Toujours faire
et raffiner ses doutes .
en bleu pétrole au couchant
Démons et merveilles
pour gare de veille.
Berlue au chalut-mots.
photo envoyée par Jonas
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"Les Français ne connaissent qu’un seul
mot en breton, kenavo, soit au revoir. Pourquoi ne sait-on pas comment dire
bonjour ? Parce qu’il existe des dizaines de façons de l’exprimer !
Savez-vous qu’en breton l’herbe et le ciel sont de la même couleur ?
Que le bateau est féminin mais que la mer est masculin ?
Que le breton possède des lettres qui n’existent pas en français, comme le c’h et le ñ, mais
qu’à l’inverse le c, le q et le x sont inconnus ?
Voici quelques-uns des sujets exposés dans ce petit livre, issu de
chroniques parues dans le magazine Bretons. Ceci n’est pas une méthode
pour apprendre le breton. Ce livre va simplement tenter de vous montrer
en quoi, vraiment, la langue bretonne voit le monde différemment. Et
donc, peut-être, vous convaincre qu’elle est précieuse et qu’elle mérite
qu’on la parle, qu’on l’enseigne, qu’on se batte pour elle." source
"[...]
La crise du coronavirus est l'exemple même d'un processus intersocial généralisé que les structures étatiques ne parviennent pas à maîtriser.
Cette crise sanitaire est la première dans l'histoire de l'humanité qui affecte tout le monde, de manière intime et dans un temps commun.
Il est donc nécessaire de repenser la régulation non plus à la seule échelle nationale comme autrefois, mais à travers des formes nouvelles de gouvernance à l'échelle mondiale, non pas par le truchement d'un gouvernement mondial, impensable et non souhaitable, mais comme une protection solidaire des nations face à une menace globale."
Bernard Badie extrait d'un entretien avec Stéphane Aubouard Marianne
illustration envoyée par Jonas
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