L'air du temps
battait la mesure
sur de vénérables écueils
perchés au dessus du flot emporté.
Peut-être,
que
chaque épisode de la vie
ainsi,
joue sa musique de circonstance
et fait danser
sous les paupières
les étoiles d'un océan
éclaboussant la rétine.
Et
le concert prend l'eau
et
il se noie d'ivresse
jusqu'au prochain épisode
avenir.
On arrivera jamais au bout de la sérénade.
Jamais.
Mais...
comme il est encore un peu trop tôt pour y croire
profitons des éclaircies
et que tout s'efface
ô miracle
dans l'éden d'une embellie.
Voyage-Voyage
Chacun son écueil, sa cadence pas toujours si doulce.
RépondreSupprimerbien sur, évidemment, "of corse" -comme l'on on dit à Bastia)
Supprimerchacun fait avec son soi, son pré-construit culturel, son comme il peut, il veut, il lui semble que, histoire de et tous les bagages de son moi coolie...
Bon dimanche
:-)