"La route m'appelle et m'attire
A l'est, à l'ouest, au sud au nord.
Ce soir ici, j'ai trouvé un lit,
Demain je coucherai dehors.
Beaucoup de routes ramènent vers vous.
Mais la route m'entraîne toujours.
Et j'ajoute des lieues et des lieues
Aux lieux qui me séparent de vous.
Oh, bien sûr, j'ai souvent faim et froid
J'ai envie de m'arrêter parfois
Mais ma route m'entraîne toujours
Désir de concrétiser un symbole
De posséder l'unique beauté
Que l'on nomme Liberté.
Que m'importent droits et doctrines
Ma seule loi c'est la fatigue.
Que m'importe le temps qui passe
Quand mon seul guide est le hasard.
Quelquefois une longue halte
Pour satisfaire une compagne
Mais le vent qui crie et qui passe
M'invite à prendre le départ."
-Michel Corringe-
"Au dessus des vieux volcans,
glisse des ailes sous les tapis du vent,
voyage, voyage
éternellement.
De nuages en marécages,
de vent d'Espagne en pluie d'Equateur,
voyage, voyage,
Vole dans les hauteurs.
Au dessus des capitales,
des idées fatales,
regarde l'océan...
Voyage, voyage
Plus loin que la nuit et le jour,
glisse des ailes sous les tapis du vent,
voyage, voyage
éternellement.
De nuages en marécages,
de vent d'Espagne en pluie d'Equateur,
voyage, voyage,
Vole dans les hauteurs.
Au dessus des capitales,
des idées fatales,
regarde l'océan...
Voyage, voyage
Plus loin que la nuit et le jour,
Voyage Dans l'espace inouï de l'amour.
Voyage, voyage
Sur l'eau sacré d'un fleuve indien,
Voyage, voyage
Sur l'eau sacré d'un fleuve indien,
Voyage
Et jamais ne revient.
Sur le Gange ou l'Amazone,
Chez les blacks, chez les sikhs, chez les jaunes,
Voyage, voyage
Dans tout le royaume.
Sur les dunes du Sahara
Des iles Fidji au Fujiyama,
Voyage, voyage,
Ne t'arrête pas.
Au dessus des barbelés,
Des coeurs bombardés,
Regarde l'océan.
Voyage, voyage
Plus loin que la nuit et le jour,
Sur le Gange ou l'Amazone,
Chez les blacks, chez les sikhs, chez les jaunes,
Voyage, voyage
Dans tout le royaume.
Sur les dunes du Sahara
Des iles Fidji au Fujiyama,
Voyage, voyage,
Ne t'arrête pas.
Au dessus des barbelés,
Des coeurs bombardés,
Regarde l'océan.
Voyage, voyage
Plus loin que la nuit et le jour,
Voyage
Dans l'espace inouï de l'amour.
Voyage, voyage
Sur l'eau sacré d'un fleuve indien,
Voyage, voyage
Sur l'eau sacré d'un fleuve indien,
Voyage
Et jamais ne revient.
Au dessus des capitales,
Des idées fatales,
Regarde l'océan.
Voyage, voyage
Plus loin que la nuit et le jour,
Au dessus des capitales,
Des idées fatales,
Regarde l'océan.
Voyage, voyage
Plus loin que la nuit et le jour,
Voyage
Dans l'espace inouï de l'amour.
Voyage, voyage
Sur l'eau sacré d'un fleuve indien,
Voyage, voyage
Sur l'eau sacré d'un fleuve indien,
Voyage
Et jamais ne revient"
-Kate Ryan-
Sacré beaux bateaux, quand même....
RépondreSupprimeroh mon bateau OOO...
RépondreSupprimer;-)
à cet estuaire et ce gros bateau çà me donne des envies d'embarcations, d'éclats de sel sur les lévres
RépondreSupprimerhum ce bleu où l'on plongerait
merci cher jean jacques
je vais au lit je vais rêver
destination "baya"
et oui comme dit la chanson: "quand je vois passer un bateau j'ai envie de me foutre à l'eau"
RépondreSupprimerenfin en ce qui me concerne et sans me prendre non plus pour Jésus, ce serait plutôt -sur- que -dans-
;-)
oui sur c'est plus sûr et ça mange pas de pain , encore que , le bateau et la mer ça donnent faim et soif , boire la tasse et retirer les peaux de saucisson..
RépondreSupprimerMarie
c'est vrai, qu'il ouvre bien des appétits l'océan...
RépondreSupprimer;-)