Dans quel sens tu te retournes toi?
Heu...dans le sens de la pré-histoire,
celle qui en ferait tout un foin à craquer dans la musique ensablée, deux bras bien en évidence et les pieds... au madison palace.
Tout le monde tient son rang,
mais attention ...
pour la bonne cause.
Point ici de marche militaire pour cul serré à brochettes corrida.
Et si le D..Juke-box qui se rinceà l'oeil
dans le décolleté du monde
histoire de s'affirmer goulûment en scène
Bref! le bougre...
S'il veut tangoter, valser, gavotter, an dro tres...
Faut surtout pas se gêner!
Une envie pressante à me faire de la compile à la baille , en vagues successives,
J'ai l'divan handy-bag
"c'est triste à mourir un café sans export"
Comme quoi,
revenez donc la semaine prochaine, je vous présenterais un pur arabica!
Sommelier à sa portée , au trois quatre et batterie solo, veuillez me déboucher cela illico. Maestro
La musique se confond en excuse avec les derniers fantasmes d'un soleil virant à l'ouest.
C'est comme ce piano,
foutu piano!
toujours, accroché au saxo , pour masser les cicatrices,
qui marinent dans le gros sel échoué de trop se marée
Un piano comme caution
de la langueur des notes
qui déchirent la toile trop ajustée
et s'étirent jusqu'au bout de la plage cirée.
J'ai les basses qui filent ,
à se faire trop jetée!
sur l'affront de sa mer.
Un piano, un seul,
linceul
et délivrance.
Vous reprendrez bien de cette petite danse?
Mais,
je vous en prie, après-vous!
Les femmes et les pochtrons d'abord!
mais,
Chut!
ça jazz
...
les mots qui vont surgir savent de nous des choses que nous ignorons d'eux.rene CHAR;et non on n'arrete pas les chars...bof...cécile.
RépondreSupprimerc'est bien aussi!
RépondreSupprimermoi je disais souvent arrête ton Char René!
finalement on en revient au même!
;-)