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"Une marche contre le génocide ouïghour, à l'appel des organisations ouïghoures européennes !
Le samedi 2 octobre, à Paris, place de la Bastille, 14h
Brisons le silence complice de la communauté internationale et exigeons ensemble la reconnaissance et la condamnation des crimes commis à l’égard des Ouïghour·e·s et autres minorités turciques en Chine.
Suite à des décennies de politiques coloniales et racistes, les autorités chinoises ont entamé une véritable politique génocidaire en région ouïghoure depuis au moins 2016.
Camps
de concentration, travail forcé au profit de multinationales,
stérilisations massives et forcées, viols et agressions sexuelles
systématisées, séparation des enfants de leur famille, lieux culturels
et religieux (mosquées, cimetières) détruits, surveillance et contrôle
de masse, environnement régional détruit et exploité pour les intérêts
de la Chine, diaspora persécutée : les violences infligées au peuple ouïghour par les autorités chinoises sont connues et documentées.
Il nous faut désormais réagir. Nous avons plusieurs exigences :
Plus aucun produit issu du travail forcé ne doit être commercialisé en France et en Europe : il faut mettre fin à l’impunité des multinationales qui profitent du travail forcé des Ouïghour·e·s.
Nous ne pouvons plus commercer ou signer des traités avec la Chine comme s’il ne se passait rien. L'accord d'investissements entre l'Union européenne et la Chine doit être annulé.
Nous ne pouvons pas participer aux Jeux Olympiques d'Hiver 2022 qui auront lieu en Chine. Ce serait cautionner un régime génocidaire."
"Les quatre saisons introduisent dans notre vie l’idée de cycles qui se répètent, un peu à la manière d’un escalier en colimaçon. Pourtant le temps de notre vie progresse, lui, selon une linéarité à sens unique, vers une dégénérescence irréversible. Cette temporalité interne, inhérente à notre corps, renforce encore notre aspiration aux saisons, au renouveau, à la renaissance."
"Nous perdons tous sans cesse des choses qui nous sont précieuses... des occasions précieuses, des possibilités, des sentiments qu'on ne pourra pas retrouver. C'est cela aussi vivre. Mais à l'intérieur de notre esprit - je crois que c'est à l'intérieur de notre esprit - il y a une petite pièce dans laquelle nous stockons le souvenir de toutes ces occasions perdues. Une pièce avec des rayonnages, comme dans cette bibliothèque, j'imagine. Et il faut que nous fabriquions un index, avec des cartes de références, pour connaitre précisément ce qu'il y a dans nos coeurs. Il faut aussi balayer cette pièce, l'aérer, changer l'eau des fleurs. En d'autres termes, tu devras vivre dans ta propre bibliothèque."
"Ainsi la NATURE fonde sa légalité sur les principes a priori de l'entendement comme pouvoir de connaître ; l'ART dans sa finalité a priori se règle sur la faculté de juger en rapport au sentiment de plaisir et de déplaisir ; LES MOEURS enfin (comme produits de la liberté) se situent sous l'Idée d'une forme de la finalité, qui se montre propre à des lois universelles à titre de principe déterminant de la raison relativement au pouvoir de désirer. Les jugements qui résultent en cette façon de principes a priori propres à chaque faculté fondamentale de l'esprit, sont des jugements théoriques, esthétiques et pratiques."
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