lundi 12 juillet 2010

la pensée du lundi


Nono, philosophe dans tous ses états  aux avant- poste côtiers  nous livre ici sa réflexion de début de semaine:

"il faudrait qu'une fois commencées, les révolutions ne mollissent jamais,
que l'étrave du bateau fende les lames avec impétuosité,
que le glaive pourfende victorieusement l'ennemi,
mais moi quand je peux pas, je peux pas.

Il vaut mieux prêter à confusion qu'à des gens que l'on ne connaît pas!"

2 commentaires:

  1. oui c'est sur... et parfois on est un peu déstabilisé au début mais bon...à force on s'adapte et on apprécie...
    ;-)

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