Mon premier chapeau chinois fut une bernique décrochée avec un couteau de son rocher à marée basse.
Je ne comprenais pas pourquoi on la surnommait ainsi, mais bon...comme certains crabes mous et verts étaient également appelés crabes chinois...
J'en déduisis donc qu'il n'y avait pas que les allemands et les américains à avoir marqués de leur discret passage les rivages de la presqu'ile, l'Asie avait également influencée nos côtes.
Mais après tout quoi de plus normal sur des voies navigables et donc pénétrables.
Maintenant, après avoir découvert par vent de forte influence, depuis quelques années déjà, certains délices de l'Orient, j'ai pu revenir aux fondamentaux et apprécier par exemple toute la subtilité des effluves d'un nuoc-mâm nourri sous la mer et aussi à l'occasion remettre le chapeau chinois sur la tête de celle qui ne ressemblait vraiment en rien à un mollusque.
Ma ton kiki ma tonkinoise
(conique de répétition)
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