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« Monsieur mon Président vous êtes un lâche. » par Serge Grossvak
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Lu sur LA VIDURE:
"Travailler à en mourir"
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"Je suis ma mère qui dit et mon père qui se tait
Je suis ce qui grandit trop vite et puis après
Je suis ce lui d'avant qu'on regrette je ne suis
Déjà plus un enfant un berceau puis un lit
Passer le temps des couches, ces heures que rien n'arrête
Un pouce dans la bouche bientôt une cigarette
Je suis ma soeur qui pleure
Parce qu'à 12 ans je dis que je voudrais qu'elle meurt
Je suis mes saloperies,
Je suis des autoroutes qui sillonnent la France
En octobre et en août, n automne en vacances
Je suis la mer immense , les forces de l'esprit
Je suis des gens qui dansent aux 20 ans d'un ami
Je suis tout ceux que j'aime longtemps et plus du tout
Je suis resté le même pourquoi pas eux du coup
Je suis combien de croix je suis combien de tombes
Avant que je ne ploie, je suis la neige qui tombe
Le bruit de mes chaussures dans le blanc de décembre
Et mes éclaboussures dans le noir de mes chambres
Je suis un corps qui tremble sous tes caresses je suis
Pas grand-chose il me semble que je suis aujourd'hui
Hier et demain je suis la vie qui passe
Déjà je suis en train et des photos de classe
Je suis un dernier souffle, je suis un premier cri
Un vieil homme en pantoufles, un bébé en body
Je suis tout résumé, le meilleur et le pire
Quand tout est consumé, je suis un souvenir
Je suis un dernier souffle, je suis un premier cri
Un vieil homme en pantoufles, un bébé en body
Je suis tout résumé, le meilleur et le pire
Quand tout est consumé, je suis un souvenir
Quand tout est consumé, je suis un souvenir
Quand tout est consumé, je suis un souvenir
Je suis un souvenir
Je suis un souvenir
Je suis un souvenir
Je suis un souvenir"
-Alex Beaupin-
Je suis ce qui grandit trop vite et puis après
Je suis ce lui d'avant qu'on regrette je ne suis
Déjà plus un enfant un berceau puis un lit
Passer le temps des couches, ces heures que rien n'arrête
Un pouce dans la bouche bientôt une cigarette
Je suis ma soeur qui pleure
Parce qu'à 12 ans je dis que je voudrais qu'elle meurt
Je suis mes saloperies,
Je suis des autoroutes qui sillonnent la France
En octobre et en août, n automne en vacances
Je suis la mer immense , les forces de l'esprit
Je suis des gens qui dansent aux 20 ans d'un ami
Je suis tout ceux que j'aime longtemps et plus du tout
Je suis resté le même pourquoi pas eux du coup
Je suis combien de croix je suis combien de tombes
Avant que je ne ploie, je suis la neige qui tombe
Le bruit de mes chaussures dans le blanc de décembre
Et mes éclaboussures dans le noir de mes chambres
Je suis un corps qui tremble sous tes caresses je suis
Pas grand-chose il me semble que je suis aujourd'hui
Hier et demain je suis la vie qui passe
Déjà je suis en train et des photos de classe
Je suis un dernier souffle, je suis un premier cri
Un vieil homme en pantoufles, un bébé en body
Je suis tout résumé, le meilleur et le pire
Quand tout est consumé, je suis un souvenir
Je suis un dernier souffle, je suis un premier cri
Un vieil homme en pantoufles, un bébé en body
Je suis tout résumé, le meilleur et le pire
Quand tout est consumé, je suis un souvenir
Quand tout est consumé, je suis un souvenir
Quand tout est consumé, je suis un souvenir
Je suis un souvenir
Je suis un souvenir
Je suis un souvenir
Je suis un souvenir"
Je suis ma mère qui dit et mon père qui se tait
Je suis ce qui grandit trop vite et puis après
