Déporté par la foule,
refoulé par la vague.
ambiance:
bruit et rage d'exister
que je partage souvent dans mes errances,
mes demandes.
Sauf
qu'aujourd'hui, dans l'instant qui me représente,
j'ai d'la fantaisie
de mers calmes,
léger clapot échoué sur le sable,
et le vent qui cajole les poils
sous le bras.
(un peu trop personnel non?)
La veille de mettre ce journal improbable
sur l'espagnolette,
de laisser refroidir
mes transistors et de filer
à la bretonne,
je lâcherais, pour une fois,
la cérémonie
et de ses grands yeux noirs.
Quand je n'en suis pas, la foule me fait peur
et quand j'en suis, j'oublie ou j'apprécie.
On emporte avec soi ce qu'on peut supporter
et au croisement des autres:
Quelques politesses de priorité.
Ce serait la moindre des choses...
Merci de re/venir.
A bientôt
si le temps nous en dit.
Très très beau texte!!!
RépondreSupprimerBonne pause J.J. ! on sera là, t'inquiètes....:)
RépondreSupprimerPartager sur le net, c'est à la fois frustrant et gratifiant, c'est compliqué à gérer, et le mieux, quand la nausée survient, c'est les vacances... Bonne pause, et reviens nous en pleine forme, avec ces billets merveilleux dont tu sais si bien nous régaler.
RépondreSupprimerBien sûr qu'on sera là, ami !
RépondreSupprimerBelles vacances, belles "poses" (!)