samedi 23 octobre 2010

merde, y'a pas de titre

( chais pas moi chai masseur -à moteur de recherche-)

-C'est une bien curieuse habitude que vous avez là, de prendre la plume (en français d'époque: taper de manière convulsive sur un clavier) à cette heure qui n'en est que quatre d'ailleurs.
Voui, dame, mais...l'inspiration, vous avez entendu causer?
-....Peut-être... un jour... mais... là n'est pas la question;
Alors, heu!  vous pouvez répéter la question?
-Certainement pas, vous n'aviez qu'à écouter lorsque je vous dégoisais à moi-même;
Ah je vois , ma chose, boude en train, en quatre car, en félo et pédibus aussi si ça se trouve...
-D'abord je ne suis pas fôtre chose, et vous devriez également surveiller les fautes de frappe (comme disait un cousin maraicher en descendant d'un panier à salade à un grand couillon  casqué et rembourré aux épaules comme qui dirait qu'il avait le hockey
Avoue  alors... toujours la politique, la politique...pénible à la fin (et au début aussi) vous pourriez au moins  avoir un peu de respect pour les gens qui dorment ou alors heu...pour la poésie qui elle n'en fait pas de politic oeufs non plus.
-Nous ne devons pas avoir les mêmes rillettes de valeur alors- Si vous croyez si bien dire en faisant rimer amour avec toujours plutôt qu'à la bourre (en Bresse) ou Rocamadour dans l'espoir d'un Brie qu'on court , cours toujours et pédale dans le yaourt mon calembour (bien fait) qui brille de ses milles atours ( en 40 dans la poche de Saint-Nazaire-et son mouchoir dessus)
C'est votre ascendance au long-cours qui vous inspire ainsi?
-Tu vois, quand tu veux, toi aussi... tu peux laisser filer du mou dans l'estuaire pour appâter la clef de sole sans pour autant se prendre pour le cuistre à jupiter (sans mousse) ; et puis faut que je te dise un truc: la politique c'est le contraire de la morale quand t'en fait c'est que t'as pas les moyens et comprends-moi bien, je te parle pas présentement des suce mal  nommés représentants du peuple qui eux sont des politichiens qui te bouffent l'haleine  pas fraiche  sur le mouton , non,  ici git le révolté moyen, basique instinct , primaire universel qui laisser parler son coeur d'artichaut  et son amateurisme- naïf peut-être- mais pas encore encarté, récupéré, désossé, dialectisé, cameloté, magouillé, formaté et chambre des députés avec vue sur le tiroir caisse...
Si tu savais, comme le pouvoir et ses alliés (subjectifs) m'emmerdent au plus haut point pas leur suffisance , les actes de contrition et les cours de flutiau.
Si tu savais, comme je ne sais pas, comme je ne saurais jamais où est ma vérité, sinon celle qui veut que je ne fais que passer, la seule dont je suis vraiment sur et en attendant...ben...  je ma muse un peu avec les moyens du bord de mer; et ainsi, la politique n'étant  pas à ma convenance  réservée aux professionnels  de la profession- comme disait l'autre- je mie essaye à tremper dans le caniveau pour y faire des mouillettes et je souffle dedans pour les bulles , j'adore les bulles , c'est  joli sur l'instant et sans prétention.
Sinon, toi  ça va, pour un samedi?
 Mais où tu vas? 
Attends j'ai pas fini...
Attends, je te dis...

2 commentaires:

  1. En v’la une inspiration un style chalopé de la phrase, les politichiens je suis matinal mais tu me bats bravo jean jacques gros bisous

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  2. C'est vrai ça, et la poésie, dans tout ça, hein ?

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