"C'est par l'habileté que vaut le bûcheron, plus que par la rigueur."
-Homère-
RIGUEUR: Ô mot imprononçable suspend ton vol
Tabou en quelque sorte... D'ailleurs si l'on se fie à sa cohorte de synonymes, on comprend aisément pourquoi.
intransigeance, intolérance, fermeté, raideur rigorisme....
Réduire le déficit, mais qui pourrait être contre? Sans doute pas le (pas encore) Pékin moyen à qui l'on a toujours demandé et la nébuleuse bancaire en tête.. de gérer ses finances au mieux.
Le fameux: En bon père de famille comme l'entend cette notion juridique de droit civil (et particulièrement sexiste) toujours en vigueur dans les milieux concernés.
C'est bien connu les femmes sont beaucoup plus dépensières que leurs mâles en patience D'ailleurs y'a qu'à regarder les soldes pour s'en rendre compte et la récurrente image de l'ouverture du marché le premier jour de la moutonnerie organisée ne peut que nous conforter dans cette idée
ça fait envie, non?
Sauf que, si à la place du magasin de fringues pour dames, on nous proposait une échoppe plus heu masculine dirons-nous, (dans le critères récurrents) nous assisterions sans nul doute au déballage de la même misère...(intellectuelle?)
Mais,
Ai-je donc l'air (comme d'hab.) de me disperser?
Et bien, cher auditeur, lecteur et consoeur: Pas si sur.
Idéologiquement, la culture du pognon encore et toujours pluche, touche tous les strates de la société. la lutte de classe ne jouant que pour la distinction des marques de crémeries ambiantes(et encore).
Le thème même du pouvoir d'achat que nos camarades syndiqués entonnement à longueur de métinge, vous m'excuserez mais...Plus capitaliste que ça tu meurs, mon cher Karl.
( méfions-nous des contrefaçons)
Forcément chacun veut sa part du gâteau, dans un système qui tiendra- bon gré mal gré -tant que ses acteurs continueront -bon gré mal gré- à jouer le jeu.
Drôle de jeu en vérité...
Quelque-uns surfent sur la misère et font fabriquer par leurs esclaves conventionnés, des "biens" de consommation avec une date de péremption dans leurs gênes, pour que les autres, presque esclaves mais pas trop sinon comment ils vont faire pour consommer hein(g)? puissent en acheter (de préférence à crédit ) afin de les jeter rapidement ensuite et etc etc etc..
On pourrait bien entendu créer du matériel durable mais...dans le système qui va si bien à certains, ce ne serait pas rentable.
Sauf pour la santé de la planète
et celle de la majorité de ses citoyens.
Mais au regard de la corbeille où vomissent en coeur les traders sans frontières, cela n'a que peu de considération.
La Bourse pour les uns et la Survie pour les autres
Quelques-un(e)s aussi engrangent avec délectation et fric à la clé la colère légitime des pigeons de service pour leur insuffler dans les naseaux ou autre porte d'entrée...un discours particulièrement pourri mais toujours et historiquement porteur... consistant à se bouffer entre-soi du moment que les bunkers à fantasmes restent bien gardés...
Alors, ami(e)s profs socialistes et majoritaires dans l'hémicycle puisqu'ayant pris la place des avocats et professions libérales de droate...
si je peux me permettre quelques idées de rigueur d'économie:
par exemple:
N'en déplaise à quelques "Le Quesnoy" versaillais
Pourquoi ne pas distribuer les allocations familiales en fonction des revenus
Pourquoi ne pas distribuer les allocations familiales en fonction des revenus
et pendant qu'on y est arrêtons de financer les écoles privées (d'indépendance d'esprit).Mince,vos gosses y vont! Ah c'est ballot...
Autre chose:
Les labos pharmaceutiques comme chacun sait ne travaillant pas pour la santé publique mais pour leurs actionnaires, nationalisons le secteur , la itout pour les cliniques privées (mais pas de dessert) et puis si j'osais le corps (défendant) médical même combat
sur qu'avec ces quelques mesures de salut public le trou de la sécu serait rapidement comblé;
Et ne nous arrêtons-pas en si bon chemin, tout ce qui touche aux autres besoins essentiels comme la distribution de l'eau, du gaz, de l'électricité doit être enlevé des sales pattes malpropres de quelques requins sans vergogne et actionnaires retords associés pour redevenir ce qu'il n'auraient jamais du cesser d'être à savoir un véritable service public
Attention ce n'est pas pour autant et bien au contraire qu'il ne faudra pas contrôler -et rigoureusement- la chose. On connait -hélas- la vénalité du genre humain
(j'en ai encore plein d'autres en réserve dans mon cabas)
Ah bon j'ai dit des gros mots
et mince alors j'ai confondu socialisme avec parti socialiste?
Veuillez-donc m'excuser et enlever tout ce que j'ai dit.
