en haut du Stiff
on voit rouge
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envoyé par Vianney:
TAFTA: tout ce dont nous ne
voulons pas!
"Depuis des décennies, les gouvernements
négocient en secret des accords de libre-échange et d’investissement. Ces
accords sapent nos droits, détruisent l’emploi et l’environnement dans le seul
intérêt court-termiste des multinationales. Les négociations transatlantiques
avec les États-Unis (TAFTA) et le Canada (CETA) en sont de parfaits exemples. Mais sur tous les
continents, les mobilisations s’amplifient pour dénoncer ces traités des
multinationales et promouvoir la justice sociale et écologique. Le 18 avril
nous lutterons ensemble : tous et toutes dans la rue, partout en France et
dans le monde, pour la journée mondiale contre les traités des
multinationales !
En quelques mois, la campagne Stop TAFTA a pris de l’ampleur en Europe : 1,5 million de
signatures de l’Initiative citoyenne auto-organisée, création de milliers de
collectifs locaux, multiplication des débats publics et actions, collectivités
« Hors TAFTA », encerclement du Conseil de l’UE... et journée européenne Stop TAFTA
le 11 octobre dernier. Nous avons permis de mettre en lumière ces projets
d’accords et d’ouvrir un débat public sur ce sujet. Puisque les gouvernements
font la sourde oreille, le 18 avril nous ferons encore plus de bruit pour
dire Stop TAFTA et Stop CETA
avec les mouvements de toute l’Europe et d’Amérique du Nord !
Dans le cadre de la journée de mobilisation sur tout le territoire pour mettre en échec les traités des multinationales et promouvoir une économie au service des peuples et de la planète le collectif STOP TAFTA de St Nazaire et sa région* sera présent en bord de mer le samedi 18 avril de 15H à 17H sur le trottoir du Boulevard Albert 1er face à l'avenue Ferdinand Lesseps (quartier Jardin des Plantes) pour informer les promeneurs et promeneuses sur le TAFTA , sur la conférence* donnée par Frédéric Viale (économiste-membre du conseil d'Attac) le 23 avril à l'Immaculée et faire signer la pétition."
*n.d.c. : salle polyvalente de l'Immaculée à 20h30-
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ça me dit -BOUQUINADES -
proposé par Odile:
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"À l’heure où Marine Le Pen s’impose sur
la scène politico-médiatique et engrange des scores électoraux sans
précédent, il est urgent de décrypter la logique de son discours et
d’expliquer son efficacité rhétorique. Que dit-elle qui parle tant à
tant d’électeurs ? Avec quels mots, quels mythes, quelles images
parvient-elle à faire mouche là où la parole politique semble partout
ailleurs discréditée ? Et dit-elle autre chose que son père ?
Pour
la première fois, une analyse littéraire et statistique de près de cinq
cents textes permet de mesurer très précisément l’originalité de cette
nouvelle parole frontiste. Discours, éditoriaux, entretiens radio et
télévisés des deux présidents successifs du Front national sont passés
au crible d’un double traitement informatique et rhétorique afin de
cerner au plus près continuités et différences.
Dans
sa stratégie de « dédiabolisation », Marine Le Pen a entrepris de
réécrire le code frontiste : elle en a modernisé le vocabulaire, les
thèmes et l’image. Mais derrière le changement de style, le sens de
l’offre politique du Front national a-t-il changé ? Il n’est pas certain
qu’il suffise d’adopter les mots de la République pour en porter
véritablement les valeurs.
Professeure de littérature française à Stanford University, Cécile Alduy est l’auteur de Politique des "Amours" (Droz, 2007) sur l’émergence de l’identité nationale à la Renaissance.
Professeur-associé à l’Université Paris-Est-Créteil en communication politique et publique, Stéphane Wahnich a coécrit Le Pen, les mots (La Découverte, 1997)." source
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proposé par Philippe:
Bier
ha Breizh , la Bretagne et la bière.
"C'est une vieille histoire d'amour
désormais en pleine renaissance .
Une histoire qui a commencé il y a
déjà plusieurs siècles avec les moines brasseurs.
La Bretagne a eu ses heures de
gloire avec près d'une centaine de brasseries .
Des petites bières qui ne
voyagaient guère et qui étaient souvent commercialisées dans un rayon
proche.
Elles avaient presque toutes
disparu , ou rachetées par de grands groupes financiers.
L'hexagone était passé de 2500
brasseries en 1880 ( dont 800 dans le Nord et 500 dans le Pas de Calais et
près d'une centaine pour toute la Bretagne) à moins de 300 dans les années 50
dont seulement 3 en Bretagne ( Nantes Rennes Brest).
Les guerres successives et les
regroupements des centres de production en sont en grande partie
responsables.
Le début des années 80 était
catastrophique , il restait moins de 20 brasseries en France.
Et puis des bretons ont sorti la
hache de guerre avec Coreff et Lancelot ; de nombreuses autres ont suivi
. Désormais l'hexagone en compte environ 600 dont 55 en Bretagne.
L'auteur né à Guérande , pur
produit de Loire-Atlantique , grand collectionneur de matériel de brasserie
devant l'éternel a essayé dans cet ouvrage de plus de 300 pages de vous faire
aimer son pays et son précieux breuvage .
Nnul doute qu'il va
réussir."
Yec'hed mat
Philippe / Fulup
Bonnet
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Serge a lu:
illustration source: Toile
L’Islande envisage une révolution monétaire (ICI MÊME que)
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Le grand détournement
L'éditorial
de Michel Guilloux : " Les thuriféraires de l’argent roi au masque de
gouvernants ont ouvert en grand les vannes de la pompe à phynance."
