samedi 26 mars 2011

l'heure d'été



j'été,
je suis je serais...

A l'heure d'une  révolution
qui n'attend pas, qui n'attend plus.

Le monde bouge et ce n'est pas qu'une affaire de tectonique des plaques.

Le son,  l'image et la colère,
-trois dimensions-
 d'une  jeunesse dans les chants et la rue.

L' arme  électronique de la dernière génération  collée à l'oreille elle  filme et enregistre les battements d'un coeur qui cogne  plus fort encore que  toutes  leurs matraques qui voudraient empêcher de Dire, d'Etre., de Faire

Parfois ,une lame sauvage  fauche les bourgeons d'une jeune plante fragile  s'élevant  vers le ciel ,  impossible  cependant de  désherber tout  ce qui pousse avec les larmes , la sueur, le sel de la vie.

La leçon des images bousculant l'ordre des choses s'appelle éternité, immortalité, espérance...

A l'Ecole du savoir vivre, les  profs ont quinze, vingt ans et ils nous apprennent à nous regarder dans la glace et à ne plus avoir peur.



envoyé par Verbena29


"C'est l'espérance folle
Qui nous console
De tomber du nid
Et qui demain prépare
Pour nos guitares
D'autres harmonies

S'élève l'espérance
Dans le silence
Soudain de la nuit
Et les matins qui chantent
Déjà enchantent
Nos soirs d'aujourd'hui

Viens
C'est la fête en semaine viens
Je t'attends,tu ne sais plus rien
Plus rien ne nous sépare viens
Viens
Si les larmes t'ont fait du bien
Ce sourire est déjà le lien
Avec les beaux jours qui viennent
Reviennent

C'est l'espérance folle
Qui carambole
les tombes du temps
Je vois dans chaque pierre
Cette lumière
De nos cœurs battants

La mort c'est une blague
La même vague
Nous baigne toujours
Et cet oiseau qui passe
Porte
la trace
D'étranges amours

Viens
C'est la fête en semaine viens
Je t'attends tu le sais plus rien
Plus rien ne nous sépare viens
Viens
Si les larmes t'ont fait du bien
Ce sourire est déjà le lien
Avec les beaux jours qui viennent
Reviennent

C'est l'espérance folle
Qui danse et vole
Au dessus des toits
Des maisons et des places
La terre est basse
Je vole avec toi

Tout est gagné d'avance
Je recommence
Je grimpe pieds nus
Au sommet des montagnes
Mâts de cocagne
Des cieux inconnus"
-Guy Béart-

1 commentaire:

  1. Ah, faut être plus fort que je ne le suis pour garder ça, l'espérance...jolie chanson de "quand j'étais petite" - et joli texte qui relance l'énergie.

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