samedi 1 septembre 2012

d'où vient le vent?



Dans mes contreforts intérieurs, c'est comme cela que ça fonctionne.
Dès que la fin du mois est out -vous pouvez remettre dans l'ordre si vous voulez-
il se passe comme un truc indéfinissable dans l'air du temps qui fait que je me retrouve en culotte courte quelques années en arrière (au moins ça...) pas très loin de la marée d'équinoxe, à compter les jours qui me rapprochent inexorablement du couperet de la rentrée des classes. 

Alors bien zur aujourd'hui, j'ai quitté l'école (et pas encore embrayé sur l'université du troisième âge) mais toujours en cette saison, je me ramasse plein les naseaux d'un parfum de saison qui l'espace d'un instant (après je me fous des claques pour me réveiller du cauchemar) me terrorise tout comme à l'époque de l'enfance et des retrouvailles prochaines  avec les frères de Ploërmel d'une institution locale, mélange subtil de sadiques, fachos et pour certains tripoteurs de ptits  garçons...Les seuls sympas ayant défroqué...

Cool Robert. Réveille-toi. C'est bien fini tout ça, me disais-je dans mon roquefort intérieur et puis aujourd'hui y-a plus que des civils dans les écoles religieuses (de chez nous), et de toute façon les méchants dont tu causes z'ont dû depuis le temps sucrer les fraises   le lisier... Alors, faudrait ptêt voir à relativiser et envoyer tes angoisses à la déchetterie la plus proche pour recyclage immédiat.

Ben oui, t'as raison mais tu sens pas quand même... cette drôle d'odeur.?
Pfffff!! moi tout ce que je hume dans le bourg , c'est la pissaladière à Lulu en train de gonfler gentiment dans le four et j'aime autant te dire que ça n'a rien à voir avec l'eau bénite ouioui...












illustrations avec l'aimable (et involontaire) complicité de Serge




3 commentaires:

  1. Bin moi, tous les ans à l'approche de la rentrée, quand je me dis que ça va faire UNE ANNEE DE PLUS où je n'y serais PAS, t'as pas idée comme je me réjouis et comme je me sens bien ! je vais plus à l'école-heu, nanana na naire-heu...:)))))

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  2. La brise de nos souvenirs nous murmure des tempêtes sous nos crânes... Il faut laisser filer, mais le peut-on vraiment ?

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  3. Bravo Anne, tu as bien raison de positiver...
    ;-)

    jolie formule Tsuki...
    ;-)

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