Les vieilles recettes faisant toujours le même délicieux brouet, retrouvons-nous donc à plus pour se foutre sur la gueule (enfin pas tout le monde, faut pas exagérer) ,...Rien de tel qu'une bonne guerre pour resserrer les boulons, huiler la machine et régler le problème de l'opposition et du chômage..
N'est-il (elle) pas?"La douceur vaut mieux que la rigueur"
-proverbe québecois-
Si les pauvres savaient
"Les pauvres se font du souci pour leur pays et les riches se font du souci pour leur portefeuille ! Et plus les riches font grossir leur portefeuille, plus ils appauvrissent le pays. Les riches créent ainsi un sentiment de frustration et d’insécurité chez les pauvres. Pour les abuser, ils leur parlent de la grandeur de la France éternelle et des valeurs du travail et de la famille , alors que dans la réalité, fervents défenseurs du système capitaliste ils ne se servent de ces valeurs que pour mieux les tromper.
Les pauvres sont prêts
à faire des sacrifices pour leur pays, alors que les riches demandent
sans cesse des subventions et des avantages fiscaux pour diminuer les
aides aux plus pauvres et accroitre leur compte en banque dans les
paradis fiscaux. Pour augmenter encore leurs bénéfices, les plus riches
délocalisent leurs usines dans les pays pauvres pour exploiter
la population et piller leurs richesses avec la complicité des
dirigeants de ces pays, qui eux s’enrichissent : la solidarité
inter-riches fonctionne en général toujours très bien. Pendant ce temps,
en France, les plus pauvres voient d’un mauvais œil l’arrivée
d’immigrés …
Si les pauvres savaient,
nationaux et immigrés confondus, ils se serreraient les coudes. Mais
les élites savent que c’est en plongeant les masses dans la précarité et
la pauvreté qu’ils peuvent profiter de leur position et de leurs
privilèges. Plus une population est pauvre, financièrement et
éducativement, plus il est facile de la manipuler et lui montrer des
boucs émissaires : rmistes, chômeurs, immigrés, fonctionnaires… ; c’est
la bêtise qui crée le terreau où prennent naissance toutes les peurs.
La démocratie telle quelle est
conçue est directement issue de la bourgeoisie, et tous les rouages de
l’appareil d’état et de l’appareil économique et financier sont entre
ses mains. Les élections ne sont qu’une illusion qui reflète la main
mise de ce pouvoir sur la politique du pays. Seuls les partis défendant
les intérêts du capital et ne remettant pas en cause ce système arrivent
en tête des élections présidentielles, législatives ou régionales. Les
intérêts de classes sont ainsi préservés !
Evidement lorsque l’on parle des riches, on parle des « vrais » riches ,
pas de ceux qui gagnent 4 ou 5000 euros par mois et qui pensent jouer
dans « la cour des grands ». C’est-à-dire ceux qui possèdent des maisons
à plusieurs millions d’euros, qui achètent à leurs petites amies des
cabriolets à 300 000 euros, qui possèdent leur yacht et avion privé et
qui le soir en quelques minutes perdent un demi-million d’euros au
casino sans sourciller ! Il est vrai qu’en France 20% de la population
pense faire partie des 1% les plus riches ! Quels blaireaux ! Ils n’ont
aucune notion de ce qu’est la richesse !
En fait la réalité, c’est que la France n’a jamais été aussi riche, elle figure même au 3e
rang mondial des millionnaires. La richesse en France a explosé, les
patrons du CAC 40 ont gagné en moyenne 200 fois le Smic, 5 % de la
population possèdent plus de 50 % du patrimoine, et les 10 plus grosses
fortunes possèdent à elles seules 15 millions d’années de Smic.
Mais la réalité,
c’est aussi qu’il y a huit millions de pauvres, trois millions de
précaires, trois millions de temps partiels, cinq millions de chômeurs,
et des salaires de misère pour la majorité des salariés.
L’habileté des dirigeants
consiste à persuader les peuples qu’il n’y a rien à faire, il faut les
convaincre que cela pourrait être pire et qu’ils sont aussi heureux
qu’il leur est permis de l’être. C’est en enlevant toute espérance et en
plongeant les masses dans la pauvreté que les élites peuvent aspirer à
profiter le plus longtemps et le plus indécemment possible de leurs
privilèges !"
« Ce qui coute cher ce n’est pas le travail, mais ce que le capital prend au travail »…Gérard FILOCHE
source: Conscience Citoyenne Responsable
vas y mon jean jaques, continu comme çà, tu me plais...
RépondreSupprimermais t'es pas gentil avec les riches...
oserai je dire: "les pauvres, ils en prennent plein la gueule"...HiHiHi...
...
mais les pauvres, c'est les riches ou les vrais pauvres qui en prennent plein la gueule...?
la richesse est ailleurs
RépondreSupprimerd'ailleurs.
Sans doute, on s'enrichit comme on peut
avec les moyens de sa richesse d'esprit
qui s'en va trébuchante
comme il se doit.
;-)