« Et
Ubu règne encore au pays de Phynance », disait à l’Humanité le cinéaste
Gérard Mordillat dans un entretien en alexandrins, tout comme son film
l’était, transposant pour l’écran la pièce éponyme de l’économiste
Frédéric Lordon, le Grand Détournement. Les deux œuvres étaient portées
en douze pieds toujours par un « Humour guerrier raillant les vils rois
de la thune ». Les thuriféraires de l’argent roi au masque de
gouvernants ont ouvert en grand les vannes de la pompe à phynance.
Pourquoi se gêner quant à son usage ? À l’heure où des groupes du CAC 40
empruntent pour augmenter les dividendes versés à leurs actionnaires,
qui croit encore avec sérieux au gouvernement que les privilèges fiscaux
accordés aux entreprises doivent avoir un usage lié à leur objet ?
6 milliards d’euros, soit 4 400 siècles de Smic, du crédit
impôt recherche, ont ainsi été détournés, indiquent des études que
l’Humanité rend publiques. De Sanofi fermant ses labos en France à la
petite pépite tombant sous la coupe d’un fonds d’investissement, la
rapacité règne à tous les étages. Argent public et matière grise sont
pillés allègrement. Chômage pour les uns, fromage pour les autres. Et
ministres qui rivalisent de ramage avec les donneurs d’ordres du Medef
et leurs laquais eurocrates. Tout cela doit servir à redresser la
com-pé-ti-ti-vi-té. Le répéter en boucle ne change rien au formidable
gâchis d’un pacte de « responsabilité » qui promet 40 milliards aux
mêmes, dans les mêmes conditions, c’est-à-dire aucune.
Et il faudrait accepter, en plus, de voir tailler dans les
budgets de la Sécurité sociale et des collectivités locales, en plus de
l’austérité d’État, pour justifier d’une dette à réduire, née de la
gabegie financière des mêmes en 2007-2008 ? Une ambition pour le pays
serait d’assortir toute aide publique d’un discours de fermeté,
d’accorder plus de droit de contrôle des élus locaux et nationaux, comme
ceux des salariés sur leur usage. Agir en ce sens signerait une
ambition pour le pays, de gauche (éclats de rire, de Bercy à Matignon et
l’Élysée)."
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envoyé par Chantal:
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envoyé par Daniel:
Vinci
attaque en diffamation des membres du personnel de l’association Sherpa
!
Le
dépôt de plainte que nous avons déposé contre Vinci Construction a fait beaucoup
de bruit. Malgré les tentatives d’intimidation, nous avons amené la
problématique des violations de droits humains par les entreprises françaises, à
l’étranger, dans le débat public.
Grâce à ce débat, les conditions de vie et de travail de ces ouvriers
migrants de Vinci au Qatar sont connues du plus grand nombre. Nous sommes
reconnaissants vis-à-vis de tous ceux qui ont relayé notre dépôt de plainte, nos
déclarations ainsi que la
pétition que nous avons lancée avec notre partenaire le mouvement Powerfoule.
Comme
nous nous y attendions, Vinci a porté plainte contre Sherpa via son Président W.
Bourdon et lui réclame la somme de 405 000 euros. Mais Vinci ne s’est pas arrêté
là, la multinationale s’attaque aussi à titre individuel à Laetitia Liebert,
Directrice de Sherpa et Marie-laure Guislain en charge du dépôt de plainte, qui
sont citées à comparaitre au Tribunal de Grande Instance de Paris le vendredi 26
juin et devraient payer conjointement 203 000 euros. Les montants réclamés
incluent l’amende prévue par la loi, le montant des dommages et intérêts, et
enfin les obligations de publications de la décision.
Malgré
l’ampleur des sommes demandées, et nos ressources modestes, nous restons
confiants quant à l’issue de la procédure. Nos preuves sont là, et ce ne sont
pas ces tentatives d’intimidation qui vont nous arrêter. En effet, la procédure
engagée par Vinci, que l’on appelle SLAPP, (Strategic Lawsuit Against
Public Participation, ou poursuite bâillon en Français) vise à entraver la
dénonciation de faits par un individu ou un organisme, à travers des menaces de
poursuite ; le succès d'une telle opération ne découle pas tant d'une victoire
devant les tribunaux que du processus lui-même, visant à intimider la partie
défenderesse ou l'épuiser financièrement dans le but de la réduire au silence.
Cependant, dans ce
moment particulièrement crucial de notre activité, votre soutien est essentiel
pour mener à bien nos actions et renforcer notre indépendance financière. C’est
aussi une façon de marquer votre engagement et votre adhésion à notre vision et
à nos actions. Les activités de Sherpa ont pour but de défendre et
protéger les victimes de violations de droits fondamentaux. Et pour cela, nous mettons en place des enquêtes et des procédures
judiciaires qui se déroulent sur plusieurs
années.
Pour
nous soutenir, deux solutions :
·
Soutenez
notre combat et nos actions via un don ponctuel ou
mensualisé :
Toutes
les aides comptent. Même un petit don de 5 euros
mensualisé permet de faire la différence !
Pour
faire un don, cliquez sur le lien suivant : http://www.helloasso.com/associations/sherpa/collectes/faire-un-don· Devenez membre adhérent : marquez votre engagement dans la durée via une cotisation annuelle. vous serez alors informé régulièrement des activités de notre association.
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Solidairement,
humour insulaire
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