Le marteau piqueur.
Un bras nu piqué.
La boulangerie fermée pour un mois
et moi, et moi émoi.
Comme pour faire rigoler la galerie, le quartier en transhumance.
Une carte postale de Palavas où l'on grésille, où l'on s'entasse
Des volets à bride rabattue
Les poils qui frisent dans la chemisette largement toute verte.
On s'en paie une tranche
de melon délavé
d'abri côtier,
Un triangle de bermude cent pour cent coton chiné.
et une fois que l'heure de la débauche a sonné
le calme monastique des pieds nus sur terre version modèle réduit à jardiner.
Demain peut-être
Quelques photos à recycler...
Fume, c'est du bateau
Les estivants chaque année passent le bac à sable, histoire de construire un château. Mais pas en Espagne, cette année, ça craint trop!!
RépondreSupprimerAbsolument Sylvie car cette année le bac à sable espagnol fait grève...
RépondreSupprimer;-)
le rocher du lion, vu à travers des tiges de bambou, c'est de l'exotique local ! tu as prislaphoto à plat ventre ? :-)
RépondreSupprimerT'as vu Rotko, la maison ne recule devant aucun sacrifice...c'est ce qu'on appelle bouffer du lion...
RépondreSupprimer:-)