samedi 8 octobre 2011

affaires maritimes

 Sur un  banc qui décoiffe, solidement arrimé à la falaise, on pouvait se purifier les sentiments à grandes "embrunées".  
Et pas la peine de chercher l'expression dans le dictionnaire aux solides, ici tout est liquide , même la maison en pierre coule ses jours tranquilles au milieu du sauvage..../...








.../...On avait beau tourner la carte postale dans tous les sens à chercher d'improbables perspectives, tout restait pourtant  à l'identique , chacun à sa place  comme accessoire immuable dans un décor qui  lui 
-paradoxe?
ne tenait pas en place,
jouant à l'instant  même avec la lumière, et la palette infinie des couleurs entre  ciel et eau, vents et marées.
Image récurrente  sans doute, d'un Pays aux racines profondément  indomptées


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