Là-haut,
le ciel semblait toujours plus bleu;
là-haut veillait une forme d'indolence et d'éloignement
face aux manières de la vie et tous ses codes à façon.
Là-haut,
on pouvait mettre la tête en bas et rire du rien qui passe.
Là-haut n'était pas sérieux
et tellement appliqué pourtant
à défaire l'engeance
immense qui nous habite.
[...]
"Oui. il n'y a qu'une seule façon de voir le monde:
celui-ci est absurde, invraisemblablement absurde.
Et c'est ça qui me fait mourir de rire, avant de mourir tout court."
Terry Gilliam
"J'ai longtemps parcouru son corps
Effleuré cent fois son visage
J'ai trouvé de l'or et même quelques étoiles
En essuyant ses larmes
Et j'ai appris par cœur la pureté de ses formes
Parfois je les dessine encore
Elle fait partie de moi
Effleuré cent fois son visage
J'ai trouvé de l'or et même quelques étoiles
En essuyant ses larmes
Et j'ai appris par cœur la pureté de ses formes
Parfois je les dessine encore
Elle fait partie de moi
Je veux juste une dernière danse
Avant l'ombre et l'indifférence
Un vertige puis le silence
Je veux juste une dernière danse
Avant l'ombre et l'indifférence
Un vertige puis le silence
Je veux juste une dernière danse
Je l'ai connue trop tôt mais c'est pas de ma faute
La flèche a traversé ma peau
C'est une douleur qui se garde
Qui fait plus de bien que de mal
Mais je connais l'histoire, il est déjà trop tard
Dans son regard, on peut apercevoir qu'elle se prépare
Au long voyage
La flèche a traversé ma peau
C'est une douleur qui se garde
Qui fait plus de bien que de mal
Mais je connais l'histoire, il est déjà trop tard
Dans son regard, on peut apercevoir qu'elle se prépare
Au long voyage
Je veux juste une dernière danse
Avant l'ombre et l'indifférence
Un vertige puis le silence
Je veux juste une dernière danse
Avant l'ombre et l'indifférence
Un vertige puis le silence
Je veux juste une dernière danse
Je peux mourir demain, ça ne change rien
J'ai reçu de ses mains
Le bonheur ancré dans mon âme
C'est même trop pour un seul homme
Et je l'ai vu partir, sans rien dire
Il fallait seulement qu'elle respire
Merci, d'avoir enchanté ma vie
J'ai reçu de ses mains
Le bonheur ancré dans mon âme
C'est même trop pour un seul homme
Et je l'ai vu partir, sans rien dire
Il fallait seulement qu'elle respire
Merci, d'avoir enchanté ma vie
Avant l'ombre et l'indifférence
Un vertige puis le silence
Je veux juste une dernière danse
Un vertige puis le silence
Je veux juste une dernière danse
J'ai longtemps parcouru son corps
Effleuré cent fois son visage
J'ai trouvé de l'or et même quelques étoiles
En essuyant ses larmes
Et j'ai appris par cœur la pureté de ses formes
Parfois je les dessine encore
Elle fait partie de moi
Effleuré cent fois son visage
J'ai trouvé de l'or et même quelques étoiles
En essuyant ses larmes
Et j'ai appris par cœur la pureté de ses formes
Parfois je les dessine encore
Elle fait partie de moi
Une dernière danse"
Kyo
"L’amour le plus tendre, le plus doux, le plus prévenant se transforme parfois en haine.
Eh,
arrêtez les gens ! L’amour ne fait rien du tout, il ne se transforme
pas car il n’existe pas, seuls les amants existent, et seuls ils sont
responsables."
Arno "Love" dans: "Les restes du banquet"
t'en fais une drôle de tête?
du genre mon carnaval à moi c'est quoi?
hein?
Ptêt trois ptits pas de côté et puis de l'autre côté aussi
Pou Pou Pou- Pou Pou Pou Lou...
Samba mais en chaussettes
Vous m'accorderez bien cette danse ?
"C'était sans doute un soir d'automne,
je me réalisais cet autoportrait en gouttes de pluie. Les gouttes de
pluie, ou les gouttes de gris, je les connais. Elles m'accompagnent
depuis longtemps. Elles tombent, elles coulent, elles se mêlent à mes
états de l'âme. Je les écris, je les varie, j'en peins des tableaux qui
se suivent et se ressemblent, ou ne se ressemblent pas.
Ce
fut d'abord la mousson d'un pays et d'un temps perdus. C'était parfois
une pluie orageuse sous un ciel d'été. Il arrive encore que cette pluie
accompagne une tempête violente. Rarement, elle est douce et fine,
presque imperceptible. Et à d'autres moments, elle se confond aux
larmes, avant de se jeter dans un ruisseau, une rivière, une mer, un
océan.
Les gouttes de pluie sont
toujours pleines de mélancolie, on apprend à composer avec leurs
mélodies : elles sont comme un chant de grillon dans la nuit. Je fais
avec, je les écoute. Je les accepte, je les accueille. Je les contemple
aussi car elles sont peut-être à l'image d'une existence humaine. Toutes
les existences pleuvent et finissent par se noyer dans le grand fleuve."
Elly "Autoportrait en gouttes de pluie." dans: "Minuit dans le jardin"
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Serge qui aimait tant se déguiser , se costumer, se mettre en scène...
J'ai retrouvé cette photo "d'avant hier."
Prémonitoire en somme.
J'aime toujours autant rire avec toi.
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