A Saint-Naz. comme partout ailleurs,
-d'ici et
d'ailleurs-
la roue tourne.
Dans le sens de l'histoire camarade?
Encore du Mistral sur le port
Ben dame, on ne sait plus à quel vent se vouer
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Rencontré Benoit ce vendredi aprem et avec Rémi z'avons partagé un café "turc"... Le jour de l'anniversaire du génocide arménien... Quel symbole...
peinture: Benoit Sire
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Le silence en héritage ?
"Il y a cent ans, le 24 avril 1915, le ministre de l’intérieur ottoman Talât Pacha ordonnait l’arrestation des intellectuels ou notables arméniens à Constantinople : ecclésiastiques, médecins, éditeurs, journalistes, avocats, enseignants, hommes politiques, ce sont plus de 2000 personnes qui furent alors arrêtées en quelques jours, avant d’être déportées puis massacrées. Ces journées marquent le déclenchement officiel d’un génocide planifié et initié plusieurs semaines plus tôt, qui coûtera la vie à plus d’un million de personnes, soit près des deux tiers de la population arménienne. Pour le centenaire de ce génocide, nous proposons, dans les lignes qui suivent, quelques aperçus sur un important travail de thèse en cours d’achèvement, portant sur la mémoire individuelle et collective des Arméniens aux prises avec le déni étatique turc. Cette recherche se base sur des entretiens menés pendant trois ans (2009, 2010, 2011) en Turquie, dans plusieurs villes d’Anatolie et surtout à Istanbul, auprès de trois générations d’Arméniens. " -Nazli Temir Beyleryan-
la suite de l'article
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" Toute vie mérite qu'on s'y attache"
Eugène Dabit- (Hôtel du nord)
"Il faut que les écrits fait pour les
solitaires parlent la langue des solitaires : pour les instruire, il
faut qu'ils leur plaisent, qu'ils les intéressent il faut qu'ils les
attachent à leur état en le leur rendant agréable. Ils doivent combattre
et détruire les maximes des grandes sociétés, ils doivent les montrer
fausses et méprisables, c'est-à-dire telles qu'elles sont. A tous ces
titres, un roman s'il est bien fait, au moins s'il est utile, doit être
sifflé, haï, décrié par les gens à la mode, comme un livre plat,
extravagant, ridicule et voilà, monsieur, comment la folie du monde est
sagesse."
-Jean-Jacques Rousseau-
Mais que regarde donc le capitaine ainsi posté sur la darse ?
Ah ouais d'accord...
"Les temps varient, et les destinées
humaines ont la même inconstance. La vie, dit la chanson grecque, fuit
comme la roue d'un char."
-Chateaubriand- dit François René
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