Toujours une affaire d'impression
notée au passage
où l'imagination exigeant comme il se doit
la plus grosse part du boulot,
laissait filer entre ses mailles,
des sentiments maritimes.
Encore une fois tomber dans le panneau;
se laisser séduire par la promesse des mots
et
croire à l'aventure
d'une marée d'à peu près . La chapelle, puisqu'il existe toujours une chapelle
proche
dans les histoires de part ici.
Chapelle donc, ouvrait sa porte avec tempérance
aux arômes de basse mer
qui se mélangeaient avec claivoyance à ceux de dizaines de lucioles
en cire
réparties de chaque côté d'un hôtel de bois blanc.
Dehors, sur le parvis,
emprisonnée aux regards de tous
-pour avoir trop ri avec la mort sans doute-
une cloche ruminait
sous sa toile,
de funèbres intentions,
profond tocsin
ou glas sinistre.
Le passage du port
reliait ainsi les mondes
du presque vivant au jamais vraiment disparu.
Bon dimanche J.J., j'aime bien ce billet.
RépondreSupprimermerci Anne et comme j'arrive légèrement en retard...je te souhaite une bonne semaine
RépondreSupprimer;-)