"Il est des maisons où l'on fait un jour par semaine un festin d’empereur ; le reste du temps, on s'y nourrit de pain sec et de rogatons. Vivent les banquets ! mais un bon ordinaire a son prix, et l'ordinaire du cœur est une chère compagnie dont il ne peut plus se passer, une amitié partagée, tendre et fidèle, accompagnée d'un impérieux besoin de vivre ensemble."
Victor Cherbuliez-Meta Holdenis -1873
Toujours aimer
Toujours souffrir
Toujours mourir
(Bayer au) Corneille
"La conversation est en somme une partie de tennis qu'on joue avec une balle en pâte à modeler qui prend une forme nouvelle chaque fois qu'elle franchit le filet."
Laurent Binet
Si je dis: "Il est tard", c'est que je veux rentrer
Mais si, en fait, je souhaite rester?
Si je souhaite qu'on me retienne?
Qu'on ne me laisse pas rentrer?
Qu'on me rassure en me disant: "Mais non, il n'est pas tard"?
Laurent Binet extraits de:" La septième fonction du langage"
"Si tu crois que là-bas
Si tu crois qu’il y a mieux pour toi
Va
S’il t’en coûte de voir une route
Sans l’emprunter
Va
On t’oubliera
On peut faire ça
Mais pour l’heure
Pour notre bonheur
Soigne tes adieux
Tu veux
Il n’y a rien pour une fête ici
Seulement le beau geste
Seulement le mot juste
Soigne tes adieux
Si tu crois qu’il y a mieux pour toi
Va
S’il t’en coûte de voir une route
Sans l’emprunter
Va
On t’oubliera
On peut faire ça
Mais pour l’heure
Pour notre bonheur
Soigne tes adieux
Tu veux
Il n’y a rien pour une fête ici
Seulement le beau geste
Seulement le mot juste
Soigne tes adieux
Tu veux
Nous attendons cher ami
Seulement le beau geste
Seulement le mot juste
Nous attendons cher ami
Seulement le beau geste
Seulement le mot juste
Si tu crois que là-bas
La pluie ne mouille pas
Les gens comme toi
Va
Si tu crois que là bas
Les chiens n’aboient pas
Sur les gens comme toi
Va
On t’oubliera
Ca, on sait faire ça
Mais pour l’heure
Pour notre…"
La pluie ne mouille pas
Les gens comme toi
Va
Si tu crois que là bas
Les chiens n’aboient pas
Sur les gens comme toi
Va
On t’oubliera
Ca, on sait faire ça
Mais pour l’heure
Pour notre…"
Bertrand Belin
"Mer nourricière Mer fragile"
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