Que viens-tu faire dans le paysage?
Le sauras-tu
un jour?
Chacun est dans la place chuchotait le guide du roublard
en tournant les pages
d'ici et maintenance.
Que viens-tu faire dans cette chti'mer?
Figé à la vie qui se remue
en ayant l'air
et être déjà perdu.
Que viens-tu faire à ton àge ?
jouant avec les images,
quelques initiales dans la marge.
"Près d'un fleuve je suis né
Depuis je flotte avec le flux
Dans cette vie qui veut de moi
Peu importe ce que je suis?
Et donc j'existe et je respire
Et je me dis que ce n'est pas un mauvais départ
Depuis je flotte avec le flux
Dans cette vie qui veut de moi
Peu importe ce que je suis?
Et donc j'existe et je respire
Et je me dis que ce n'est pas un mauvais départ
Puis j'ai été un temps dans le coma
Mais voilà, je me réveille
Et je vous apporte des fleurs
Des chocolats depuis le trou du cul de l'enfer
Je réapprends à marcher, je donne des noms aux choses
Mais voilà, je me réveille
Et je vous apporte des fleurs
Des chocolats depuis le trou du cul de l'enfer
Je réapprends à marcher, je donne des noms aux choses
Je dis mon amour, mes mensonges
Mon espoir, mes fautes
Ma passion, mon feu
Ma colère, mon impatience
Mon "non" et mon "peut-être"
Et mon "oui" inconditionnel
Mon espoir, mes fautes
Ma passion, mon feu
Ma colère, mon impatience
Mon "non" et mon "peut-être"
Et mon "oui" inconditionnel
Oh oui je veux
Oh oui je veux
Oh oui je veux
Oui je veux
Oh oui je veux
Oh oui je veux
Oui je veux
Je veux être à nouveau surpris
Je veux être étonné
Comme le premier des hommes
Je veux me retrouver
Debout avec tes yeux nouveaux
Au milieu des choses
Et ne plus rien reconnaître
Pas à pas à travers les bois
Et les prairies et dire "oui"
C'est beau, plutôt pas mal
Pas mal tout ça
Alors j'ouvre mes bras
Aussi loin que je peux
Qu'à chaque chose, y a un cadeau
C'est juste l'emballage qui fait chier
On a beau a essayé
On arrive à peine à enlever ce joli papier
Je veux être étonné
Comme le premier des hommes
Je veux me retrouver
Debout avec tes yeux nouveaux
Au milieu des choses
Et ne plus rien reconnaître
Pas à pas à travers les bois
Et les prairies et dire "oui"
C'est beau, plutôt pas mal
Pas mal tout ça
Alors j'ouvre mes bras
Aussi loin que je peux
Qu'à chaque chose, y a un cadeau
C'est juste l'emballage qui fait chier
On a beau a essayé
On arrive à peine à enlever ce joli papier
Pourtant, je sais maintenant
Qu'y a des gens dans ce monde
Qui le justifient
Qui peuvent nous aider à vivre
Qui aiment, aiment
Comme si c'était la chose la plus légère au monde
Qu'y a des gens dans ce monde
Qui le justifient
Qui peuvent nous aider à vivre
Qui aiment, aiment
Comme si c'était la chose la plus légère au monde
Je veux être comme eux
Je veux être comme eux
Oh oui je veux
Oui je veux
Je veux être comme eux
Oh oui je veux
Oui je veux
Parfois je reste éveillé la nuit
Je rêve des plus belles mélodies
Qui flottent dans l'obscurité
Je flotte avec elles
Quelque chose en moi veut briller et aller vers le ciel
Je rêve des plus belles mélodies
Qui flottent dans l'obscurité
Je flotte avec elles
Quelque chose en moi veut briller et aller vers le ciel
Puis une batterie commence à battre
Pousse le beat derrière ma tête
Une basse colle à la grosse caisse
Une guitare va de l'avant
Et quelque part dans le néant siffle un larsen céleste
Et tout se met en mouvement
Tout ça balance
Et j'entends les voix des anges
Et tout le monde chante avec elles
You gonna be saved by Rock'n'Roll"
Pousse le beat derrière ma tête
Une basse colle à la grosse caisse
Une guitare va de l'avant
Et quelque part dans le néant siffle un larsen céleste
Et tout se met en mouvement
Tout ça balance
Et j'entends les voix des anges
Et tout le monde chante avec elles
You gonna be saved by Rock'n'Roll"
Oh oui je veux
Oh oui je veux
Oh oui je veux
Oh oui je veux"
Oh oui je veux
Oh oui je veux
Oh oui je veux"
Stephan Eicher
Tu penses à quoi ?
À la langueur du soir dans les trains du tiers monde ?
À la maladie louche, aux parfums de secours ?
À cette femme informe et qui pourtant s'inonde ?
Aux chagrins de la mer planqués au fond des cours ?
Tu penses à quoi ?
À l'avion malheureux qui cherche un champ de blé ?
À ce monde accroupi les yeux dans les étoiles ?
À ce mètre inventé pour mesurer les plaies ?
À ta joie démarrée quand je mets à la voile ?
Tu penses à quoi ?
À cette rouge gorge accrochée à ton flanc ?
Aux pierres de la mer lisses comme des cygnes ?
À la langueur du soir dans les trains du tiers monde ?
À la maladie louche, aux parfums de secours ?
À cette femme informe et qui pourtant s'inonde ?
Aux chagrins de la mer planqués au fond des cours ?
Tu penses à quoi ?
À l'avion malheureux qui cherche un champ de blé ?
À ce monde accroupi les yeux dans les étoiles ?
À ce mètre inventé pour mesurer les plaies ?
À ta joie démarrée quand je mets à la voile ?
