II n'y a pas de raison que..
alors,
rien que de la déraison de...
Des visites en promenade dans les allées géométriques,
du camping de la dernière chance où l'on s'allonge les pieds devant.
Abondamment fleuri en novembre, il reste un onzième damné pour voir flétrir les ex-potos,
qui attendront les visites au début et puis, à force, n'attendront plus.
Parfois un chien en vadrouille arrosera délicatement la bruyère desséchée.
Mais qui va regarder, qui va comprendre le lancinant leitmotiv des feuilletons reconduits à la frontière?
Le jardin du souvenir s'est fait plaquer mais reste de marbre.
Seulement,
méfiez vous des imitations.
II n'y a pas de raison que cela cesse, le commerce est fleurissant.
un peu désolant peu-être sous le soleil, plus habitué à des impressions humides qui confortent le décors à l'ambiance;
Je suis un homme de terrain confiait à demi-mot le fossoyeur à sa peine ,
elle qui subterfuge la mise en scène , la mise en relation entre bière et paix.
Il n'y a pas de raison de jouer aux osselets pendant les cours de secourisme.
On est trop las pour durer, on est prêt à labourer...
En stage de spectacle permanent, j'aimerais bien trouver les mots gravés sur la pierre.
Histoire de se faire remarquer encore.
Tu croa?
si, une seule,
RépondreSupprimerTOI...
Soi dit en passant,
chut....,
et moi,
émoi,
et nous...
OUi, on est bien fatigué. A force, on n'a plus de forces.
RépondreSupprimerc'est très gentil et cela me touche "images de Gironde" tout autant que tes magnifiques photos
RépondreSupprimerbonne nuit
:-)
Des fois Anne, c'est vrai il y a comme du découragement dans l'air et puis ...il le faut bien allez zou pirouette cacahouette...
;-)