Je suis ce lui d'avant qu'on regrette je ne suis
Déjà plus un enfant un berceau puis un lit
Passer le temps des couches, ces heures que rien n'arrête
Un pouce dans la bouche bientôt une cigarette
Je suis ma soeur qui pleure
Parce qu'à 12 ans je dis que je voudrais qu'elle meurt
Je suis mes saloperies,
Je suis des autoroutes qui sillonnent la France
En octobre et en août, n automne en vacances
Je suis la mer immense, les forces de l'esprit
Je suis des gens qui dansent aux 20 ans d'un ami
Je suis tout ceux que j'aime longtemps et plus du tout
Je suis resté le même pourquoi pas eux du coup
Je suis combien de croix je suis combien de tombes
Avant que je ne ploie, je suis la neige qui tombe
Le bruit de mes chaussures dans le blanc de décembre
Et mes éclaboussures dans le noir de mes chambres
Je suis un corps qui tremble sous tes caresses je suis
Pas grand-chose il me semble que je suis aujourd'hui
Hier et demain je suis la vie qui passe
Déjà je suis en train et des photos de classe
Je suis un dernier souffle, je suis un premier cri
Un vieil homme en pantoufles, un bébé en body
Je suis tout résumé, le meilleur et le pire
Quand tout est consumé, je suis un souvenir
Je suis un dernier souffle, je suis un premier cri
Un vieil homme en pantoufles, un bébé en body
Je suis tout résumé, le meilleur et le pire
Quand tout est consumé, je suis un souvenir
Quand tout est consumé, je suis un souvenir
Quand tout est consumé, je suis un souvenir
Je suis un souvenir
Je suis un souvenir
Je suis un souvenir
Je suis un souvenir
Paroles trouvées ici : http://www.parolesdeclip.fr/je-suis-un-souvenir-alex-beaupain.html
Je suis ce qui grandit trop vite et puis après
Je suis ce lui d'avant qu'on regrette je ne suis
Déjà plus un enfant un berceau puis un lit
Passer le temps des couches, ces heures que rien n'arrête
Un pouce dans la bouche bientôt une cigarette
Je suis ma soeur qui pleure
Parce qu'à 12 ans je dis que je voudrais qu'elle meurt
Je suis mes saloperies,
Je suis des autoroutes qui sillonnent la France
En octobre et en août, n automne en vacances
Je suis la mer immense, les forces de l'esprit
Je suis des gens qui dansent aux 20 ans d'un ami
Je suis tout ceux que j'aime longtemps et plus du tout
Je suis resté le même pourquoi pas eux du coup
Je suis combien de croix je suis combien de tombes
Avant que je ne ploie, je suis la neige qui tombe
Le bruit de mes chaussures dans le blanc de décembre
Et mes éclaboussures dans le noir de mes chambres
Je suis un corps qui tremble sous tes caresses je suis
Pas grand-chose il me semble que je suis aujourd'hui
Hier et demain je suis la vie qui passe
Déjà je suis en train et des photos de classe
Je suis un dernier souffle, je suis un premier cri
Un vieil homme en pantoufles, un bébé en body
Je suis tout résumé, le meilleur et le pire
Quand tout est consumé, je suis un souvenir
Je suis un dernier souffle, je suis un premier cri
Un vieil homme en pantoufles, un bébé en body
Je suis tout résumé, le meilleur et le pire
Quand tout est consumé, je suis un souvenir
Quand tout est consumé, je suis un souvenir
Quand tout est consumé, je suis un souvenir
Je suis un souvenir
Je suis un souvenir
Je suis un souvenir
Je suis un souvenir
Paroles trouvées ici : http://www.parolesdeclip.fr/je-suis-un-souvenir-alex-beaupain.html
Je suis ma mère qui dit et mon père qui se tait
Je suis ce qui grandit trop vite et puis après
Je suis ce lui d'avant qu'on regrette je ne suis
Déjà plus un enfant un berceau puis un lit
Passer le temps des couches, ces heures que rien n'arrête
