samedi 29 septembre 2012
et l'on a vue la mer, comme toujours
"Ne serait-ce qu'une fois, si tu parlas de liberté.
Tes lèvres, pour l'avoir connue, en ont gardé le goût du sel.
Je t'en prie,
par tous les mots qui ont approché l'espoir et qui tressaillent,
sois celui qui marche sur la mer.
Donne-nous l'orage de demain.
Les hommes meurent sans connaître la joie.
Les pierres au gré des routes attendent la lévitation.
Si le bonheur n'est pas au monde nous partirons à sa rencontre.
Nous avons pour l'apprivoiser les merveilleux manteaux de l'incendie.
Si la vie s'endort
Risque-là."
-Jean Malrieu-"Préface à l'amour" Editions P.J. Oswald-
...Et l'on a vu la mer comme toujours.
A moins que.
Qui sait?
Ce ne soit-elle qui nous dénicha
le programme de la soirée.
A quelques embrasses du Croisic,
en coucher de rideaux.
Pour le sauvage de la côte.
Pour ses humeurs océanes.
Pour la chance de sembler connaître et de ne rien savoir.
Pour les mots toujours rabâchés
aussi inutiles qu'inévitables.
Pour l'extrême onction du sel sur la peau.
Pour l'instant envolé
avec la grâce de boucaniers de l'Atlantique
tirant des bords d'ailes,
un droit d'affranchi
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La musique qui marche au pas....
pas forcément ma tasse de thé.
Sauf que parfois, plus rigolo qu'un a priori dont il faut toujours se méfier- bien entendu-.
Serge nous propose en ce samedi de la Saint Michel (Chef-Chef?) une synchronisation de 32 métronomes.
A vos marques.
Prêt.
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Profound words so beautiful :)
RépondreSupprimerRafraîchissant, ce joli billet du jour....:)
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RépondreSupprimerLea thank you and good weekend to you
Merci Anne; un sujet (forcément) légèrement bateau...
belle journée à toi
;-)