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Dos!
le dos
il a bon dos
à la pêche aux rigadeaux.
(Dicton de la plage Benoît)
Scène de rue
Une expression: Travailler d'arrache-pied.
"Nous sommes des rats dératés qui courent dans tous les sens, des grelots déchaînés et sonores,
des pantins ivres d'eux-mêmes,
des nains aux rêves de géants."
Jean d'Ormesson extrait de: "C'est une chose étrange à la fin que le monde."
"In vino veritas: un petit rouge bien tassé. Se dit affectueusement d'un nain communiste très vieilli."
Pierre Desproges extrait de: Dictionnaire superflu à l'usage de l'élite et des bien nantis."
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Un jeune autochtone en grève de la faim pour alerter l’opinion sur les suicides dans sa communauté
Après une marche de 635 kilomètres, un activiste autochtone de 24 ans a entamé le 31 juillet une grève de la faim devant le parlement de la Saskatchewan. Il entend faire pression sur le gouvernement de la province pour qu’il adopte un projet de loi sur la prévention des suicides, qui touchent fortement la population autochtone.
Le 2 juillet, Tristen Durocher a quitté à pied son village de La Ronge, dans le nord de la Saskatchewan, pour se rendre à Regina, la capitale de cette province de l’ouest canadien située 635 kilomètres plus loin. Après avoir installé devant le palais législatif un tipi, dans lequel il entretient un feu sacré, il a entamé une grève de la faim. Radio-Canada explique qu’il veut ainsi “faire pression sur le gouvernement de la Saskatchewan pour qu’il adopte un projet de loi sur les suicides”.Selon des chiffres officiels, 2 338 suicides ont été enregistrés dans la province entre 2005 et 2019. “Plus du quart sont des autochtones”, précise la radio canadienne. La Fédération des nations autochtones souveraines de la Saskatchewan affirme que le taux de suicide est quatre fois plus élevé chez les autochtones que dans la population générale de la province. “Ces chiffres de taux de mortalité dans le nord ne sont pas des statistiques pour moi, confie Tristen Durocher au Leader Regina Post. Ce sont des visages, ce sont des gens, ce sont des êtres chers.”
Une tragédie vécue dès l’enfance.
Martin Gauthier-Source: Courrier International
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