Un pouce dans la bouche bientôt une cigarette
Je suis ma soeur qui pleure
Parce qu'à 12 ans je dis que je voudrais qu'elle meurt
Je suis mes saloperies,
Je suis des autoroutes qui sillonnent la France
En octobre et en août, n automne en vacances
Je suis la mer immense, les forces de l'esprit
Je suis des gens qui dansent aux 20 ans d'un ami
Je suis tout ceux que j'aime longtemps et plus du tout
Je suis resté le même pourquoi pas eux du coup
Je suis combien de croix je suis combien de tombes
Avant que je ne ploie, je suis la neige qui tombe
Le bruit de mes chaussures dans le blanc de décembre
Et mes éclaboussures dans le noir de mes chambres
Je suis un corps qui tremble sous tes caresses je suis
Pas grand-chose il me semble que je suis aujourd'hui
Hier et demain je suis la vie qui passe
Déjà je suis en train et des photos de classe
Je suis un dernier souffle, je suis un premier cri
Un vieil homme en pantoufles, un bébé en body
Je suis tout résumé, le meilleur et le pire
Quand tout est consumé, je suis un souvenir
Je suis un dernier souffle, je suis un premier cri
Un vieil homme en pantoufles, un bébé en body
Je suis tout résumé, le meilleur et le pire
Quand tout est consumé, je suis un souvenir
Quand tout est consumé, je suis un souvenir
Quand tout est consumé, je suis un souvenir
Je suis un souvenir
Je suis un souvenir
Je suis un souvenir
Je suis un souvenir
Paroles trouvées ici : http://www.parolesdeclip.fr/je-suis-un-souvenir-alex-beaupain.html
Je suis ce qui grandit trop vite et puis après
Je suis ce lui d'avant qu'on regrette je ne suis
Déjà plus un enfant un berceau puis un lit
Passer le temps des couches, ces heures que rien n'arrête
Un pouce dans la bouche bientôt une cigarette
Je suis ma soeur qui pleure
Parce qu'à 12 ans je dis que je voudrais qu'elle meurt
Je suis mes saloperies,
Je suis des autoroutes qui sillonnent la France
En octobre et en août, n automne en vacances
Je suis la mer immense, les forces de l'esprit
Je suis des gens qui dansent aux 20 ans d'un ami
Je suis tout ceux que j'aime longtemps et plus du tout
Je suis resté le même pourquoi pas eux du coup
Je suis combien de croix je suis combien de tombes
Avant que je ne ploie, je suis la neige qui tombe
Le bruit de mes chaussures dans le blanc de décembre
Et mes éclaboussures dans le noir de mes chambres
Je suis un corps qui tremble sous tes caresses je suis
Pas grand-chose il me semble que je suis aujourd'hui
Hier et demain je suis la vie qui passe
Déjà je suis en train et des photos de classe
Je suis un dernier souffle, je suis un premier cri
Un vieil homme en pantoufles, un bébé en body
Je suis tout résumé, le meilleur et le pire
Quand tout est consumé, je suis un souvenir
Je suis un dernier souffle, je suis un premier cri
Un vieil homme en pantoufles, un bébé en body
Je suis tout résumé, le meilleur et le pire
Quand tout est consumé, je suis un souvenir
Quand tout est consumé, je suis un souvenir
Quand tout est consumé, je suis un souvenir
Je suis un souvenir
Je suis un souvenir
Je suis un souvenir
Je suis un souvenir
Paroles trouvées ici : http://www.parolesdeclip.fr/je-suis-un-souvenir-alex-beaupain.html
"Je suis d'un autre pays que le votre, d'un autre quartier, d'une autre solitude.
Je m'invente aujourd'hui des chemins de traverse.
Je ne suis plus de chez vous, j'attends des mutants.
Biologiquement je m'arrange avec l'idée que je me fais de la biologie: je pisse, j'éjacule, je pleure.
Il est de toute première instance que nous façonnions nos idées comme s'il s'agissait d'objets manufacturés.
Je suis prêt à vous procurer les moules.
