Ah ben dame. Excusez du peu mais franchement...
Les esgourdes encore toutes frémissantes des bruissements du nombril tricolore, notre service politique ouvert à tous les fumets de campagne, a fini par conclure, avant de passer aux choses sérieuses- une potée au chou et son bouillon miséricordieux- que le seul candidat justifié et grand rassembleur de l'unité de la gauche enfin retrouvée était Jean-Jaurès l'Himself (défense ou service c'est selon).
En effet, et là-forcément- j'agite un peu les manches au dessus de la tribune pour enlever les miettes de ma car-bure d'avocat- 12,5- au compteur:
A l'heure où un ceusse qui se tait et survole d'un léger et très chic grésillement du trolley les aspérités du monde pour lui faire pleinement profiter de sa bienveillante pondération-sel et poivre compris- ou encore celuisse qui ayant eu les vents sous la poupe à force de parler à l'oreille des ruminants, sont, si j'en crois les échos de la presqu'île et plus encore, les préférés de nos ami(e)s électeurs et tristes; quoi de plus normal et j'allais dire: évident de devant- que de proposer aux suffrage de l'universelle clarté sous la lune, un homme rassembleur de tous les osselets éparpillés et ne pouvant techniquement parlant qu'être d'accord avec lui-même et les z'autres, I mean: Jean-Jaurès , le seul capable d'unir la gauche du rose délavé sans Woolite au tendre fushia , jusqu'en son rouge carmin.
Non, je vous en prie, compatriotes triotes, ne me remerciez pas, c'est grâce à une fulgurance nocturne que cette solution m'est venue en l'esprite, portée en cela, par tous les tomes de l'internationale bradée socialiste rachetés en solde sur: Pas cher point com.
avec, comme raisonnement ultime que je laisse à l'appréciation de mon cher public des mardis et du reste de la semelle bien entendu:
"Puisqu'il faut élire un muet, autant que ce soit celui qui ne risquera plus jamais de l'ouvrir.
N'est-il pas?
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