illustration source:totally cool pix
Ségolène Royal ministre de l'écologie, ainsi soit-elle...
Et si l'écologie terme inventé en 1860 et des poussières par un biologiste allemand était l'affaire de tous plutôt que celle d'un ou d'une spécialiste labellisé: écolo?
D'ailleurs si j'en crois Ernst Haeckel (le cousin germain) , il s'agirait d'étudier les relations entre les êtres vivants et leur environnement, ce qui dépasse grandement semble t-il le champ d'action largement labouré du heu! pré supposé et pourrait d'ailleurs aussi vivement intéresser quelques psys sociologues et tout un chacun des villes , des campagnes ou du haut de la montagne avec ou sans cheval.
Les interactions entre les sociétés humaines et leur environnement sont tellement complexes et essentielles pour notre survie de ptit bipède qui se la pète qu'il me semble que ce n'est pas d'un ministère de l'écologie dont on aurait besoin mais plutôt de l'écologie dans tous les ministères et organisations un peu comme....une évidence qui deviendrait vite un pléonasme..
Vi! je sais, c'est pas gagné.
On pourrait aussi pour s'amuser décliner le raisonnement à l'envie.
Si toute la bouffe était bio le terme n'existerait même plus.
Si on avait plus peur de vivre on aurait plus besoin de dieux.
Si y'avait plus de chefs on s'rait tous chefs
Si y-avait plus d'esclave y-aurait plus de maître et lycée de Versailles.
Si y-avait plus de fric...y-aurait plus de banquiers
Si y-avait plus de travail...y-aurait plus d'exploités
Si y-avait plus de notion d'appartenance, de propriété... y-aurait plus de couples, de jalousie ou de voleurs
Si y-avait plus de salariés (syndiqués?) pour fabriquer des cochonneries genre armes et tuti frottis ça ferait un peu moins de dégâts quand on a envie de se foutre sur la tronche.
Si on faisait de la philo dès la maternelle on aurait fermé l'ENA depuis longtemps et du coup faire de la politique ça amuserait tout le monde comme un loisir au même titre que la danse, le macramé ou la belote de comptoir.
Si presque tous les politiques ne courraient pas après le pouvoir, le fric et/ou les honneurs, el popolo unido, s'intéresserait logiquement aux affaires de sa cité plutôt que de moutonner silencieux mais râleur dans le tous pourris.
D'ailleurs si ce n'était plus un métier avec forte valeur ajoutée, on peut objectivement supposer qu'il y aurait moins de gloutons spécialistes pour rafler toute la mousse au chocolat à la cantine.
Bref pour résumer (ben veau mieux comme ils disent à la fnsea- n.d.c.) ce n'est pas la possession de la carte. qui fait le larron et ce n'est pas non plus celle-ci qui nous fera croire que l'on peut avec fonctionner autrement qu'en glissant des peaux de banane sous les sandales en cuir retourné de son collègue de parti pris et parfois vert d'aigri ou de colère.
L'envie de pouvoir, l'ego musclé, les magouilles pour prendre la place de... etc etc tout cela c'est de "l'ordre" de notre patrimoine génétique ou du sens de l'Histoire ( pour les camarades de service).
J'ai le souvenir de copines féministes dans les années septante qui pensaient qu'un collectif de filles, ne pouvait pas reproduire des fonctionnements qui auraient été... une panacée masculine
Elles en rigolent encore. Non?
Et n'oublions jamais pour les professionnels de la profession (sic)
"L'expérience est une lanterne que l'on porte dans le dos et qui n'éclaire que le chemin parcouru."
Alors mes biens chers frères z'et soeurs en ce jeudi de la Saint Richard et devant tout ce cirque, je n'aurais qu'un mot Vive la merveilleuse société du spectacle et soyons s.v.p. un peu indulgents en évitant à Royal de se faire à priori couper la Ségolaine sur le dos.
D'ailleurs quelques rumeurs de la ZAD me font penser que les opposants à la construction de l'ayraulport ne seraient pas forcément mécontents de la voir débarquer au ministère...
et puis, on a les ptits plaisirs qu'on peut, Jean-Marc s'est pris une trempe et comme il se doit, il pleut sur Nantes
Alors,
Vive la poésie
Vive la France camaraderie
Vive nous et ...
que le cul nous pèle.
Bonjour chez-vous.
"Ça ne prévient pas quand ça arrive
Ça vient de loin
Ça c´est promené de rive en rive
La gueule en coin
Et puis un matin, au réveil
C´est presque rien
Mais c´est là, ça vous ensommeille
Au creux des reins
Le mal de vivre
Le mal de vivre
Qu´il faut bien vivre
Vaille que vivre
On peut le mettre en bandoulière
Ou comme un bijou à la main
Comme une fleur en boutonnière
Ou juste à la pointe du sein
C´est pas forcément la misère
C´est pas Valmy, c´est pas Verdun
Mais c´est des larmes aux paupières
Au jour qui meurt, au jour qui vient
Le mal de vivre
Le mal de vivre
Qu´il faut bien vivre
Vaille que vivre
Qu´on soit de Rome ou d´Amérique
Qu´on soit de Londres ou de Pékin
Qu´on soit d´Egypte ou bien d´Afrique
Ou de la porte Saint-Martin
On fait tous la même prière
On fait tous le même chemin
Qu´il est long lorsqu´il faut le faire
Avec son mal au creux des reins
Ils ont beau vouloir nous comprendre
Ceux qui nous viennent les mains nues
Nous ne voulons plus les entendre
On ne peut pas, on n´en peut plus
Et tous seuls dans le silence
D´une nuit qui n´en finit plus
Voilà que soudain on y pense
A ceux qui n´en sont pas revenus
Du mal de vivre
Leur mal de vivre
Qu´ils devaient vivre
Vaille que vivre
Et sans prévenir, ça arrive
Ça vient de loin
Ça c´est promené de rive en rive
Le rire en coin
Et puis un matin, au réveil
C´est presque rien
Mais c´est là, ça vous émerveille
Au creux des reins
La joie de vivre
La joie de vivre
Oh, viens la vivre
Ta joie de vivre"
-Barbara-
Toujours sublime, Jean-Jacques....
RépondreSupprimerou là... point trop s'en faut sinon gare à mes chevilles
RépondreSupprimer;-)