Trancher dans le lard
d'une farce collective
Vite mes sels fie
pour fêter la libération où ce qui lui ressemble
si j'en crois les chroniqueurs chroniques du poste.
"A la Saint-Yves le beau temps arrive"
Seulement:
"Craignez le petit Yvonnet c'est le pire de tous quand il s'y met."
A qui se fier
les yeux au ciel.
Que voulez-vous,
les mots s'en vont dans les clichés
et reviennent par la porte du jardin
au matin
rouillée, grinçante et empruntée
à discrétion;
entrouverte sur deux mondes
comme un sas vers les hauts plateaux
celui tenu en équilibre
par l'homme du bar
ou la scène pour faire son cinéma
à la sortie du mercredi.
Tant qu'à se rendre quelque part, autant aller à l'évidence.
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