apprenons, qu'un élu -de premier ordre- de retour de la dernière manif anti-retraite aurait pris un parking dans le mauvais sens avant de "jeter" son véhicule dans la barrière fermant le dit parking, qu'il aurait essayé ensuite de rafistoler tant bien que mal ...Il est vrai qu'il n'est pas toujours facile de s'y retrouver dans le nouveau schéma de stationnement local même pour ceux qui l'on décrété -la preuve- Nul doutes que les services concernés...seront indulgents pour cette distraction passagère qui bien entendu pourrait arriver à n'importe quel pékin nazairien qui n'en est pas moins homme et fragile n'est-il pas?Et dans la série: un peu d'humanité envers son prochain..que diable...
-à lire chez Marianne2
quand dans la famille sonne l'heure de la retaite...
Un jeune homme de 88 ans, écoeuré par le gouvernement, renvoie son diplome
à écouter sur france-info (envoyé par Patch Barret)pétain coup t'es tout pâle... la suite par ici
comment mener son train-train quotidien? (envoyé par un cheminot marseillais)
"Le baiser" de Raymond Devos (envoyé par Françoise)
"Pour donner un nom hors du commun à mon chien, je l'ai nommé Baiser (comme pour un baiser mignon). Ce fut une erreur, mais je ne l'ai remarqué que plus tard :
1°) Lorsque après mon déménagement je me suis rendu à la municipalité pour le faire enregistrer, je dis au percepteur que je venais payer la taxe pour Baiser. Il me répondit qu'il n'y avait pas encore de taxe à payer pour cela.
« Mais il s'agit d'un chien », lui répondis-je. Il me répliqua que les relations sexuelles avec les animaux sont interdites par la loi, mais que malgré cela, il n'y avait pas de taxe à payer.
« Vous ne comprenez pas », lui dis-je, « j'ai Baiser depuis que j'ai neuf ans ».... Il me jeta dehors.
2°) Pendant notre voyage de noces, le chien nous avait accompagnés. Comme je ne voulais pas qu'il nous dérange, je demandai à la réception de l'hôtel une chambre supplémentaire pour Baiser.
La dame de service me répondit que toutes les chambres de l'hôtel étaient équipées à cet effet.
« Vous ne comprenez pas », lui dis-je, « Baiser m'empêche de dormir toute la nuit ». Mais elle me répondit qu'elle aussi, ça l'empêchait de dormir.
3°) Une fois, je me rendis à un concours de beauté pour chiens, je voulais y présenter Baiser. Un gars à l'entrée me demanda la raison de ma présence au concours. Je lui répondis que j'étais ici pour Baiser. Il me suggéra de faire imprimer mes cartes d'entrées privées et de les vendre. Lorsque je lui demandai si le concours était télévisé, il me traita de pervers.
4°) Un jour, Baiser tomba malade et je dus le conduire chez le vétérinaire. Le lendemain, j'allai le reprendre. -Lequel est-ce, me demanda la demoiselle en feuilletant dans ses cartes d'admission, Milou, Médor..ou Paf?
« Que diriez vous de Baiser », lui répondis-je, et je reçus une gifle.
5°) Le même jour, Baiser s'échappa et je le cherchai partout. Je me rendis au refuge pour animaux pour le chercher.
Que voulez-vous ? Me demanda le gardien.
Baiser, lui répondis-je. Il était d'avis que ce n'était pas le bon endroit pour baiser.
6°) Je cherchai toute la nuit. Vers 4 heures, un agent de police me demanda ce que je voulais en pleine nuit dans ce quartier chic, lorsque je lui répondis que je voulais seulement Baiser et rien d'autre, il m'embarqua.
7°) Lors du divorce, ma femme et moi devions nous présenter devant le juge pour le partage des biens. Naturellement, je voulais à tout prix garder mon chien, je ne voulais pas le lui laisser :
- « Votre Honneur, j'avais déjà Baiser avant le mariage ».
- Il répondit simplement :
- « Et alors ? Moi aussi !"
1°) Lorsque après mon déménagement je me suis rendu à la municipalité pour le faire enregistrer, je dis au percepteur que je venais payer la taxe pour Baiser. Il me répondit qu'il n'y avait pas encore de taxe à payer pour cela.
« Mais il s'agit d'un chien », lui répondis-je. Il me répliqua que les relations sexuelles avec les animaux sont interdites par la loi, mais que malgré cela, il n'y avait pas de taxe à payer.
« Vous ne comprenez pas », lui dis-je, « j'ai Baiser depuis que j'ai neuf ans ».... Il me jeta dehors.
2°) Pendant notre voyage de noces, le chien nous avait accompagnés. Comme je ne voulais pas qu'il nous dérange, je demandai à la réception de l'hôtel une chambre supplémentaire pour Baiser.
La dame de service me répondit que toutes les chambres de l'hôtel étaient équipées à cet effet.
« Vous ne comprenez pas », lui dis-je, « Baiser m'empêche de dormir toute la nuit ». Mais elle me répondit qu'elle aussi, ça l'empêchait de dormir.
3°) Une fois, je me rendis à un concours de beauté pour chiens, je voulais y présenter Baiser. Un gars à l'entrée me demanda la raison de ma présence au concours. Je lui répondis que j'étais ici pour Baiser. Il me suggéra de faire imprimer mes cartes d'entrées privées et de les vendre. Lorsque je lui demandai si le concours était télévisé, il me traita de pervers.
4°) Un jour, Baiser tomba malade et je dus le conduire chez le vétérinaire. Le lendemain, j'allai le reprendre. -Lequel est-ce, me demanda la demoiselle en feuilletant dans ses cartes d'admission, Milou, Médor..ou Paf?
« Que diriez vous de Baiser », lui répondis-je, et je reçus une gifle.
5°) Le même jour, Baiser s'échappa et je le cherchai partout. Je me rendis au refuge pour animaux pour le chercher.
Que voulez-vous ? Me demanda le gardien.
Baiser, lui répondis-je. Il était d'avis que ce n'était pas le bon endroit pour baiser.
6°) Je cherchai toute la nuit. Vers 4 heures, un agent de police me demanda ce que je voulais en pleine nuit dans ce quartier chic, lorsque je lui répondis que je voulais seulement Baiser et rien d'autre, il m'embarqua.
7°) Lors du divorce, ma femme et moi devions nous présenter devant le juge pour le partage des biens. Naturellement, je voulais à tout prix garder mon chien, je ne voulais pas le lui laisser :
- « Votre Honneur, j'avais déjà Baiser avant le mariage ».
- Il répondit simplement :
- « Et alors ? Moi aussi !"
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire