".../...les conversations sur la vie intime ne font pas partie des sujets considérés comme admissibles dans la société des hommes;
Ils parleront de politique, de littérature, de marchés financiers ou de sports, conformément à leur nature; sur leur vie amoureuse ils garderont le silence, et cela jusqu'à leur dernier souffle.
.../..."
-Michel Houellebecq-extrait de "Soumission"
".../...
Ici comme ailleurs, il faut distinguer le monothéisme (ses textes, sa doctrine, ses dogmes, son histoire), et ce que les hommes en font. Le monothéisme dit que la vérité du monde n'est pas dans le monde, mais dans le livre qui dit le monde: dès lors, on ne le regarde plus pour savoir ce qu'il est, mais on lit la Thora, la Bible ou le Coran pour le savoir. Le corps n'est plus debout tendu vers le ciel, la tête dirigée vers le cosmos, mais assis, courbé, penché sur le livre qu'on interroge sans fin pour savoir ce qu'est le réel, chose que l'on saurait immédiatement si on levait les yeux du livre pour regarder autour de soi.
.../...
Il y a bien sur une manière de croire en Dieu qui trouve grâce à mes yeux: celle qui en fait une affaire strictement privée, intime et ne déborde jamais sur la vie d'autrui. Une affaire entre Dieu et soi qui ne prenne pas en otage ce qui n'est pas Dieu et pas soi.
.../..."
-Michel Onfray-extraits d'une interview de Pia Duvigneau pour "L'OBS"-n°2628-
de la pub de bonne volonté
Source CHARLIE-HEBDO
source: Charlie-Hebdo
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"Nous irons un jour
A Valparaiso
Feras-tu la route avec moi ?
La mer est mauvaise
On ne nous attend pas
Il est mort, le caballero
Ils viennent avec leurs bottes
Il ont la loi des fusils
Les chenilles des tanks
Rampent vers Santiago
Ce matin le ciel est beau
Nous irons un jour...
Ils tuent les ouvriers
Ils massacrent les partisans
Ils arrêtent, ils frappent
Des milliers de gens
A midi tout est fini
Nous irons un jour...
Ils ferment les frontières
Ils torturent dans les prisons
Ils pillent, ils saccagent
Les jardins, les maisons
Et ce soir le ciel est noir
Nous irons un jour...
Ils jugent et ils condamnent
Ils mentent au monde entier
Ils brûlent les livres
Ils enterrent les idées
La nuit étouffe les cris
Nous irons un jour...
Ils viennent avec leurs bottes
Ils ont la loi des fusils
Leurs noms sont les mêmes
Dans tous les pays
Fascistes, racistes ou nazis
Nous irons un jour
A Valparaiso
Feras-tu la route avec moi ?
La mer est mauvaise
On ne nous attend pas
Mais que vive la liberté !
Mais que vive la liberté !
Mas que viva la libertad !"
La beauté fascine, celle d'une fleur, d'une lumière, d'un être...
RépondreSupprimerLe Moche, lui, exerce une attraction irrésistible tant nous pouvons être capable du meilleur comme du pire sur autrui.Et quand l'odieux est à la table, malheureusement, Adoph alimentera plus la conversation que Thérésa.
Voilà, qui est bien résumé Sylvie...
SupprimerMerci pour ce commentaire et bon dimanche
:-)
jj