Tu penses à quoi ?
À cette rouge gorge accrochée à ton flanc ?
Aux pierres de la mer lisses comme des cygnes ?
Au coquillage heureux et sa perle dedans ?
Qui n'attend que tes yeux pour leur faire des signes ?
Tu penses à quoi ?
Aux seins exténués de la chienne maman ?
Aux hommes muselés qui tirent sur la laisse ?
Aux biches dans les bois, au lièvre dans le vent ?
A l'aigle bienheureux, à l'azur qu'il caresse ?
Tu penses à quoi ?
À l'imagination qui part demain matin ?
À la fille égrenant son rosaire à pilules ?
À ses mains mappemonde où tremble son destin ?
À l'horizon barré où ses rêves s'annulent ?
Tu penses à quoi ?
À ta voix sur le fil quand je cherche ta voix ?
À toi qui t'enfuyais quand j'allais te connaître ?
Qui n'attend que tes yeux pour leur faire des signes ?
Tu penses à quoi ?
Aux seins exténués de la chienne maman ?
Aux hommes muselés qui tirent sur la laisse ?
Aux biches dans les bois, au lièvre dans le vent ?
A l'aigle bienheureux, à l'azur qu'il caresse ?
Tu penses à quoi ?
À l'imagination qui part demain matin ?
À la fille égrenant son rosaire à pilules ?
À ses mains mappemonde où tremble son destin ?
À l'horizon barré où ses rêves s'annulent ?
Tu penses à quoi ?
À ta voix sur le fil quand je cherche ta voix ?
À toi qui t'enfuyais quand j'allais te connaître ?
À tout ce que tu sais de moi et à ce que tu crois ?
À ce que je connais de toi sans te connaître ?
Tu penses à quoi ?
À ce temps relatif qui blanchit mes cheveux ?
À ces larmes perdues qui s'inventent des rides ?
À ces arbres datés où traînent des aveux ?
A ton ventre rempli et à l'horreur du vide ?
Tu penses à quoi ?
À la brume baissant son compteur sur ta vie ?
À la mort qui sommeille au bord de l'autoroute ?
À tes chagrins d'enfant dans les yeux des petits ?
A ton cœur mesuré qui bat, coûte que coûte ?
Tu penses à quoi ?
À ta tête de mort qui pousse sous ta peau ?
À tes dents déjà mortes et qui rient dans ta tombe ?
À ce que je connais de toi sans te connaître ?
Tu penses à quoi ?
À ce temps relatif qui blanchit mes cheveux ?
À ces larmes perdues qui s'inventent des rides ?
À ces arbres datés où traînent des aveux ?
A ton ventre rempli et à l'horreur du vide ?
Tu penses à quoi ?
À la brume baissant son compteur sur ta vie ?
À la mort qui sommeille au bord de l'autoroute ?
À tes chagrins d'enfant dans les yeux des petits ?
A ton cœur mesuré qui bat, coûte que coûte ?
Tu penses à quoi ?
À ta tête de mort qui pousse sous ta peau ?
À tes dents déjà mortes et qui rient dans ta tombe ?
À cette absurdité de vivre pour la peau ?
À la peur qui te tient debout lorsque tout tombe ?
Tu penses à quoi ?
Dis
Tu penses à quoi ?
À moi ?
Des fois ?..."
À la peur qui te tient debout lorsque tout tombe ?
Tu penses à quoi ?
Dis
Tu penses à quoi ?
À moi ?
Des fois ?..."
Léo Ferré
Délirium très épais
Acide animé
Gonflette borderline
Mirage ligérien
Et quoi encore?
Prochaines escales
Tout le monde descend
Veuillez empruner le passage aérien s'il-vous plait!
Trente ans
à faire le tour des partitions du globe
à chercher le nord-est
en mettant le cap plein sud
à l'ouest.
ESCALES-Atlantique
SANT NAZER
Ferre c est bien chez vous JJ 44 il vient nous chanter ces poemes extra tatoués a la herze de la reconnaissance dans la poitrine.
RépondreSupprimerJe me rappelle ces quelques lignes sur votre rencontre avec Leo.
Je me rappelle le château de Durtall en Dordogne ou j étais entrer en escaladant le portail a jamais fermé de lui après le massacre a la hache des fermiers a ses amis chimpanzés. Toutes les pièces Pépé tait partout.
J en suis encore emue
Dans son peignoir au fond bleu écossais dans sa poche gauche il y avait la culotte.a Madeleine
J y ai passe la journee
A vivre si près de lui les proteger radiateurs pour que Pépé ne se brûle.
Son ecriture de porcelaine peint a l aencre violette. ( clin d oeil)
La grande cuisine la la table aussi.
L immobilité bougeait de lui Jj même aujourd hui j en ai le frisson
Et mes yeux qui se plissent dans le verger dans la lumière du soir
Les balançoires les toboggans pour Pepe
Et ses copains copines.
Madeleine tellement jalouse avait organise la tuerie avec les paysans rageurs du saccage de leur culture et de leurs fruits bouffes
Ma voiture a l époque était mon camping car avec matelas je dormais dans les champs.
J avais chercher le resto avec auberge j avais fait parle les gens du coin certains le.pleurer encore d autres en volutes de haine.
C était un jour de fin septembre
Après répétions de spectacle a Saint Jean de luz
Ton choix d escher sa chanson me parle beaucoup.
Merci de ses bonheurs du soir en echo c est sur dans ta nuit.
Tu es un chou
Un mache melo chou lover disait ma petite Niece a 5 ans quand elle nommait un oiseau marionnette
Offert.
Merci de ton talent d inspirateur
Poetique
Yellow summerring yellow summerring.
Bye sea you sounds
El miraculo dirait Fellini dans son film les clons