C'est le froid qui engourdit l'esprit, tu crois.
Les pensées qui se givrent à force
de se tenir les côtes.
Tu ne dis rien
encore
Tu cherches les mots
ceux qui passaient par là
à disposition
Pour ne pas trop oublier-
tu les glisses sous ta couche
promesse
de rappels aux souvenirs.
Gelé dedans
je l'ai perdu dehors.
mon rêve flocons
qui montait en neige
tous ses attributs
au regard espiègle d'une idée
sans dommage
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et marche savante.
Le monde m'abuse.
Tu vois d'ici le tableau
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