La Brière mire ses canaux sous le clément soleil d'octobre.
et
les brouettes comme tous les ans, bûches et se croisent.
d'où
L'importance du joli tas avant sa mise en plis, sa mise au poêle.
Ah le rugissement de la tronçonneuse qui fend la bise et mord à la poussière.
C'est quelque chose,
sans doute
incompatible avec la grasse matinée...
Messieurs du genre technique, Faudra ptêt songer à l'avenir au modèle silencieux.
A moins que ce ne soit un fait exprès pour présager que la coupe du bois, c'est une affaire virile et donc...grande gueule associée.
Mais comme disait un photographe de nos connaissances
"Méfions-nous de clichés".
Quand au dimanche à repasser
et bien je ne peux que vous le souhaiter:
"Ni dieu ni maître"
et franchement et en somme
récupérateur
du style:
-Moderne-
(avec Ferré deux en un)
Le mien fut "silencieux" (pan ! pan ! ouah ouah ouah ! pan ! pan !), bricoleur et réparateur. :))
RépondreSupprimerje vois que tout le monde dans son habit de fourmi s'agite avant les "mauvais jours"
RépondreSupprimermais n'oublions ps également le costume de cigale, c'est le même je crois quand on le retourne
;-)