Mais, la solitude.
Les moules sont d'une texture nouvelle, je vous avertis.
Ils ont été coulés demain matin.
Si vous n'avez pas dès ce jour, le sentiment relatif de votre durée,
il est inutile de regarder devant vous car devant c'est derrière, la nuit c'est le jour.
Et la solitude.
Il est de toute première instance que les laveries automatiques, au coin des rues,
soient aussi imperturbables que les feux d'arrêt ou de voie libre.
Les flics du détersif vous indiqueront la case où il vous sera loisible
de laver ce que vous croyez être votre conscience et qui n'est qu'une
dépendance de l'ordinateur neutrophile qui vous sert de cerveau.
Et pourtant la solitude.
Le désespoir est une forme supérieure de la critique.
Pour le moment, nous l'appellerons "bonheur",
les mots que vous employez n'étant plus "les mots" mais une sorte de
conduit à travers lesquels, les analphabètes se font bonne conscience.
Mais la solitude.
Le Code civil nous en parlerons plus tard.
Pour le moment, je voudrais codifier l'incodifiable.
Je voudrais mesurer vos danaïdes démocraties.
Je voudrais m'insérer dans le vide absolu et devenir le non-dit,
le non-avenu, le non-vierge par manque de lucidité.
La lucidité se tient dans mon froc..."
-Léo Ferré-
-3 Belin au goûter-
Je m'invente aujourd'hui des chemins de traverse.
Je ne suis plus de chez vous, j'attends des mutants.
Biologiquement je m'arrange avec l'idée que je me fais de la biologie: je pisse, j'éjacule, je pleure.
Il est de toute première instance que nous façonnions nos idées comme s'il s'agissait d'objets manufacturés.
Je suis prêt à vous procurer les moules.
Mais, la solitude.
Les moules sont d'une texture nouvelle, je vous avertis.
Ils ont été coulés demain matin.
Si vous n'avez pas dès ce jour, le sentiment relatif de votre durée,
il est inutile de regarder devant vous car devant c'est derrière, la nuit c'est le jour.
Et la solitude.
Il est de toute première instance que les laveries automatiques, au coin des rues,
soient aussi imperturbables que les feux d'arrêt ou de voie libre.
Les flics du détersif vous indiqueront la case où il vous sera loisible de laver ce que vous croyez être votre conscience et qui n'est qu'une dépendance de l'ordinateur neutrophile qui vous sert de cerveau.
Et pourtant la solitude.
Le désespoir est une forme supérieure de la critique.
Pour le moment, nous l'appellerons "bonheur",
les mots que vous employez n'étant plus "les mots" mais une sorte de conduit à travers lesquels, les analphabètes se font bonne conscience.
Mais la solitude.
Le Code civil nous en parlerons plus tard.
Pour le moment, je voudrais codifier l'incodifiable.
Je voudrais mesurer vos danaïdes démocraties.
Je voudrais m'insérer dans le vide absolu et devenir le non-dit,
le non-avenu, le non-vierge par manque de lucidité.
La lucidité se tient dans mon froc..."
Bonsoir Jean-Jacques,
RépondreSupprimerJe suis en train d'écouter Bertrand Belin (sur Youtube car impossible de le visionner sur ton blog), je découvre, et j'aime ! Merci pour la découverte. Et ces photos de fleurs... j'adore ! :-)
Belle soirée à toi.
ah petit problème technique alors...chez moi ça passe mais bon l'informatique internet et tout ça côa c'est nébul -oeux à la douzaine
Supprimer;-)
tant de choses sur tes posts ! j'aime Belin aussi et sa voix chaude !
RépondreSupprimerje me ferais bien un petit bouquet de fleurs pour mettre un peu plus
de soleil et de bleu dans les yeux !
une belle semaine je te souhaite !
Merci Marty
Supprimeret puisqu'on en est aux fleurs
j'aime beaucoup venir dans ton blog univers
qui m'impressionne et me scotche à la fois
belle semaine également