-Tu trouves pas que ça fait un peu trop carte-postale" lui demanda t-elle en le voyant prendre en photo les chaumières "so typical" du village briéron .
Si, certainement, mais j'aime bien le côté parc Astérix... répondit-il en lui faisant un clin d'oeil, alors qu'ils croisaient une cohorte en rang serré de mamies aussi jacassantes que permanentées.
. Tu te rends compte, qu'en ce moment à Louxor, y-a pas un chat (égyptien bien entendu) dans les rues, alors qu'ici c'est la ruée. Imagine un peu, que les briérons aient fait la révolution , on serait également aujourd'hui dans le désert "authentique"
-Pour la révolution en Brière, je pense qu'ici...
les risques sont quasi nuls . Tiens, paye-nous plutôt un coup de muscadet à la buvette d'à côté au lieu de raconter des conneries.
les risques sont quasi nuls . Tiens, paye-nous plutôt un coup de muscadet à la buvette d'à côté au lieu de raconter des conneries.
Dans un champ proche des maisons traditionnelles se tenait une fois par semaine pendant la saison estivale un marché de producteurs locaux , ce qui expliquait en autre un soudain engouement culturel des estivants de passage pour les vieilles pierres reconstituées.
Dans une joyeuse, parfumée et très bien organisée débandade, les huitres du golfe côtoyaient aimablement le pâté fermier cuit au four, le miel du marais, les travers de porc grillés au feu de bois, le fromage de brebis coulant à souhait , le pain au levain et la bonne bouteille pour trinquer aux vacances.
On arrivait à la fin du mois, il était plus que temps de ramener un ptit quelque chose du genre local et la bouffe était une valeur toujours sure dans le panier garni des souvenirs.
Demain, les experts en bitume nous prévoyaient une journée classée orange puis noire par la suite; c'était le fameux chassé-croisé des juilletistes et aoûtiens qui se lorgneraient d'un coin de pare-brise sans jamais se rencontrer, ou alors, sans vraiment le vouloir...
Le Sèvre et Maine sur lie se laissait apprivoiser sans problème. Ils se sentaient presque prêts à tenir un siège. La vie était somme toute une denrée certes périssable mais particulièrement goûteuse.
les joliiies méééésons ! habitées, ou juste "touristables" ?
RépondreSupprimerJ'aime bien l'humour de ce billet.
merci jean jean jacques de ton billet sur le transfert de ceux de jullet et d'aoutt
RépondreSupprimerj'apprécie la vue du marché
où es prix sont très en hausse
mais je pense avec NOSTALGIE 0 MON MARCH2 TRéS CHER DE VANNES et mes promenades à ma presqu'ile de CONLEAU
JE TE FAIS DE TENDRES BISOUS
MERCI DE TA FIDéLITé à TON BLOG
J'AIME VOIR TES éDITIONS
Bien vu Anne.
RépondreSupprimerElles sont sans doutes un peu trop "clean" pour être vraies, ce sont des maisons on va dire: "témoins" du parc de la Brière et touristables à (vos)souhaits.
;-)
J'aime bcp Conleau Frankie, d'abord parc e que cela signifie escapade sur l'isle d'Arz et moi qui ai une partie de ma famille originaire de l'isle aux Moines voisine, je le dis sans honte l'ile d'arz est restée beaucoup plus simple et naturelle que "la perle du golfe" nouveau catalogue pour branchés friqués parisiens...