Tu parles d'un titre improbable.
Un peu,
comme une histoire de mauvaises manières avec le vocabulaire.
A l'école c'était pour faire du genre sans en avoir l'autorisation.
Enfin l'idée de provocation ("appel à la voix de l'autre" dans le manuel) est venue juste après,
en réponse au "ça se fait pas" vite suivi du "parce que" pour supposer éviter les embrouilles.
Jouer avec les mots, c'est pourtant tout ce qu'ils nous demandent finalement, tellement ravis de sortir du dictionnaire pour aller se balader dans l'imaginaire.
Et puis les codes, les lois, les principes... ils existent pour faire de l'exercice, jusqu'à s'essayer au grand écart quitte à se faire mal, comme disait maman -"quelque part"
Le risque à payer pour ne pas s'enterrer vivant et appréhender la vie dans sa capacité à toujours nous émouvoir.
Et les mots dans tout ça?
Ils étaient là pour faire dix versions ou quoi?
Pour les accepter, mieux encore les apprivoiser, autant que cela puisse être possible... il vaudrait mieux qu'ils nous fassent envie mais aussi que l'on se sente à l'aise avec, quitte à les remplacer sans crier gare, les abandonner au bord de la marge, leur gratter la tête sous le chapeau , les chatouiller dans les coins, leur en faire voir, du pire et du meilleur...et les cuisiner à tous les barbarismes, solécismes et autres maladies suspectes
du syntaxe priez pour nous
Bref, on voudrait se donner l'illusion de l'écriture qui n'est semble t-il rien d'autre que du vent épinglé au vol. afin qu'il puisse éventuellement resservir.
Lundisposé
Mardi pris...
Pour les lendemains qui chantent, nous reviendrons dès que le bureau du comité des fêtes aura été démocratiquement élu.
En attendant, veuillez accepter mes cordiales pensées et pour la mise en plis, voyez s'il vous plait avec la température du salon
joli billet de lundi, j'ai pris plaisir à lire ; jouons...
RépondreSupprimeret oui jouons puisque au bout du compte (à rebours) rien n'est véritablement sérieux..;
RépondreSupprimer;-)