Oyez! Oh yeah!
N'est-ce point donc formidable car à c't'heure nous en sommes déjà à l'écriture d'un jeudi. Ainsi, selon le sens commun et partagé semble t-il par nos frères et soeurs de labeur de l'occident machin truc muche on se rapproche à grands pas de la délivrance, comme le dit si bien ma gynécologue . D'ailleurs, pas plus tard qu'hier dans la matinale de canal pluche, une des chroniqueuses faisait remarquer qu'en étant mercredi , "on" avait fait déjà la moitié du trajet vers le week-end fantasmé et tellement addictif qui est rappelons-le tout le contraire de l'idée vite brossée de se faire des cheveux mais plutôt l'instant béni, légal , service compris et chronométré du libre choix en fonction de ses accointances culturelles et géografric and co.
Seulement, là où le bât blesse (t'as qu'à porter des Dim-n.d.c.) même si pour une fois nous sortons des clivages idéologiques ,on semblerait ainsi (soit-il) d'un trait de béatitude, gommer de l'Histoire toutes celles et ceusses qui justement bossent le vic-end. ou qui pour des raisons personnelles... ne font aucune différence entre ce jour là et les précédents.
Ben oui, j'imagine bien... chacun sa tronche et la messe pour tous mais quand même.
Camarades râleurs pas tentés et travailleurs de toute la semaine jours fériés (et nuits) compris unissons-nous et boutons le lieu commun (qui est d'ailleurs devenu hors de prix) de la pensée magique pour lui préférer un oui mais beaucoup plus raisonnable et porteur de considération et d'espérance pour le Madame et Monsieur tout le monde dont on ne fait pas forcément toujours partie.
Alors naturellement, quelques esprits vifs et éclairés me rétorqueront qu'il existe des affaires bien plus importantes que celle-ci dans la grande et inéluctable marche de l'Humanité turgescente (et même pour ceux qui font bande à part) vers la sortie des artistes.
Je répondrais tout à fait et certainement; d'ailleurs, Serge, dans son billet précédent l'illustre parfaitement (et les lustres aussi), (tu sais qu't'es beau toi quand tu te mets en colère?) mais pour autant permettez-moi d'ajouter en conclusion de cette bafouille à la bonne franquette et bretonne également que la prochaine fois que quelqu'un me demandera Tu fais quoi ce week-end?, qu'il ne soit point étonné et sans vouloir jouer les troubles fêtes que je lui réponde: ben je bosse, pourquoi?
Petite précision, à toutes fins utiles: Dans les grandes largeurs j'aime plutôt bien mon taf et cela ne me gène nullement d'y être quand la plupart d'entre-vous s'adonne à des plaisirs oh combien personnel ou... heu!...pionce.
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