Faire le pont ou rester de bois
devant l'exubérance
des rives?
Prendre la température
et marcher à l'ombre
de la surabondance...
"Ça me rend dingue, cette manie que le monde a de rendre tout et tout le
monde interchangeable, de transmettre les choses sans les situer, sans
les expliquer, soi-disant pour aller plus vite, en réalité par paresse.
En déplaçant les choses et les êtres, en effaçant les traces, en ne
racontant rien que des faits désincarnés, comment peut-on trouver la
vérité? Comment peut-on comprendre et pardonner sans connaître
l'histoire et la géographie d'un fait? Il en est de même pour l'art.
Sans cadre, comment l'art pourrait-il s'exprimer? C'est sa limite dans
l'espace et dans le temps
qui le rend transgressif et vivant."
Guillaume Gallienne extrait de: "Le buveur de brume"
"Nous rêvons de voyager à travers l'univers; l'univers n'est-il donc pas en nous?
Novalis
"Il y a toujours eu du vide. Il y a toujours eu des vagues, et des
terrains vagues. C’est là que je me cache pour contempler ce territoire
où tout s’est mélangé, et où la couleur vient redonner du sens à
l’espace et au temps qui passe. C’est là que je me cache, c’est là que
j’observe, géante souveraine de ce territoire ordinaire.
Dans cette exposition, l’artiste Superlette vous invite à visiter une partie de son territoire imaginaire.
Une exposition qui sent bon les premiers jours de soleil, où la peinture, le collage et les crayons racontent une histoire de la couleur, de paysages qui se mélangent et de souvenirs d’enfance."
Dans cette exposition, l’artiste Superlette vous invite à visiter une partie de son territoire imaginaire.
Une exposition qui sent bon les premiers jours de soleil, où la peinture, le collage et les crayons racontent une histoire de la couleur, de paysages qui se mélangent et de souvenirs d’enfance."
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"Y'a les regards de ceux que l'on croiseEt ceux que l'on habiteAvant d'avoir eu le temps de voirJ'ai fermé les yeux trop viteTous les visages parlent d'eux mal Avant qu'on les connaisse Le mien t'as dit vas t'en cours au loinJe ne serais que tristesse
Y'a les sourires de ceux que l'on croisentEt ceux que l'on habiteAvant d'avoir eu le temps de boireTu as craché trop viteTous les visages parlent d'eux malAvant qu'on les connaisseLe tien m'a dit vas t'en cours au loin Je ne serais que tristesse
On s'est brisé la tête et le cœurAvec bien trop d'adresseOn a noyé nos yeux dans les pleursPrétextant notre ivresseTous les visages parlent d'eux malAvant qu'ils se connaissentLes nôtres on fait semblant jusqu'à la finAidés de fausses promesses"
Pierre LaPointe
Photos de MORDMARDOK
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A VOIR CHEZ KUB
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"Le bleu est une plongée inconsciente interminable"
Malcom de Chazal
Pablo Picasso
SOURCE: M.M.
"Vivre au bord de la mer et ne rien faire que l'essentiel
Rester sur cette terre
Aimer l'hiver aimer le ciel quand il se voile à l'horizon
quand il s'éclaircit sans raison
Croire au présent croire aux saisons
Retrouver la bonne pulsation
Vivre au bord de la mer
de l'amertume sans s'y noyer
vivre encore et sourire à l'avenir, à l'amitié
Quand tout se voile à l'horizon
Quand tout s'éclaircit sans raison
Croire au présent, croire aux saisons
Retrouver la bonne pulsation
Vivre au bord de la mer
Loin de la foule
De la folie
Revivre et respirer
Se respecter
Aimer la vie
Quand elle s'estompe à l'horizon
Quand elle ressurgit sans raison
Croire au présent, croire aux saisons
Retrouver la bonne pulsation
Vivre au bord de la mer... "
Mathieu Rosaz
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