Il est cinq heures et des brouettes
de celles que l'on pousse avec lenteur au matin blême
quand la fatigue aidant on lève les bras au ciel
comme pour se rendre
à l'évidence.
A moins que ce ne soit pour saluer le come back
de l'artiste au naturel.
Et pour la peine
j'ai emprunté à lulu les uns et les autresquelques notes fragiles du piano tranquille
d'un Chopin en version - Nocturne-tout à fait de mise
en ce qui me concerne
ce vendredi à cinq heures et des brouettes...
c'est fatigant, le sommeil des autres. Comme si leurs rêves imprégnaient l'épaisseur de la nuit....Bon repos ! bon choix, Chopin.
RépondreSupprimerAh bon tu trouves?
RépondreSupprimeralors il me faudrait peut-être avoir des visions nocturnes heu comment dire... plus discrètes
;-)