EXCLUSIF
ET
Vaguement
OFFICIEL
depuis nos analystes
d'urine
post -électorale:
FINALEMENT
et comme d'habitude
personne nanana perdu
sauf ceux qui sont déjà élus au premier tour
et
qui Likiki! ont donc objectivement gagné.
En prenant le tabouret de la hauteur
et
par rapport à ceux qui ont voté
moins de 50% d'abstention
plus ceux qui pour différentes raison n'ont pas de carte d'électeur,
on peut d'ors et déjà dire et sans vraiment se tromper
que le menu de la cantine fait toujours autant vibrer
les confessionnaux
et que l'on attend donc le deuxième tour avec l'impatiente du mérite
pour avoir Daucy fines analyses
de la situation
que l'on digère bien comme d'habitude
aujourd'hui plus qu'hier
et moins que demain
au regard de nos téléscripteurs
par là cent ans.
"Deux nuances de bleu"
et une touche de jaune
pour obstruer les tuyaux
et tous leurs pronostics.
C'est pas du boulot.
"C’était la bonne idée, et cela fait un beau film : partir des
enfants, de la musique, de la beauté, du bonheur, pour raconter la
gravité de l’époque. Horrifié par le désastre écologique et par les
effets des accidents nucléaires, Jean-Paul Jaud aurait pu réaliser un
film saisissant, mais déprimant. A contrepied, il nous emmène au long
des grèves, suit les cerfs-volants, s’émeut de doigts qui courent sur le
piano, joue sur l’émotion, l’humour, mais sans oublier son propos,
qu’étayent des images rares comme celle des villes abandonnées de la
région de Fukushima.
Il raconte ce qu’au fond, nous ne voulons pas voir : la possibilité du désastre, l’imminence de l’accident. Mais c’est pour nous montrer un avenir désirable, et dire qu’en une époque troublée et pessimiste, nous sommes libres d’inventer un autre monde, dans lequel les enfants d’aujourd’hui seront des hommes et des femmes réconciliés avec l’humanité et avec la nature."
Hervé Kempf - Rédacteur en chef - Reporterre - janvier 2015 (via libres-lefilm)
Il raconte ce qu’au fond, nous ne voulons pas voir : la possibilité du désastre, l’imminence de l’accident. Mais c’est pour nous montrer un avenir désirable, et dire qu’en une époque troublée et pessimiste, nous sommes libres d’inventer un autre monde, dans lequel les enfants d’aujourd’hui seront des hommes et des femmes réconciliés avec l’humanité et avec la nature."
Hervé Kempf - Rédacteur en chef - Reporterre - janvier 2015 (via libres-lefilm)
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